Mission Rang S

Invité

Qu’est-ce que le monde ? N’est-ce qu’un simple amas de roches et de formes de vies impies que les créatures célestes qui gouvernent nos ténèbres depuis la nuit des temps se sont amusés à créer afin de pouvoir jouir du destin fatidique et tragique de ces ignobles pantins de chair que nous sommes nous autres les hommes ? Ne serait-ce qu’un immense jeu où la vie n’est qu’un bonus inutile dans les dessins sadique de ces monstres ?
Oui … Le monde n’était que cette grotesque simulation de vie que je pouvais observer à travers mes yeux sombres et vides, des yeux qui depuis fort longtemps avaient perdu la foi et la croyance en le genre humain. Depuis toujours je sillonnais le monde en quête de contrat à accomplir, de tête à faire tomber dans un rugissement de souffrance de la part de la malheureuse victime qui se voyait arracher à ce monde dans un éclair noir de la lame d’une épée aiguisée et avide de sang. Depuis toujours je vivais dans le sang et la souffrance, devant la désillusion du cet univers dénué de toute logique et de vraisemblance. Mais je continuais à avancer, brandissant mon épée sur chaque nouveau champ de bataille, fendant l’air et les cranes, dans une effrénée danse macabre, ode à un monde empli de folie pure.
Pour ce monde, j’offre mon humanité…
Pour cette âme en peine, j’offre mon cœur…
Et pour le sacrifice, j’offre le sang des dieux…

Oui, c’était là ma devise personnelle de ce jour, depuis ce jour où j’avais maudit les dieux, renié mes croyances face à la terrible main du destin qui m’avait ravi mon avenir et la lueur de ma vie.
Ce n’est que face à l’horreur de ce monde que le miroir de l’insouciance se brise… ce n’est que face à la triste vérité de la poigne céleste de la reine destin que l’illusion antique dans lequel notre folie nous berce vole en éclat. Tel le démon au regard de braise à aux ailes d’u noir de jais, pourfendant le ciel de son rire gutturale, la sombre et moite douleur de l’absolue s’impose tel un insecte bourdonnant… C’est depuis le moment où cette atrocité s’est imposé face à mes illusions que je me suis éparé de mon cœur d’homme pour le remplacer par un cœur de glace … Je ne gardais désormais de ces doux moment que de des souvenirs du lumières chaleureuses noyés dans un océan de noirceur, comme un temps de paix au milieu d’une guerre impitoyable.
De mon vrai nom, Zargabaath di Garland Saga, je n’avais gardé que mon dernier nom … comme l’antique relique d’un temps révolu. Mais ce nom restait collé à mon corps, aussi collant que le sang séché sur un sol sec après un champ de bataille particulièrement violent. Dans mon pays d’origine, Zargabaath, signifiait l’absolue … et Garland, la souffrance…Ainsi, ma vie n’était qu’une souffrance absolue que je noyais dans la vengeance et le désir de détruire tout germe de guerre… unifier le monde sous un seul étendard …. Oui, car c’étais pour moi le seul moyen de pouvoir à nouveau te contempler avec fierté… Silla.
Toi qui étais ma femme, la mère de mon seul enfant, toi qui depuis ma plus petite enfance étais ma seule compagne… Je ne pouvais enterrer ton souvenir.
Face à la tombe de cristal, je remuais sans cesse les souvenirs scellés d’un temps immémorial. Moi qui me disais dieu, j’étais de nouveau un homme le temps d’une honteuse souffrance… mais d’une souffrance nécessaire, pour m’éviter de sombrer à jamais dans els abysses tortueuses de la démense et de la haine viscérale qui m’emporteraient dans une spirale sans fin de destruction.
Qu'était-ce que la vie ? Une lueur de temps que les dieux séjournant dans les cieux offraient aux hommes qu'ils qualifiaient de "brave". Ces dieux impitoyable qui jouaient avec les hommes comme avec des vulgaires pions sur l'échéquier qu'est le monde. Il devait bien s'amuser à définir le physique de chacun et sa mentalité, même si ceux-ci pouvaient changé au fil du temps, j'en étais la preuve vivante. Je n'étais qu'un minable gamin pensant à son village avant tout...mais j'ai réalisé que "ce village" n'était là que pour exploiter ses occupants, pour les surcharger avec des missions futiles. Il était temps de réaliser que les villages n'étaient qu'un ramassé de ninjas minables et d'hommes sans courage. La véritable satisfaction dont un homme pouvait se réjouir, était d'acquérir une puissance insoupçonnait auparavant, une puissance qui faisait froid dans le dos aux pitoyables adversaire venant s'opposait à toi et qui les térrassait ! En effet, l'ultime satisfaction était de voir la puissance qu'était la sienne et de laisser ses adversaires la contempler. Cette puissance, au fil des années, je pensais l'avoir acquise. Mais il s'avêrait que j'avais tort, il existait une légère poignée d'homme pouvant me surpasser au sein de ce monde.

VOilà ^^; Sano je te laisse poster les descrips

Invité

Vous avez entendus parlé de la crise économique ? Bien sûr que vous en avez attendu parlé, et notre jeune Sano était maintenant au chomage oui. N'est-ce donc pas scandaleux ? Avouez le tout de même après toute ces années de loyaux service, mais finalement il allait peux-être sortir de cette misère qui l'avait entourée ces derniers jours, il avait reçu un ordre de mission mais il n'allait pas travaillé seul comme dans le passé mais avec un ninja de niveau supèrieur avec une Sannin légendaire et une femme plus jeune que lui tout de même. c'était assez étonnant il reprenait du service avec une mission de rang, on aurait pas pu trouver mieux, une mission de rang B ou A nan mais ils s'enfoutent ils vont donnez des missions pareille à un ninja médecin, une sorte de mission d'espionnage franchement inintéréssant pour Sanosuke qui commençait à regretter d'avoir décidé de se spécialisé en medecine, certes il se faisait apprécier des enfants car il soignait leurs blessure mais ce n'est pas cela qui va l'aider tout de même.

Flash Back

Combien de temps ? Depuis combien de temps n’avait-il pas foulé le sol sablonneux de ce pays qui l’avait vu grandir et s’épanouir pour devenir l’un des ninjas les plus doués de sa génération ? Il ne le savait pas vraiment et avait un peu perdu la notion du temps…certes, il savait que cela faisait au moins quelques années qu’il ne s’était pas dressé devant les portes du village caché de ce pays, mais il ne saurait pas exactement dire combien…3 ans…peut être 4…cela devait être dans ces eaux là à peu prés. Alors je sais ce que vous allez me dire, vous qui êtes trop jeunes pour connaître ce shinobi : qu’à t-il bien pu faire pendant ces 4 longues années, et qu’est-ce qui a bien pu le pousser, à l’époque, à quitter un village où il était plutôt bien apparemment…et bien c‘est assez complexe, et je m’en vais essayer d’éclaircir tout cela.
Durant toutes ces années au service de son pays et de son village, le jeune homme ici présent avait toujours fait ce qu’on lui demandait en gentil petit shinobi obéissant…il avait combattu pour son pays, tué pour protéger son village…et fait d’autres choses beaucoup moins glorieuses dont il évite d’en parle encore aujourd’hui : on le voit déjà comme quelqu’un de bizarre et marginal, pas besoin d’en rajouter n’est-ce pas ? Cependant malgré toutes les batailles qu’il a pu connaître et tous les morts laissés dans son sillage, le jeune Sagara sentait un vide au plus profond de son âme…comme si ce qu’il faisait ne suffisait pas à le rendre « complet » ; je sais que c’est quelque chose de complexe à comprendre, mais pour Sanosuké c’était on ne peut plus clair…était-ce à cause de ce qu’il était ? A cause du rôle qu’il se donnait en se cachant en permanence derrière son masque d’anbu ? Un peu des deux sans doute…malgré ses grands airs mystérieux, les regards de dégouts qu’il subissait sans cesse le faisaient souffrir au plus profond de son âme, et cela même s’il faisait semblant de ne rien ressentir en se cachant derrière un masque…mais cette protection s’effritait avec le temps.
Du jour au lendemain il décida donc de partir et de se laisser aller comme on dit…à partir de ce jour il retira son masque, son unique barrière qui protégeait le monde de sa folie et sa colère sauvages et incontrôlables…cette barrière qui l’empêchait d’être lui-même tout simplement. Peu à peu ses yeux ont perdu cette froideur habituelle pour laisser place à, comme le pensent certains, une certaine folie…mais ce n’est pas exactement cela ; le jeune homme avait toujours été comme ça…la seule différence c’est qu’à présent tout le monde pouvait voir ce visage du fait qu’il a enlevé son masque…il pouvait enfin être lui-même et vous n’imaginez même pas à quel point il a pu se défouler en étant lui-même durant toutes ces années.
Combien de personnes a-t-il bien pu tuer pendant son long périple ? A quel point s’est-il endurci et amélioré durant ces 4 longues années, Seul lui le savait, et c’est à présent en homme détendu et en total accord avec lui-même que le jeune shinobi ici présent se tenait face aux grandes portes de Sunagakure no sato…au premier coup d’œil, cela n’avait pas l’air d’avoir changé beaucoup, mis à part les visages des gardes qui s’approchaient de lui…il y avait un paquet de nouveaux apparemment.

4 ans…effectivement cela faisait à présent un peu plus de 4 longues années que le jeune homme avait pour ainsi dire disparu de la surface de la terre sans laisser de nouvelle à qui que ce soit, pas même à la demoiselle à qui il rendait visite…enfin il n’était pas là juste pour dire bonjour et repartir ensuite hein, mais donner de ses nouvelles à son ancienne camarade et amie était la principale raison de sa présence ici…il s’était peut être fait un film en pensant qu’on le laisserai passer tranquillement après une petite fouille à la limite, mais al réalité était assez différente : du fait qu’il ai enlevé son masque qu’il portait toujours autrefois, absolument personne ne le reconnaissait…pour les gardes, il n’était qu’un ancien déserteur revenu pour reprendre sa place…ce n’était pas totalement faux…pas totalement vrai non plus : et oui Sanosuké est compliqué, vous ne vous en rendez compte que maintenant ? Bah après tout, mieux vaut tard que jamais comme on dit.
Après avoir révélé son identité aux gardes, il se doutait bien que ces derniers ne se montreraient pas très accueillants et ne lui ouvriraient sans doute pas les portes du village pour l’accueillir à bras ouverts…il n’était pas assez stupide pour cela : toutes ces années il n’avait pas été le plus aimable des shinobis, pourquoi ces gardes ne lui rendraient-ils pas la pareil, Et c’est en partie ce qu’ils firent avant d’être aussitôt calmé pour leur interlocuteur…il avait beau être d’humeur joyeuse aujourd’hui, il ne faut pas pousser mémé dans les orties.
Le jeune homme faillit s’endormir à force d’attendre, mais il su que son attente allait être récompensée lorsqu’il senti un chakra, ma foi assez puissant, s’approcher de lui à assez grande vitesse…il fut rapidement déçu de voir que ce n’était pas une hôtesse à forte poitrine qui l’accueillait chaleureusement mais un homme qui se la jouait mystérieux mais ratait son entrée en bafouillant comme un débutant…on ne peut pas toujours avoir tout ce qu’on veut hein ? Mais cela n’avait pas d’importance…ce qui en avait par contre était la réponse qu’il allait donnait à son nouvel interlocuteur…la raison de sa venue ? Ne l’avait-il pas dit un peu plus tôt ? Le messager n’avait-il pas fait son travail correctement ? Des claquent se perdent dans ce village je te jure : il y a du relâchement, c’est inadmissible !
C’est donc avec son éternel sourire satisfait et moqueur. Avant de rentrer dans le calme du village.

Flash Back END

Maintenant il était là avec jeune fille aux cheveux blonds fouillant la serre médicinale alors que personne n'était plus là, ils opéraient malgré tout dans le noir et le silence, leurs missions était simple, mais je n'ai pas le droit de vous le dire. Une chose innatendue se passa soudain ...

Invité

Chaque être en ce monde possède sa part de mystère, d’insouciance, d’envie. Mais surtout, nous avons tous en nous ce petit quelque chose qui nous pousse à avancer, à toujours suivre ce sentier fermé qu’est le destin, la fatalité. Mais qu’est-ce que le destin ? Est-ce simplement une suite d’événements incontrôlables dont l’enchaînement fut décidé avant même toute chose ? Avant la naissance même de cet univers impitoyable ne laissant aucune place aux remords, et à l’interrogation sur ce dit destin ?
Que de questions qui finissaient par aboutir sur d’autres questions. C’était un cercle sans fin, un cercle vicieux, comme si l’on était enfermé dans un labyrinthe dont la seule issue serai une porte menant à d’autres portes se trouvant elles mêmes au bout d’un labyrinthe, et qui elles mêmes par la suite mèneraient sur d’autres portes.
Mais dans cette fatalité, il y avait une chose qui nous permettait de nous défaire un tant soi peu de l’écrasante poigne divine qui nous maintenait dans le chemin qu’il avait choisit pour nous, et ce quelque chose était nos choix, nos pensées, les dilemmes qui s’offraient à nous nous tourmentant et semant ce chemin d’obstacles et autres péripéties.
Mais malgré ces certitudes, et ce chemin tout tracé pouvant varier d’un moment à l’autre de la voie céleste qui lui est incombée, il y avait toujours cette question, cet interrogation, fondement de toute vie qui se posait un jour à l’autre à chaque être, à chaque forme de vie, peu importe sa race, sa force ou ses convictions, cette question revenait irrémédiablement semer le doute dans nos esprits torturés.
Mais quelle est cette question ? Il vient toujours un moment où l’on atteint le point de non retour, le moment où elle s’impose inéluctablement à nous, tel le plus grand adversaire, et cet adversaire, ce serait nous.
En effet, qui sommes nous, où allons-nous, et dans quel but ? Pourquoi existons-nous et quel est le but de notre existence ? Cela revient à redéfinir toutes les bases de ce monde, bases qui seront différentes selon la personne qui les définit, car chacun de nous est diffèrent. Réussir à découvrir la vérité derrière ces mots est un rêve que beaucoup de personnes en ce monde tentèrent en vain de percer, la vérité derrière la vérité. Ne serai-ce qu’un mensonge ou une pure folie ? Car s’interroger sur ces fondements revient aussi bien à se demander ce qu’est l’univers.
Mais chez certains, cette question se limite seulement à un univers, le sien. Nous cherchons alors à savoir d’où nous venons et le but précis de notre existence et ce qui l’anime.
Mais un autre problème accompagne cette recherche de soi même, cette envie de connaître son « moi » invisible. Cet obstacle peut hélas se révéler insurmontable, car répondre à cette question ne reviendrait-il pas à rencontrer la fatalité ? A être confronté à ses peurs, et en périr.
Ainsi, trouver la réponse ne serait-il pas le moment où la Mort viendrait poser sur nous ses douces lèvres enflammées qui nous enverrait alors tous dans un monde sans cette quête incessante de l’absolue vérité.
Mais il arrivait parfois que la conscience d’un être soit assez puissant pour surmonter cette odieuse peine, et puisse ainsi continuer à avancer vers son propre chemin.
Ces personnes là peuvent alors contempler avec fierté l’immensité de la vie en sachant pleinement que la plus grande des difficultés à été vaincus, et ainsi, regarder droit dans les yeux la Mort en étreignant avec joie, et ce avec aucune peur, le corps glacial et décharné de la Mort lorsque celle-ci décidera de se pencher sur nôtres cas et de nous emmener près d’elle, dans son propre cocon.
Mais parfois, la réponse était trop complexe, et toute une vie ne permettait pas d’y répondre, et dans d’autres cas, la solution ne se résumait qu’en une seule et simple phrase.

Cette question trottait inlassablement dans ma tête. Je ne savais que dire ou que faire. Quelle était cette ombre qui me suivait partout où j’allais, avec ces deux petits points rouges qui fixaient ma nuque avec envie, avec délectation, comme si ils n’attendaient qu’une chose, le moment où ils pourraient s’approcher encore plus de moi.

Que de questions que je me posais…. Moi qui étais l’incarnation même de la beauté suprême…. Je n’avais qu’un seul objectif en ce monde… Qu’il y règne la paix….

Bien heureux soit celui qui puisse ainsi y répondre.

Le monde n’est-il pas beau et n’offre-t-il pas une insolente magnificence à nos yeux ? Mais dans quelle circonstance peut-on dire qu’il est beau ? Est-ce seulement parce qu’il a été façonné des mains des dieux, ou bien parce qu’il représente la quintessence de l’art et de la puissance divine ? Ce domaine aussi grand que chaleureux, et parfois impitoyable et glacial représentait là le chef d’œuvre ultime de cette espèce supérieure et suprême.
Les hommes ne sont que des rebus qui salissent et abîment de leurs mains impurs la beauté de notre œuvre.
Mais il y a pire encore que la souillure et les déchets que le genre humain semait sur son chemin, il osait parfois se prétendre être supérieur aux dieux, et en venaient à nous défier…Mais que est donc cette folie, ce sentiment qui les poussaient à repousser chaque jour qui passe la limite entre les dieux et l’homme.
L’évolution …. C’est ce qui façonnait ce monde qui a été laissé entre les mains de nous autres les dieux. L’évolution entrainait de nouvelles espèces, ou bien la disparition d’espèce. C’est quelque chose qui changeait tout le temps, en permanence, peu importe les désirs de l’homme ou bien des dieux. L’évolution entraînait avec elle une montée en puissance des désirs, des besoins, et surtout, d’une envie constante de surpasser l’état actuel et d’atteindre les cieux, de devenir dieu, d’être l’être suprême. Ce n’était qu’une escalade de folie pure ou chaque échelon représentait un nouveau blasphème envers nous les dieux. Les hommes au lieu d’évoluer et de réclamer toujours auraient mieux fait de rester au pied de l’échelle et de contempler, admirer et révérer les êtes grandioses et magnifique que nous étions.
Mais la pulsion salvatrice de désirer, ou plutôt d’obtenir ce qui était plus grand qu’eux était une chose qui ne faisait que grandir dans l’esprit des hommes, a tel point que certains blasphèmes ne pouvaient plus être pardonné.
Qui étaient-ils pour oser ainsi se prétendre maîtres des mers, des cieux et de la terre ? N’avaient-ils donc aucune crainte des êtres infiniment grand et puissant qui les gouvernaient dans leur ombre, a tel point qu’ils venaient piétiner sur le domaine divin leurs intolérables désirs de pouvoir ?
Chaque jour qui passe, je voyais le monde se désagréger de plus en plus …. La folie des hommes creusant de plus en plus un puits sans fond, un puis aussi sombre et brûlant que l’ardente folie humaine.

Il fallait un homme de poigne assez fort pour pouvoir se placer aussi haut dans la hiérarchie céleste que les dieux même… Un homme qui conduirait les hommes sur le chemin de la paix. Cet homme était-celui que je servirais peux-être un jour.

Et j’en serait fier.

Bien que l'il fasse totalement noir dans la salle on pouvait tout de même distingué malgré tout distingué une ombre ou ne serait ce qu'un légé bruit de frottement, un vetement se frottait contre le mur, des mains tiède certainement avait un jours travaillé ce tissu, pour qu'il reviennent un jours à cet homme ? Ne peux-dont on rien faire pour échapper à la marche de la vie? Quoiqu'il en soit l'homme venait de poser quelque chose et en voyant les deux ninjas prit la fuite en sautant par la fenêtre

Invité

Un homme assez grand avait posé quelques chose avec une certaine malice, en voyant la jeune fille et Sanosuke il fut pris de panique et on put voir une goutte de sueur dégouliner de sa joue. Il prit la fuite se dirigeant vers la fenêtre et sauta brisant ainsi les vitres qui tombaient ensuitent sur le sole de la serre, Sanosuke imita son coéquipier qui avait été plus rapide, normal après tout non? Il suivit la jeune fille qui sautait de toit en toit pour rattraper le voleur, qui fuiyait autant qu'il pouvait pour éssayé d'échappé à nos deux ninjas. Comprenant bientôt qu'il ne pourrait rien faire pour s'enfuir il s'arrêta, et créa un clone qui apparut près de lui, les deux personnes lancèrent chacun une rafale de vent qui toucha Sano qui tomba, la jeune fille du renoncer à la poursuite pour venir s'enquérir de son état, en allant en vitesse elle c'était ouvert une plaie sur le bras lorsque Sano s'attarda dessus elle s'éforça de cacher la plaie avec sa main puis de faire un signe vers le voleur, mais Sano n'était pas de cette de avis il savait qu'une plaie il fallait tout de suite la soigner si on voulait pas avoir de complication. Comme le thétanos et autre ... Il plaça son index sur la plaie et concentra son Shakra.

Inyu Shometsu

Quelques seconde plus tard la plaie se referma, c'était déjà cela au moins, mais ils avaient perdus du temps et le vandale en avait profité pour c'échapper, Sano vit quelques chose qui brillait plus loin, il s'agissait de l'anneau en métal que l'homme portait, il sauta alors immédiatement en direction de la personne qu'il croyait être sa cible, il commença dès lors à malaxer son Shakra tout en faisant des mudras et en sautant de toit en toit, il lança un tir d'eau très puissant qui pouvait même fendre la roche, le tir rata sa cible mais la fit stopper, et lorsque la jeune fille se fut débarasser de lui il ne restait que de l'eau ... Le bunshin de tout à l'heure était constitué donc d'eau, mais maintenant ils avaient repéré le vrai criminel...

Flash Back

Le néant total…le vide, le noir absolu…voilà comment on pourrait résumer l’esprit du jeune Sagara depuis qu’il s’était fait assommé d’un violent coup dans la nuque il y a je ne sais combien de jours de cela…le jeune homme ne pourrait pas vous dire non plus depuis combien de temps il était dans cet état que l’on pourrait qualifier de comateux…mais bien vite cet esprit commençai petit à petit à s’éclaircir en entendant un son très clair et régulier, celui d’une goutte d’eau tombant sur le sol…pour ceux qui ne ferment pas bien leur robinet, ils savent à quel point ce bruit répétitif peut être ma foi très énervant n’est-ce pas ? Vous vous doutez bien que le jeune Sagara ne mit donc pas bien longtemps à sortir de cet état vaseux à cause de ce bruit répétitif et désagréable mais il eu du mal à ouvrir ses yeux aussi rapidement qu’il l’aurait voulu…n’ayant pas vu la lumière depuis longtemps, le fait d’avoir un lampe non loin de lui eu tendance à agresser légèrement sa rétine et plissa donc les yeux quelques courtes secondes avant de vouloir lever sa main droite devant ses yeux pour masquer cette satané ampoule de son champ de vision…mais bizarrement il ne put bouger sa main et baissa donc son regarda sur cette dernière pour en connaître la raison. En effet c’est assez dur de bouger une main lorsque celle-ci est menottée à la chaise où l’on est assis…en fait ses mains et ses jambes étaient menottées à cette même chaise donc dur dur de bouger n’est-ce pas ?
Levant donc la tête après plusieurs minutes d’un état vaseux, Sanosuké balaya la pièce pour se rendre compte qu’il était dans une salle qui avait été creusée dans la roche : pour preuve la seule porte avait été accrochée à même la roche…il pouvait donc suppose qu’il était retenu dans une grotte mais cela ne l’aidait pas à savoir qui l’avait amené ici, et surtout dans quel but…car après tout ce n’était qu’un simple shinobi en voyage : quel intérêt y avait-il à l’enlever ? Lui soutirer des petits secrets sur sunapeut être ? Il le saurait sans doute bien assez tôt.

Flash Back End

a toi Shitsu

Invité

Flash Back

Le soleil trônait tout en haut du ciel, il faisait chaud et une petite brise venait parcourir les rues du village de Konoha. Je venais de me lever, comme à son habitude, ma mère avait ouvert les rideaux pour laisser passer la lumière, ce qui m’exaspéra, mais qui me faisait néanmoins plaisirs. Depuis que j'étais rentré à l’académie, je ne parler réellement que peu à ma famille, à cause des entraînements et elle me manquait énormément, et je me rendais compte que sa présence mentale m’était indispensable. Les cours avaient assez mal commencé, bien sur, mon sensei et l’équipe était sympa, mais les rapports que j’entretenais avec mes coéquipiers n’était pas réellement ce que je souhaitais, c’était, trop professionnel, par rapport à avant, quand on jouait ensemble. Aujourd’hui, c’était journée de repos pour moi, l’apprentissage au Suiton m’ennuyait toujours, et les entraînements ni faisaient rien. J’avais décidé de me rendre au terrain d’entraînement seul, non pas que je voulais m’entraîner, encore moins lorsque j’avais l’occasion de respirer, mais, réfléchir quelques heures ne me ferait certainement pas de mal, et bien au contraire m’aiderait à visualiser le changement d’état de mon chakra en Eau. Autant l’apprentissage du Fuuton par Kakashi-senseï m’avait été très simple, et j’avais réussi à bien maîtriser l’élément venteux, autant l’apprentissage du Suiton m’était comme une utopie, mais je me devais de l’atteindre, il en valait de l’honneur de mon clan, de l’honneur de Konoha. Préparant mes affaires, je rangeais dans mon sac de quoi manger et boire, un petit coussin pour dormir, des bonbons ainsi qu’un petit parchemin vierge pour dessiner, et quelques jouets au cas ou je m’ennuierais. Puis j'avertis ma mère que j’allais me promener près de l’air d’entraînement, elle ralla pendant quelques minutes parce qu’elle ne voulait pas que je partes puis parce qu’elle voulait m’accompagner, mais je préférais être seul pour réfléchir.

Je partais ensuite du quartier d'habitation de ma famille, c’était un des plus grand et un des plus merveilleux de tout le village, il était blottit tout en haut de la plus haute montagne qui cerclait le village, dans le but que les membres du clan puissent veiller à la protection du village, que les attaques soient internes ou externes. Une fois les grandes portes du clan passé, je me retrouvais nez à nez avec les visages de pierres des six Hokage qui ont créés, surveiller et protéger le village jusqu’à leur dernier souffle. On pouvait y voir de droite à gauche: Rokudaime Hokage, Kakashi Hatake, actuel Hokage, descendant du clan maudit ; Godaime Hokage, Tsunade Senjuu ; Yondaime Hokage, Minato Namikaze, il est mort jeune, il c’est sacrifié en utilisant une technique à double tranchant, dans le but de détruire Kyûubi, le démon renard à neuf queue ; Sandaime Hokage, Sarutobi-sensei, on l’appelait sensei parce qu’il était sensé connaître et maîtrisé toutes les techniques du Village Caché de la Feuille, il a défendu le village lors de l’attaque d’Orochimaru, et à périt suite à de nombreuses blessures faites par son ancien élève ; Nidaime Hokage, personne n’a jamais voulut me dire son prénom, mais il s’agit du frère de Shodaime ; Et enfin, Hasirama Senjuu, le tout premier vrai chef du clan Senjuu, le fondateur de Konoha, il possède la même affinité que je suis sensé posséder, Mokuton, c’était un très grand homme qui a décider de mettre fin à la guerre de shinobi en faisant la paix avec nos ennemis de toujours, les Uchiha. Tous les Hokage étaient considérés comme le meilleur ninja du village, à leur époque, chacun ayant un pouvoir caché, une arme, ou une vaillance qui les a fait triomphé jusqu’au bout. Ils sont les animateurs de la volonté du feu, ce qui font brûler la plus grande flamme, et qui à son tour nous fait brûler d’envie, l’envie de se battre pour prendre leurs places.

Après cette petite rêverie, je reprenais mes esprits et me dirigeais de nouveau vers la zone d’entraînement. L’air était frais et cela faisait beaucoup de bien, c’était un climat parfait qui régner à Konoha, et les autres pays nous enviaient pour ça. Il y avait de la pluie en quantité suffisante pour garder la forêt en vie, pas trop de vent, et le soleil ne nous brûlait pas, dans ces conditions, les shinobis pouvaient être bien entraînés et à n’importe qu’elle moment de l’année. Arrivé sur la zone d’apprentissage, je me remémorais les quelques temps que j’avais passé ici à apprendre les coups de bases, et à m’endurcir en frappant les arbres. Ca avait été un véritable massacre, mon chakra était bouillonnant tellement l’envie était présente, mais je n’arrivais pas à le contrôler et souvent je m’explosais les membres. Enervée je rentrais à la maison ou déserter les lieux pour aller me réfugier en ville où je mangeais un paquet de bonbon.

Aujourd’hui, par chance, il n’y avait personne ici, alors je m’asseyais à l’ombre d’un cerisier, et sortait mon parchemin ainsi qu’un petit crayon. Ouvrant le parchemin, je posais mon crayon le plus haut possible, et dessinais une petite flamme représentant le Katon, je fis une flèche juste en bas à droite et y dessinais un éclair représentant du Raiton, puis une autre flèche vers le bas ou je dessinais quelques traits qui représenteraient le Fûuton, puis une flèche allant vert la gauche rejoignait le signe de la terre, le Doton, puis à nouveau la flrêche se dirigeant vers une goutte d’eau, représentant le Suiton, une nouvelle flèche allant en haut à droite qui rejoignait la petit flamme. Les cinq éléments du ninjutsu étaient représentés, je dessinais ensuite une accolade entre le caillou et la goutte d’eau, et dessinais en dessous de cette accolade, une feuille qui représentait le Mokuton. Je redessinais la même accolade entre le vent et l’eau, et y dessinais un petit diamant, qui représentait le Hyouton. Je déroulais le parchemin de sorte d’avoir de la place libre pour un nouveau dessin, et y dessinait tous les insignes des clans nobles de Konoha, les lunettes du clan Aburame, les crocs du clan Inuzuka, le rond barré des Nara, le petit nuage verticale des Hyûuga, le Kanji encerclait des Akimichi, puis d’autre moins connut, et je finis par dessiner en face et en gros, l’éventail des Uchiha et la double fourche des Senjuu. Bizarrement ces dessins étaient très petits et relativement facile à faire, mais ça m’avait prit une bonne heure, car je voulais m’appliquer. Je dessinais par la suite un rond avec la place des cinq grands pays ninja avec leur insigne et commençais à faire le kanji Hokage. C’est alors que je ressentis comme une présence, quelqu’un qui m’épiait dans l’ombre, faisant mine de n’avoir rien remarqué, je continuais de dessiner...

L’intrus non désiré ne me préoccupait pas plus que si j’avais été à la maison, bien sur je tenais à ma vie, mais il y avait quelque chose de plus important pour moi. La seule raison qui me poussait à rester en vie était l’oppression qu’exerçaient les membres du clan sur moi, quant au devenir du village, et de ma propre personne. Je n’étais pas réellement ce qu’ils attendaient, en soit, je ne leur apportais rien de plus que les autres, mais parce que j’étais la fille du chef de clan, j’avais été promut à un destin qui ne m’attirait que pour une chose… Je pensais toujours que si l’on m’avait confié la tâche de devenir le successeur de mon père, c’était pour la simple raison que lui-même n’avait jamais pu être Hokage, et qu’il me transmettait ses rêves pour les vivres de près, mais aussi pour ne pas perdre la face devant les siens: En étant le père du Hokage, il n’aurait pas servi à rien. J’avais beau souvent me vanter de ma position au sein du clan, je savais que mon inaptitude à maîtriser le Suiton en faisait frémir plus d’un dans la famille. Depuis le jour où j’appris à écouter et parler, l’on me répétait qu’il en valait de l’honneur du clan, que je maîtrise l’élément du bois, depuis que je savais marcher, l’on m’avait formé au combat, suivant diverses doctrine de guerre: Entraînements intensifs, nourritures contrôlées, fréquentations surveillées, idées et opinion maîtrisé, en sorte, j’étais devenu la marionnette du clan, et plus les années passaient, et plus je m’en rendais compte. Il y avait même des jours où j’enviais les autres enfants normaux, c’était pour leur liberté que je les aimais, pour leur liberté que je les enviais. Allant même des fois jusqu’à les haïr, je trouvais injuste que l’aîné, qui était sensé être le représentant, soit utlisé et perfectionner de la sorte à en faire une parfaite marrionnette ! Par chance, les autres n’étaient pas méchants avec moi, bien au contraire, ils m’avaient souvent aidé quand j’en pouvais plus. A ces moments, je masquais ma peine par des discutes d’enfants, alors qu’au fond, je souffrais de mon destin.

Je fermais les yeux quelques secondes, et me concentrais sur le but de ma venue ici, l’entraînement au Suiton. J’essayais de visualiser au mieux l’élément de l'Eau, mon élément maudit, mais rien y faisait, et à chaque fois que j’imaginais un paysage, ou un gloton aqueux, il était ensevelit^par le vent. En pleine méditation, une voix familière résonna derrière mes oreilles. Elle me disait que mes dessins étaient faux. Ce qu’elle disait n’était pas dénué de sens, d’ailleurs, l’ordre logique des choses auraient voulut qu’elle est raison, mais pour moi, il y avait a cela une autre explication. Me taisant, je me retournais et regardais dans sa direction. Puis elle reprit la parole pour me faire quelques révisions. Ce n’était que des révisions de ce que nous avions apprit en base, avec le sensei générale dans les salles de classe. La seule chose qui m’intéressa réellement fut de savoir qu’elle était mon affinité. Père m’avait fait touché une de ses « feuilles magiques » comme il les appelaient. Leurs fonctionnements étaient extrêmement simple en faite, des arbres étaient plantés un peu partout, et étaient nourris aux chakra de différentes affinités.

De ce fait, chaque feuille que l’on fabriquait à partir d’un tel arbre, était elle-même très sensible aux chakra et à leurs affinités. Ma feuille c’était coupée en deux, cela voulait dire, comme le pensait Père, que mon affinité principale était le Fuuton. Cependant la feuille s'était humidifié avant, sans doute un assemblage pour du Mokton. C’était aussi à cause de cela que je n’arrivais pas à transformer mon chakra en Eadh, ce n’était pas « naturel » pour moi. Finalement, l'individu se mit en face de moi, ce qui m’évita de me tordre le cou quelques secondes de plus. L'individu qui m'était inconnu me sourit agréablement, il avait la peau plutôt pâle. Ses yeux noirs m'exprimait beaucoup de confiance, et ses cheveux blanc neige le rendait tellement mignon. Il devait avoir à peu prés le même âge que moi, un air enfantin marqué par son sourire narquois me fit craquer. Ce jeune garçon était mignon, et semblait également intelligent. Je pu découvrir alors son teint de voix agréable quand il m'expliqua son raisonnement d'aprés mon dessin.

Flash Back End

Tout à son habitude Shitsu avait éssayé de dissimuler la plaie qu'elle c'était faite au bras avec sa main elle avait besoin d'attention mais paradoxalement elle n'amait pas être le centre d'attention d'une personne, mais le ninja qui visiblement était lui un ninja medécin fit refermer sa plaie en quelques seconde, la jeune fille remercia le jeune homme avec un mot étouffé puis les deux ninjas reprirent la course contre le voleur qui se battait contre le vent, le Jounin stoppa la course de celui qu'il croyait être le vandale, la fille acheva le corps qui se révela être enfin de compte un simple Mizu Bunshin, la lune refléta l'éclat d'un métal certainement un Kunai, ils retrouvèrent la trace du vandale Shitsu pointa son doigt vers la direction pour informer son coéquipier qui aquiesca puis ils reprirent la route ou plutôt ils reprirent le toit. Le vandale devait être un spécialiste du Genjutsu or pour l'instant il avait uniquement utilisé des ninjutsu de type Suiton. Et puis Shitsu n'avait pourtant pas sentit le vent battre comme le faisait toujours le vent du pays du vent. La raison pour laquelle elle enlevait toujours son bandeau, elle joignit soudain les mains en prononçant quelques mot, non en prononçant un mot.

Kai

Elle se retrouva adossé au mur de la serre elle avait été plongé dans un genjutsu dès qu'elle était entré, le genjutsu n'était pas puissant sur le fait de la difficulté à s'en sortirent mais plutôt à la difficulté à se rendre compte du fait que c'était une illusion, et le plan avait échoué simplement à cause d'un caprice de jeune fille de Shitsu qui avait à présent dix neuf ans depuis quelques jours. Le vandale était là à quelques mètre d'eux entrain de tripoter quelque chose, il ne remarqua pas que la jeune fille c'était réveillé et appuyait sur la joux de son collègue tout en usant de Chakra pour faire monter une vague de chaleur.

Invité

La chasse contre leurs agresseur avait continué, ils avaient ensuite retrouvé sa trace grâce la jeune fille qui c'était aperçu d'un petit détail qui était en fait un Kunai qui luisait dans le noir, Ils continuèrent alors la chasse mais quelques instant plus tard il sentit une douleur subite comme si con corps brulait vif il ferma les yeux et poussa un énorme crie puis le noir complet. Il y avait en éffet une certaine chaleur mais pas au point de le bruler, c'était sa joue gauche qui était en faite chauffé par les douces mains, lorsqu'il rouvrit les yeux il aperçut un paysage qu'il avait vu plusieurs minutes avant il était encore dans la serre médicale la jeune fille blonde faisait toujours semblant d'être dans un genjutsu, elle avait été la première à s'échappé du genjutsu elle faisait donc honneur à son grade, Sanosuke sortit un Kunai de sa poche et tandis que son adversaire installait ce qui semblait être une bombe il lança son Kunai qui transperça le fil, le vandale se retourna juste à temps pour immobilier Sanosuké qui sautait sur lui; il avait utilisé un genjutsu qui pétrifiait ces ennemis, cette position de faiblesse lui rappella des souvenir ....
Flash Back

Le néant total…le vide, le noir absolu…voilà comment on pourrait résumer l’esprit du jeune Sagara depuis qu’il s’était fait assommé d’un violent coup dans la nuque il y a je ne sais combien de jours de cela…le jeune homme ne pourrait pas vous dire non plus depuis combien de temps il était dans cet état que l’on pourrait qualifier de comateux…mais bien vite cet esprit commençai petit à petit à s’éclaircir en entendant un son très clair et régulier, celui d’une goutte d’eau tombant sur le sol…pour ceux qui ne ferment pas bien leur robinet, ils savent à quel point ce bruit répétitif peut être ma foi très énervant n’est-ce pas ? Vous vous doutez bien que le jeune Sagara ne mit donc pas bien longtemps à sortir de cet état vaseux à cause de ce bruit répétitif et désagréable mais il eu du mal à ouvrir ses yeux aussi rapidement qu’il l’aurait voulu…n’ayant pas vu la lumière depuis longtemps, le fait d’avoir un lampe non loin de lui eu tendance à agresser légèrement sa rétine et plissa donc les yeux quelques courtes secondes avant de vouloir lever sa main droite devant ses yeux pour masquer cette satané ampoule de son champ de vision…mais bizarrement il ne put bouger sa main et baissa donc son regarda sur cette dernière pour en connaître la raison. En effet c’est assez dur de bouger une main lorsque celle-ci est menottée à la chaise où l’on est assis…en fait ses mains et ses jambes étaient menottées à cette même chaise donc dur dur de bouger n’est-ce pas ?
Levant donc la tête après plusieurs minutes d’un état vaseux, Sanosuké balaya la pièce pour se rendre compte qu’il était dans une salle qui avait été creusée dans la roche : pour preuve la seule porte avait été accrochée à même la roche…il pouvait donc suppose qu’il était retenu dans une grotte mais cela ne l’aidait pas à savoir qui l’avait amené ici, et surtout dans quel but…car après tout ce n’était qu’un simple shinobi en voyage : quel intérêt y avait-il à l’enlever ? Lui soutirer des petits secrets sur sunapeut être ? Il le saurait sans doute bien assez tôt.
Personne ne devait s’être rendu compte que Sanosuké venait de se réveiller, ou alors peut être que personne ne s’en souciait mais le jeune chuunin en avait un peu marre de rester dans cette position sans savoir pourquoi il avait été amené ici : il voulait une explication et lâcha donc ç haute et intelligible voix :

« Hey ! Y a pas un seul gars ici qui peut me dire pourquoi je suis là ? C’est trop demandé d’avoir une explication bande de cons ? »

Et bien oui il n’y allait pas de main morte et en même temps n’avait aucune raison de le faire ; il avait été assommé et attaché ensuite à une chaise sans savoir pourquoi : il avait le droit d’être énervé je pense non ? Heureusement son appel ne tarda pas à avoir une réponse. En effet un garde posté derrière la porte regarda donc à l’intérieur de la pièce par un petit espace dans le haut de la porte et se rendit effectivement compte que le prisonnier était réveiller et en pleine possession de ses moyens ; voyant cela il quitta immédiatement son poste pour aller sans doute chercher quelqu’un et ne reparu que quelques minutes après.
La porte s’ouvrit dans un silence laissant apparaître un homme de taille moyenne vêtu étrangement d’une veste d’un blanc immaculé et d’un masque de chirurgien…enfin je dis d’un blanc immaculé mais c’est sans compter les nombreuses tâches de sangs éparpillées ça et là sur a veste…on se demande quel genre de chirurgie il pratique celui-là hein ? Mais Sano ne comptait pas rester assez longtemps pour pouvoir le découvrir et réfléchissait déjà à la manière de se libérer et de sortir d’ici tandis que le chirurgien se mit à parler en s’arrêtant à quelques pas à peine de son petit prisonnier

« Ralala je vois qu’on est ronchon au réveil apparemment, il va falloir changer cela shinobi-san »

Sanosuké n’était pas vraiment surpris qu’il sache que c’était un shinobi, les gens du village le savaient déjà ce qui voulait sans doute dire que c’étaient eux qui l’avaient amené ici après l’avoir assommé…restait à savoir dans quel but, le jeune chuunin rétorqua donc :

« Pourquoi suis-je ici ? »

L’homme paru légèrement surpris et dévisagea son prisonnier quelques secondes en lui demandant à son tour :

« Tu n’en a pas une petite idée ? »

Le jeune Sagara fronça les sourcils et répondit sèchement :

« Si je savais pourquoi je suis ici je te poserai pas la question pauvre con. »

Cette dernière remarqua réussit tout de même à énerver le chirurgien qui fronça les sourcils en foudroyant son prisonnier du regard tout en réprimant une envie de lui envoyer son poing dans la figure…non, il aurait bientôt sa dose de coup après tout alors inutile de précipiter les choses se dit-il tout en lançant à nouveau :

« Alors alors, peut-on savoir que fait un shinobi d’Iwa dans un coin si reculé de son pays ? »

Sanosuké arqua un sourcil de surprise, se demandant simplement s’il n’avait pas été simplement amené ici pour subir une espèce d’interrogatoire sur la raison de sa venue : le croyaient-ils en mission dans le coin ? Ce n’était pourtant absolument pas le cas mais ils ne pouvaient pas le deviner et n’avaient sans doute pas voulu prendre de risque…qu’allait-il pouvoir répondre ? Sano pouvait tout aussi bien dire à cet homme ce qu’il voulait entendre mais cela n’arrangerait sans doute pas sa situation et préférait être honnête quitte à ne pas être cru :

« Je suis en voyage. Pourquoi cette question ? »

En entendant cela le chirurgien tourna plusieurs fois la tête de gauche à droite pour montrer qu’il n’était pas vraiment satisfait de cette réponse, qu’il attendait de son prisonnier de la coopération…coopération qu’il pouvait toujours rêver avoir et répondit donc :

« Tu est têtu, parfait…peut être que quelques passages à tabacs te délieront la langue, j’ai tout mon temps »

Sur ces belles paroles cet homme sortit de la salle sans se retourner pour laisser la place à deux armoires à glaces sans cervelles qui allaient s’amuser à frapper sur le punching-ball qu’allait devenir Sanosuké jusqu’à ce qu’il daigne parle…l’espoir fait vivre comme on dit n’est-ce pas ? Le bruit si familier du poing frappant la chair et des os craquant sous les coups continua de retentir dans toute cette grotte pendant 2 bonnes heures avant que les deux molosses s’arrêtent brusquement en voyant que, malgré les coups, le prisonnier ne bronchait pas, que ce soit pour avouer quelque chose ou pour crier de douleur…il avait apprit à souffrir en silence, ils pouvaient se fatiguer toute la journée voire même toute la semaine à le frapper sans arrêter : le résultat serait toujours le même, c’est sans doute pour sa qu’après deux heures de tabassage sans interruption ils décidèrent de quitter la pièce sans dire un mot…ils allaient sans doute rapporter leur échec à ce foutu chirurgien de mes deux ! Peu importe !
Le chuunin était à présent toujours attaché à sa simple chaise, son visage et son corps étaient encore marqués par les coups de ces deux armoires à glaces qui venaient de lui donner un peu de répit…le long de son visage et de son torses perlaient de nombreuses gouttes de sang sorties de sa bouches car en effet les beignes qu’il venait de se prendre à répétition avaient tendance à faire gicler un peu de sang de sa bouche et pour cause : entre ses pieds écartes une toute petite marre de sang commençait lentement et sûrement à se former, il perdait du sang, certes, mais rien d’insurmontable…enfin bref peu importe !
Profitant de ce répit le jeune homme cogitait un maximum pour comprendre ce qui était en train de se passer dans cette foutu grotte et s’interrogeait sur la présence de ces brigands et autres brutes dans un coin si reculé de son pays…et surtout à quoi pourrait bien leur servir de torturer un simple chuunin en voyage ! Voulaient-ils simplement des informations sur la défense du village de Suna? Ou bien était-ce juste pour le plaisir cette petite séance de torture ? Même s’il était épuisé Sanosuké aurait facilement pu utiliser durant 3 ou 4 secondessa vraie forme sans soucis pour pouvoir se débarrasser de ses liens qui le retenaient prisonnier dans cette minuscule pièce…certes cela aurait été un jeu d’enfant pour lui mais tant qu’à se faire tabasser autant supporter quelques séances supplémentaires de punching-ball pour essayer d’en apprendre un peu plus sur ces geôliers pour, par la suite si possible, contrecarrer leurs plans quels qu’ils soient…à peine commencé son voyage prenait déjà une tournure des plus intéressantes et palpitantes…il y allait bientôt avoir encore plus de baston qu’auparavant : génial !
Jour après jour le jeune homme supporta autant que possible les séances quotidienne et répétée de punching-ball sans broncher, sans rien dire du tout car au fond il n’avait rien de bien intéressant à révéler sur lui-même…il continuait à supporter les coups en espérant qu’à force le chirurgien de mes deux finirait par lui dire en toute confiance ce qui se tramait ici, en vain évidemment car il voyait les jours, les semaines défiler et ses forces diminuait de plus en plus et il se doutait bien que s’il s’obstinait à vouloir continuer, il n’aurait bientôt plus assez de forces pour se libérer et sortir de cette maisons de fous : tant pis, il devait partir et n’aurait qu’à revenir plus tard avec des renforts voilà tout !
Evidemment s’il avait maîtrisé le kage bushin le jeune homme aurait pu s’échapper sans que personne ne le remarque mais malheureusement il n’était pas encore assez fort pour maîtriser une telle technique et devait donc adapter la situation aux seules techniques qu’il maîtrisait pour se sortir de cette putain de situation et filer d’ici…cet endroit, cette grotte puait au sens propre du terme, un mélange de sang séché et de corps en décomposition englobait toute la grotte sans doute ce qui donnerait envie de vomir à n’importe quelle personne normalement constituée mais Sano en avait vu d’autre se garda son sang-froid, cherchant un semblant de plan d’action dans sa petite tête ; en effet se défaire de ses menottes à deux balles était la partie la plus simple du plan, avec sa forme du dragon il n’aurai aucune difficulté à arracher cette petite porte en bois ou la sortir de ses gonds sans bruit mais le soucis était de parcourir la grotte en aveugle pour récupérer son équipement et ensuite sortir d’ici…le moyen le plus simple était de tabasser un garde, lui faire dire où était son équipement avant de l’assommer et de prendre son apparence avec un bon henge no jutsu : simple et efficace n’est-ce pas ? En même temps vu son état de santé actuel, vu sa faiblesse physique il ne se sentait pas de trouver un autre plan plus musclé et allait faire dans la simplicité pour changer. C’est partit mon kiki !
Sano n’eu donc besoin que d’activer très brièvement sa forme du dragon , assez brièvement pour se défaire des menottes retenant ses mains avant d’arracher simplement celles attachant ses pieds à la chaise ; laissant donc tomber lourdement les bouts de menottes sur le sol rocheux dans le but de faire du bruit le chuunin attendit bien une dizaine de secondes avant que l’un des deux gardes regarde par l’ouverture de la porte pour voir qu’il n’y avait plus personne d’attaché à la chaise. Aussitôt il rentra en premier suivit de son compagnons, tous deux l’arme à la main évidemment et le second garde n’eu pas le temps de voir qui lui tomba dessus…en effet le jeune Sagara s’était accroché à la paroi juste au-dessus de la porte grâce à ses griffes et venait de retomber lourdement sur le sol avant de se diriger vers le second garde qui, en entendant son collègue s’écrouler, fit demi-tour mais pas assez rapidement : l’ancien prisonnier venait de le frapper violemment dans le ventre, assez violemment pour le faire tressaillir quelque instants et pouvoir le désarmer sans peine…restait donc à obtenir de lui les deux informations les plus utiles : où trouver son équipement et où était la sortie de cette saloperie de grotte ! Le reste il s’en fichait complètement.

Fin Flash Back

Invité

Suite à un entretien avec Sanosuke, vu qu'il ne pourra pas rp pendant un moment ce post doit être a supprimé. Je ferais donc la mission en solo

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