Je détestait ce monde. J'en était venu qu'a tout détester. COntrairement a mon fidèle coéquipier, probablement mon seul ami restant en ce monde, je ne désirais pas la paix. au contraire. Je voulait vivre et mourir dans une guerre sanglante. Au Seikurai, j'était antipathique a pratiquement tout le monde. Monoki se foutait éperdment de moi. sanada était obséder par le café et les femmes. MAis comme je venais de me procurer un nouvel hôte male, il avait perdu tout interet en moi et me regardais comme j'était réellement. Un monstre sanguinaire ne désirant que le malheur des autres pour son profit. Shizuru. Elle ne m'avais jamais aimer au départ. Bien qu'elle m'aie recruter au Seikurai, nous nous étions toujours détester. Probablement parce que je la percevais comme une gamine inexperimentée et qu'elle me voyais comme un monstre ne méritant pas de vivre. Et cela allasi de même pour les autres. Même Burito, cet esprit libre aimant tout le monde et ne pensant qu'a son plaisir, me détestait. Et je commençais a me rendre compte de plus en plus que ma place n'était plus parmis eux. Fallais il qu'on me déteste, je triompherais et regnerais sur eux. ainsi, ils auraient une raison de me détester. Mais pour cela, je devais attenter a l,existence même du sage. On m'avais fait savoir entre les branche que ce dernier avais perdu pratiquement tout ses pouvoirs. Donc, son supposé controle mental sur nous n'était rien du tout.
Je venais de revenir au repaire du Seikurai, et je me dirigeais droit vers la ou le sage était supposément enfermé. Je voulais en finir une fois pour toute et m'approprier ses pouvoirs. Je marchais, de mon pas cadencé habituel, jusqu'A la porte qui mettrait fin a tout. Mais lorsque j'ouvris cette fichue porte, je fut confronter a la pire des surprise possible. Le sage n'était pas la. Pire. Akira se dressait devant moi, l'air furieuse. La numéro treize du Seikurai et le numéro deux se retrouvaient confrontés. Je n'avais pas une chance. Mais je tenais a gagner ce combat. je n'était pas venu seul. Trois membre de mon clan se dissimulaient dans les ombres depuis mon entrée ici. Ces trois même membres que je vit tomber au sol, la gorge perforée, sans même qu'ils aie eu le temps de percevoir quoi que ce soit. Moi j'avais tout vu. La vitesse d'akira était légendaire. Ainsi que sa perception inhumaine. elle savais tout de moi. Enfin, presque. Elle n'avais pas encore eu la chance de tester mes capacitée hors combat, la pauvre. Et elle n'en aurais plsu l'occasion. Étant le maitre du clan, le dernier des Fuumas, je possédais maintenant toutes les techniques de mon clan. Et je comptais bien m'en servir. Des recoins de mon armure, d'énorme chaines sortirent pour littéralement envelopper la piece dans laquelle nous nous trouvions, pour ensuite s'abbatre sur Akira tel un énorme filet. Dont elle s'extirpa en un rien de temps. Cette femme était une veritable guerriere des enfers. Et elle connaissait le secret de mon immortalité. Elle n'aurais qu'a me trancher la tête et a accrocher mon armure a quelqeu part comme décoration, pour l'eternité. Ou ce qui en restait a ce monde. Il ne leur restait qu'une seule pierre a collecter. Ce qu'ils ignoraient tous, c'est que j'avais cette pierre. Incrustée a même mon armure. La pierre perdue. Celle du temps, coincée entre les dimension.
J'avais réussi a l'extirper de son piège saptio temporel grace a ma non-vie. Techniquement, quiconque d'autre aurait tneter de la récuperer serait mort de vieilesse dans cette dimension, en utilisant toute leur force vitale. Pour ce défunt Jiraiya, par contre, il n'avais pas prévu qu'un être immortel qu ine peut pas agé entrerais dans cette dimension pour récuperer la pierre. Par conséquent, il n'a fait que reporter l'inévitable. J'était entré dans la direction, pour le plus grand malheur de la femme qui me servait d'hote, et j'avais incruster la pierre dans mon armure avant d'absorber ses forces vitale pour quitter cette dimension, quelques jour avant que j'y arrive. Et j'ai attendu patiement, que mon autre moi qui s'y rendait croise cette armure étrangement familiere sur une femme morte. Par conséquent, j'existe en double. Mais peut être est-ce mon voyage dans l'autre dimension qu ia perturbé ma vision des choses, mais le pouvoir de controller le temps me rend tout puissant. C'est mon avantage majeur face a Akira. COmpte tenant du fait qu'elle ignore totalement que j'existe deux fois. C'est une nouvelle réalité très perverse, que j'apprenais plsu tard a mes dépends.
Akira semblait furieuse devant moi. Et je l'était tout autant. Sauf que j'avais de l'Avance sur elle. En utilisant les pouvoirs de la pierre a pleine capacitée, j'Arretais littéralement le temps pour aller lui planter mes lames un peu partout dans le corps, mille fois. avant de donner un énorme coup d'épée contre sa tête, pour l'envoyer rouler au sol. Je voyais les rides se formée sur le corps de mon hôte a vue d'oeil. Il ne serait bientôt plsu bon a être utilisé ainsi. Mais je n'en avais plsu pour très longtemps. Je rétablissait le temps pour voir l'ancienne numéro treize tomber raide morte a mes pieds. Sans tête, de surcrois. Mais ne pouvant résister a la vue d'un corps si parfait gisant devant moi, bien que perforé de partout, je baissait mon pantalon pour...
[La partie du texte suivante ne pourra malaheureusement pas être retranscrise ici, étant donné la présence de plusieurs mineurs sur le fow. Merci de votre compréhension.
-Chigiri]
Maintenant, j'était satisfait. Mais mon corps devait maintenant avoir l'age de mon corps originel. Tant de temps gaché, et j'ignorais tout de la position du sage. Mon double fit son entré, et nous cherchions la cachette de ce foutu sage. Ou était il, je l'ignorais. Mais finalement, dans une pièce totalement éloigné du coeur du seikurai, nous le trouvions. Il était vieux et décrépit, mais il semblais immortel, pour avoir survécu aussi longtemps. J'étais sur le point de mettre fin a cette immortalité, justement. J'entrais dans la piece ou il reposait, et il me regardasi fixement, m'exhortant de ne pas commetre ce que j'allais tenter mentalement. Puis mon double entra. Et je sentit un lame me transpercer le coeur, et une autre commencer a découper mon cou, tandis qu'une troisième commençait a ouvrir mon armure. Le style des trois lames de fuuma. Mon autre moi était toujours fidèle au sage. Et il m,avais trahi, moi, son autre lui. Et je mourrais ainsi, condamnant ainsi le monde en remettant la dernière pierre au sage des six chemin.