Le matin venait de se lever sur Kumo. Les nuages étaient, à leur habitude, magnifique. Ma chambre, qui se trouvait juste ne dessous du grenier, donnait sur la place principale du Village, une place grandiose, ornée de fontaines et d'arbres majestueux. L'un d'eux avait d'ailleurs une de ses lourdes branches à ma fenêtre, ce qui était d'une incroyable pratique lorsque je devais descendre en hâte. Ses racines avaient fendu les dalles imposante de la place; on racontais dans l'immeuble, une rumeur qui fut probablement vraie, que ces 4 arbres symboliques avait été offert en cadeau diplomatique par Shodaime Hokage lorsque les 5 Kages s'était pour la seule et unique fois, réuni, dans chacun des villages, et avait apportés la paix et la fin aux guerres incessantes. Il était même dit que durant toute l'existence du Hokage premier du nom, chacun des arbres n'auraient jamais perdus une seule feuille, même l'hiver, et que le jour de la mort du fondateur de Konoha, les feuilles auraient subitement noircis et serait tombées en poussière.
Cet arbre, donc, me fascinant, chaque matinée que je passais, je le contemplais, me souvenant de Konoha... Mais est-ce que là-bas, on se souvenait encore de moi?
Je passais cette question et montais à l'étage, le grenier, endroit que j'avais spécialement aménagé pour contempler les nuages. Là je déjeunais rapidement et contemplais les nuages un bon quart d'heure... Pas de message pour moi aujourd'hui.
Je devais donc me décider à descendre et chercher de quoi m'occuper. Je refermais alors le fenêtrons après être revenu dans mon logis, je m'assurais de ne rien avoir laisser sur le feu, puis je m'armais. Je pris ma sacoche ninja, dans laquelle, les parchemins explosifs commençait à se faire rare mais ou les kunaï et les shurikens pesait! Une fois armé de cela, je sortais de chez moi, refermant soigneusement la porte à clef puis, enfin, je me mis en route. Je ne voulais pas de ces missions futiles où l'on récupère le chat de quelqu'un, non, il me fallait quelque chose ou je devais réfléchir aujourd'hui... Quoique, je pouvais faire les deux, surveiller une personne âgée en jouant au échecs avec lui. Ce genre de mission me convenait bien. Je me tracassais la tête dans les rues de Kumo, observant le paysage, les passants, de la grosse bourgeoise ornée de diamants en tout genre au miséreux sans-logis se voyant refuser d'avoir un peu de monnaie, du type bizarre, louche, une bouteille d'alcool à la main tel un soldat, au jeune mec populaire tapant dans le dos des gens avec toujours une blague dans son sac... Kumo rassemblait vraiment tout les genres, on se serait cru à Mushuko un jour de fête. J'observais tout ces gens, les bras derrière la tête, baillant comme jamais, sur mon chemin habituel vers le tableau des missions... C'est d'ailleurs à ce moment là que la véritable mission débuta; sur le chemin du quartier Ninja se trouvait plusieurs bâtiments important: Mairie, bureau de poste, Siège du Village etc... ainsi que l'hôpital. C'est dans ce dernier que tout commença.
En passant devant, je fus témoin d'un scène des plus atroce. Des malades, par centaines, attendant devant l'hôpital. La file d'attente débutant dans la cour du bâtiment dépassait déjà sur la rue. Des personnes parfois accroupi à terre car leurs jambes ne les soutenaient plus, d'autres même couchés, se tordant de douleur tellement cela était intenable. Mais que pouvait-il bien se passer ici? Une épidémie serait-elle à l'origine de tout cela? Une épidémie peut-elle en être seulement la cause? Après avoir été subjugué par la quantité de malade à soigné, mon regard se dirigea vers les quelques uns qui se tenaient debout. Soudain, la mauvaise surprise devint un étonnement, il y avais des ninja, Chuunin et Jounin de partout. Un Jounin expert avait même l'air de donner des ordres, il me faisait penser à un autre Jounin expert, de Konoha celui-là, le célèbre Ibiki Morino. Il semblait aussi sévère, il avait autant de cicatrice et se revêtissait du même noir. La seul différence concrète était un petit sourire mesquin et moqueur au coin de ces lèvres. Le sourire du blagueur! Il me paraissait très sympathique, seulement je lui devais un haut respect, c'était tout de même un Jounin expert! Je me dirigeais vers lui petit à petit et comptait bien m'investir dans cette mission...
-On ne sait pas si cette maladie et contagieuse mais les ninjas médecin pensent que non. Beaucoup de victime semble dire que quelqu'un leur aurait versé quelque chose dans leurs verres; les portraits robot se ressemble à s'y méprendre, c'est donc une affaire criminelle. Elle vient de monter aux oreilles de la hiérarchie, et donc, la Police de Kumo, n'ayant rien pus faire, nous demande à résoudre cette affaire. La récompense sera remise à ceux qui arrêterons cet homme! L'objectif est le suivant: Enquêtez sur le criminel et retrouvez-le! Nous pourrons alors le faire interroger sur ces actes.
Voici son portrait robot!
A ce moment là, le Jounin Expert sortit de sa poche une feuille plié soigneusement en quatre. Il la déplia et nous montra le visage de l'assaillant à la vie des Kumoïtes. Moi, qui avais écouté à moitié le discours du haut gradé jeta alors un coup d'œil, d'abord discret, à cette feuille, puis, lui arrachant des mains la scrutait de part en part.
*Cette Cicatrice sur le menton... Impossible... Si! Ça ne peut être que lui... L'homme au regard louche avec la bouteille d'alcool!*
Je lâchais soudainement la feuille et disparu d'entre les foules avec une techniques de déplacement instantané. Ils avait tous du me prendre pour un fou, sauf le Jounin Expert... Ce dernier rappelait tous les Jounin à l'ordre affirmant que la mission était déjà terminée.
Je courais dans les rues de Kumo, cherchant ce fourbe criminel qui se fondait parfaitement dans la foule. J'exécutais alors quelques techniques pour couvrir mes arrières au cas sou il pourrait user de son art de poison contre moi. Je passais l'heure à le rechercher, usant des clones de terre pour avoir le plus d'information possible, mais ces effort ne furent pas vint. J'avais réussi à le retrouver au meilleur moment, celui ou, dans un restaurant, il usait de la distraction musical que procurait la chanteuse sur l'estrade, faisant tourner toutes les têtes, pour déboucher sa bouteille et verser un produit, incolore et inodore, dans les boissons des Kumoïtes. C'est à ce moment là que je le démasquais, jetant 3 shurikens sur les trois verres ou se trouvait le poison.
-Ne buvez pas vos boissons, cette personne les a empoisonnées!
Devant mes paroles, le malfaiteur, qui semblait plus ou moins aussi doué avec des kunaï qu'un manchot avec un balai, pris la fuite par la porte de l'arrière boutique. Cette même porte qui donnait sur la ruelle, à l'arrière du magasin. Il m'attendait, là en face, ne disant pas un mot, il faisait même peur. Je jetais un kunaï pour m'assurer que c'était toujours bien lui, car pour attendre son ennemi alors qu'il vous a démasqué, c'était ou être vraiment bête, ou être un clone; il l'esquiva. Il était donc définitivement bête!
Soudain, me laissant bercer par un taux aussi élevé de stupidité dans l'air, je vis trois senbon, de trois directions différentes, m'arriver soudain dessus. Il avait, avant que je ne le rejoigne, craché ses trois senbon et les avait probablement dévié. Ils semblaient empoisonnés... Il était, malgré ses apparence mon stupide qu'il ne le semblait; et surtout plus rapide. Il semblait savoir quelques techniques Ninja, mais ne semblait pas l'être de métier. Quoiqu'il en était, les senbon arrivait à folle vitesse sur moi. Je ne pouvait les éviter. Je me pris alors les senbon,deux sur les cervicales, un en pleine artère carotide. Le temps passait, j'étais toujours face à lui, il ne semblait pas comprendre.
- C'est... Impossible... s'exclama t-il reculant de plusieurs pas. Tu devrais être mort! Comment peux-tu encore... mais, qu'est-ce que.
Je relevait alors la tête, voyant mon adversaire se faire enterrer jusqu'au cou. J'avais vu tant de fois cette image qu'elle en devenait presque amusante.Celui qui était en face du malfaiteur s'exclama:
-Et oui, pauvre naïf, "je" était un clone terreux!
Ce clone, je l'avais fait alors que je cherchais
le malfrat. Depuis tout ce temps, j'avais passé mes investigation sous
le sol, cela m'avait très affaibli, j'étais content d'avoir enfin mis
la main dessus. Celui, qui était sous le sol, le vrai moi, parla alors:
-Shinjuu Zanshu: Technique de la décapitation fatale.
Je ressortais du sol derrière la tête cracheuse de senbon que j'assommais alors le criminel pour ne pas qu'il crache d'autre senbon et le ramenais dans la cour de l'hôpital, bâillonné pour ne pas qu'il s'échappe. J'avais dût le porter tout le long du chemin, et il y en avait de la route jusqu'à l'hôpital. J'y passais la demi heure; le temps de rassurer les habitants qui avait faillit se faire avoir, de parcourir la ville entière jusqu'à l'hôpital.
Mais bon, j'y étais tout de même arrivé. Et, lorsque j'entrais dans la cour, un personnage important m'attendait. Il avait les bras dans le dos, les pieds parallèle, le manteau long, touchant le sol... C'était le maître Raïkage.Il avait à ses côtés le Jounin expert qui m'avait donné l'ordre de mission, ainsi que tout les malades, déjà guéri.
-L'équipe d'expert médicale du Village à trouver l'antidote au poison. Il l'ont distribuer dans la cour avec une vitesse et un brio incroyable. Je les ai félicité et je te félicite, toi Sayumé, pour avoir mis la main sur ce malfrat. Maintenant je dois retourner à mon bureau, mais avant...
Là il obligea l'empoisonneur à faire des excuses devant tous les malades et partit.Ça avait été bref! Les malades repartait peu à peu chez eux, guéri de tout poison, les ANBU du Village cachée des Nuages abondais alors sur la place, emportant le tueur en série qui avait malheureusement fait des victimes aujourd'hui aussi...On l'obligeait à regarder les corps froids au sol, dépourvu de toutes vies... Le Raikage avait ordonné que les frais des tombes soit au frais de l'assassin, lui qui n'avait toujours pas dit ses motivations, lui qui semblait être fou né, il me flanquait la frousse, car après tout, des gens que vous croisez tous les jours peuvent êtres de vrais psychopathes. C'est dans ses moments là qu'on se rappelle des dures réalité et qu'on se dit que le monde n'est pas fait que de gens bien sensés!