[Depart a la Retaitre][Pv:Pein/Madara]

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Saikaku après avoir glisser des heures et des heures,disparaissant de Iwa traversant forêt,lacs et petit village enfin arriva a la frontière liant le village cachée de la foudre au village caché de la pluie,après des heures et des heures de route Saikaku épuiser arrêta de glisser et décida alors de marcher sous la pluie dans laquelle il venait de rentré.Il ne restait plus que un lac et les portes a traversaient avant d'arriver enfin dans le village de Ame no Sato,Saikaku observa l'horizon s'approchant de plus en plus de la tour du dieux de Ame enfin il allait peut étre revoir l'un de ces chefs qu'il avait quitté après la guerre de Konoha Pein et Tobi étaient-ils en vie,il ne fallait que entrée dans la tour pour le savoir.Saikaku fit alors c'est premiers pas sur l'eau du lac de Ame et traversa cette centaine de mètres sous la pluie froide et danse de la technique de Pein,plusieurs souvenirs retournèrent alors dans son subconscience.La mort de ces parents par Pein et la mort de ces coéquipier par les terribles villages du monde shinobi,Kazake avait péris contre Kumo ainsi que Kunoki et les deux plus grands Nabutako et Minazu contre Konoha.Une fière équipe dissoute après le départ de Saikaku pour l'Akatsuki,n'ayant pas pus rester en contacts avec sa amis il appris alors leurs morts dans divers journal de pays c'est alors la que les deux plus pires et douloureuse moments de Saikaku l'avait transformé en cette bête hideuse et mortel et ainsi crée la haine envers le monde des shinobis.Mais les temps passèrent et Saikaku oublia d'avoir fais leurs deuils sur leurs tombes une chose impardonnable a un ami aussi fidèle qu'était son ancienne team de terroristes,mais les gens changent et Saikaku ne pouvait rien y faire parvenant a la porte de Ame un garde arréta Saikaku en l'appelant maitre cependant le second prévenu le premier que Saikaku n'était pas aussi doux qu'il paraissait cependant d'un soupir Saikaku passa a travers des gardes sans les tuer vif ment sans aucuns remords comme il l'aurait fait autrefois.Les gardes étonnaient que Saikaku n'est pas sortie son sabre reprirent le places et observèrent l'horizon,Saikaku la téte baisser et les vêtements mouillés entra dans une cave a saké et acheta une caisse entière puis après quelques mètres plus loin entra dans un tabac et acheta un paquet de Zengu.Des cigarettes blondes assez cher car préparé avec soins étaient devenu en peu de temps les meilleurs cigarettes au monde,puis alors Saikaku s'arrêta et contempla la grande tour de dieux aussi apeller la maison de Pein et posa sa main sur la porte,influant son chakra dans la serrure fut reconnu comme étant un membre de l'Akatsuki important et alors entra dans la tour.Il marcha dans le grand escalier de la tour et enjamba marche par marche les six étages que conféraient la tour de dieux.Arriver dans la pièce de réunion Saikaku enleva son kimono noir se retrouvant torse nue et se posa sur le sofa avec son paquet de cigarettes et sa caisse de Saké,il ouvra le fin plastique protecteur du paquet et enfonça une clope dans sa bouche bloquait par ces fines lèvres violettes,approcha le bout de la cigarette par la flamme que la bougie avait crée et aspira un grand coup cette première bouffé de fumer si bonne dans ces poumons.Il ouvra la caisse de Saké et saisie une bouteille qu'il bue cul sec sans avoir de mauvais retours gastriques,une bouteille tomba du sofa puis deux et trois boire encore et encore jusqu'à qu'il n'en reste plus qu'une a partagé avec ces chefs pour se souvenir du bon vieux temps.Il recracha la fumée remplis de goudron et après avoir terminer sa première cigarette en pris une puis deux puis trois,jusqu'à qu'il n'en reste plus que quatre dans le paquet puis il se leva métant en route un vieux tourne disque pour laisser place a une musique douce et calme fondant l'ambiance.Pourquoi se pourrir la santé comme sa,et bien juste pour oublier le passé et les problèmes qu'il avait acquéris au fils des temps.Quand Saikaku alluma une des quatre cigarette restante la flamme de la bougie fut un peu soufflé par une apparition soudaine,Saikaku ferma les yeux en rigolant et tira une autre latte sur sa zengu.Recrachant un nuage de fumée et se remis droit sur le sofa clope a la bouche la dernière bouteille de saké sur le table en verre avec trois verres autour de la bouteille le cendrier remplis de clopes et de cendres froides Saikaku observa Pein venant juste d'arriver sur les lieux,mais Madara n'était toujours pas la a croire que ce défunt Uchiha était mort au combat retirant un trait sur sa cigarette augmentant alors la lueur orangé au bout de sa cigarette observa Pein sous sa réel forme...

Tu en as bien mis du temps,ou est Madara a t'il péris au combat ce cher premier Uchiha de lignée...

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… Comme un sentiment de rejet exacerbé… Comme un caillot de bile que l’on a du mal à expulser, comme un sentiment d’amertume, comme une sueur froide vous parcourant l’échine. Il se sent lourd, immobile comme une statue. Il lève la tête vers le ciel, voyant d’abord cette petite lumière qui semble atténuée par la noirceur du ciel du pays de la pluie, puis la lumière transperce ce voile épais, poussiéreux, elle l’éclaire enfin cette statue immobile, le réconforte un peu. Il regarde le ciel noir, ombragé, qui ne contient aucune quiétude, il oublie le temps passé et à venir, ses souffrances pendant un court instant ne sont plus que des passages difficiles, il ne se rend compte que du spectacle de la lumière sublimée qui s’offre à ses yeux, il oublie ses lourdes tâches confiées, il oublie les chaînes qui le retiennent, il ne voit plus que les formes de ses desseins tel un mirage devant des yeux mi clos, la lourdeur s’efface, le sentiment d’amertume recule, laissant place à la légèreté, son âme s’évade, il ne pense plus, il est libre de toute réalité, il saute dans le vide, défiant pendant quelques secondes les lois de l’apesanteur, défiant les lois même régissant ce monde, le vent dans ses cheveux s’engouffre, froid, plaisant. La liberté à son apogée se poursuit, l’homme après avoir décrit une improbable parabole dans le ciel viens de retomber sur ses pieds provoquant un léger remous d’eau, il poursuivit sa course laissant le rêve se continuer, bondissant, sautant, utilisant aussi bien les mains que ses jambes dans son incroyable course, il accélère, accélère encore, incroyable dextérité de ses muscles se mouvant en silence sous le kimono parsemé de nuages rouges. Ombre rampante, fantomatique, indétectable, sa vitesse s'amplifie, puis il se stoppe. Un arrêt brusque, tout s’arrête, le rêve d'un instant se termine, les chaines réapparaissent aussi rapidement qu’elles étaient parties, le voile d’obscurité se referme brusquement privant la créature du pur moment d’émotion don elle jouissait. La réalité reprend ses marques, sereine et implacable. Un soupire, un murmure de résignation de lassitude, son regard se crispe, son destin l'attend. La souffrance apparait. Il change de direction. Petit tintement imperceptible, minuscule annonce, simple murmure. Il s’éveille, l’œil de l’homme s’ouvre calmement. Elevant doucement sa carcasse au gré des ombres menaçantes de la pièce. Humectant l’air à la façon d’un animal en manque de sang se laissant imprégner des moindres sensations. Ses lèvres forment déjà un sourire amusé en imaginant la satisfaction incommensurable qu’il aurait à réduire à néant l’homme qui osait troubler son sommeil. La barrière de pluie avait été franchit et l’instigateur du procédé était maintenant près à recevoir cet invité surprise. Cet intrus, ce misérable insecte ce trouvait en ce moment même devant la tour bravant par sa seule présence l’autorité divine. Mais maintenant il ne pouvait plus fuir.. La pluie dégoulinait en ce moment même sur ça tunique et il était dans l’esprit de Dieu aussi visible qu’une tâche noir dans un océan de blanc. Un soupire serein s’éleva dans la pièce. Une seule certitude perçait les voiles obscures de son esprit : l’intrus venait pour lui. Bien que rien en apparence le montrait l’homme a la chevelure rouge éprouvait une grande satisfaction de pouvoir enfin sortir de son apathie et distribuer la mort. De plus à en juger par le Chakra l’inconnu la cible était de choix et non à prendre à la légère… Les secondes s’écoulaient, il s’était levé debout sur la terrasse immobile, le regarde vide fixant son territoire gagné, en cet instant il ne pensant pas, son esprit torturé par cette lassitude de ses pluies protectrice le mettais face à une réalité, une réalité que peu partagent, une triste réalité, une réalité de souffrance... Pourtant le chemin jusqu’alors accompli avait de quoi être gratifiant. Tout un pays soumis à sa volonté, une organisation a son apogée de puissance près bientôt à déferler sur le monde ninja tel un flux destructeur pour distribuer la souffrance. Le chemin vers l’harmonie était déjà bien entamé et rien ne pourrait l’empêcher de continuer. Pein en fin stratège savait que le plan du combat qui allait inéluctablement se dérouler devait être préparé à l’avance. La stratégie devait se mettre en place. L’invisible Pein ne tenait pas ça réputation d’illusoire parole. Il était Dieu, et en tant que tel ne commettait jamais d’erreur. Un imperceptible bruit se fit entendre, Une personne venait de rentrer dans la salle. Qui ? Noctis c’est toi mon vielle amis… Nagato ce permit un sourire.

-Je ne sais pas ou est Madara et hélas, mon règnes touche à sa fin.

Et ainsi l’homme redeviendra poussière…

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Les lois qui régissent en ce monde sont d’une cruauté insensée, le plaisirs tant attendu d’un être à qui l’on peut donner la naissance finit par un abandon crucial de la vie pour une triste action éphémère mais qui reste encrée jusqu'à la fin des temps, la mort. Cette mort est impartiale, elle ne juge point, elle condamne, si cette même mort vous frape, vos chance de survie sont nul, et rare sont ceux qui prétendent y avoir put échapper. On y échappe une fois, deux touts au mieux, mais elle finit toujours par nous rattraper et avoir raison de nous. Aucun mortel ne peut prétendre en ce monde de connaître et d’avoir perçut les secrets de la mort. Aujourd’hui la mort frappa, pourtant a celui que l’on aurait crut immortel tel un dieu dans les cieux, s’en va sans laisser de signe apparent d’une quelconque faiblesse, seulement par le fait qu’il ne s’agisse pas d’un dieu mais d’un véritable mortel. Bientôt un véritable dieu naitra en ce monde, madara le souhaite jusqu’au plus profond de son âme. Madara avança dans la tour céleste, cette qui abritait jadis l’homme qui ressue un pouvoir phénoménal issu du plus lointain shinobi de l’histoire, l’homme faisant tombé la pluie, l’homme qui se prit pour dieu, l’homme qui défia les montagnes, mais aussi l’homme qui malgré sa grandeur ne put faire fasse a la dur réalité de la mort. Madara était devenu véritablement conscient qu’il était bien loin d’être dieu sur cette planète, même si son pouvoir était colossal et puissant, il n’avait pas l’immortalité d’un dieu mais bien la simple apparence d’un mortel, tout comme pein ce procédé de la mort pouvait lui tombé dessus. Madara monta tout en haut de la tour céleste ou régissait pein, il n’était pas le seul à être la, son compagnon et acolyte saikaku était aussi présent, sa désertion de la vieille akatsuki allait lui permettre un chan de vision plus vaste et ses plans pourraient ainsi s’étendre jusqu’au frontiere de la mort mais ceci est une autre histoire…Pein se tenait là en face de madara, il ne semblait pas mourir d’une quelconque souffrance mais du simple fait que cette mort l’avait choisit lui. Sa mort ne signifierait pas la fin pour madara, mais bel et le bien le début d’un renouveau, il n’existe point de défaite en ce monde car elle permette de se révéler plus haut et de recommencer à zero. La mort de pein était finalement une simple nécessité. Madara ne pouvait pleurer ou avoir un simple remord, car finalement même si il l’avait soutenue jusqu'à sa mort il n’était qu’une simple marionnette destiné au plan de madara. Ceci dit sa mort offrait pour lui une révélation comme il n’en avait eu depuis de très nombreuses années de même de l’intervention de créateur uchiha régissant dans le corps de madara, scellé en lui car il ne put être vaincu. Sojobo, de la même ethnie que susanu était roi des tengus, tout cette guerre tout ce pouvoir était en partie de sa responsabilité, comme la naissance du premier uchiha, amis qui contrairement à madara ne connu pas le mangekyou sharingan eternel, si sojobo était dans le corps de madara, c’est par le simple fait que celui-ci voulu s’emparer de ce corps si parfait et si puissant. Le dieu qui était depuis de nombreuse année enfermée dans son corps se mit a parler. Madara entendait une voix tout au fond de son âme, une voix familière mais qu’il oublia au fil du temps.

*Madara uchiha, voila ce qui t’attend, l’aube n’est que trahison et de cadavre, tu ne peux réussir cette quête que tu te condamne a entreprendre en ce monde, tout simplement parce que tu n’es pas dieu, tout comme lui. Moi par contre, mon immortalité n’est plus à prouver, depuis que tu m’as enfermé dans ce corps pourri par le temps et par l’âge, les tengus meurt en l’absence de leur maitre, trouve un moyen de retrouver ma force et mon esprit et ce corps immortel que tu désire temps sera tient. Je me suis fait une raison véritable, je ne peux plus vivre en dehors de ton corps, je t’appartiens, et mon pouvoir sera tout aussi. Aujourd’hui ton ami est sur le point de mourir, ne devient pas comme lui mais comme moi, et ainsi ta puissance sera suffisante pour régner en ce monde.*

Tel furent les paroles du dieu tengu, cette mort ne devait être qu’un avertissement, un message venu de la mort elle-même, disant qu’aujourd’hui madara n’était pas prêt a mourir mais lorsque ce jours serait venu, un chaos semblable a l’apocalypse arriverait mais ce pouvoir, madara ne pouvait pas encore le convoité. Madara se pencha alors sur le chevet de pein.

Aujourd’hui mon ami sonne la fin de notre époque, tu ne mourras pas pour rien, car tes efforts et ton idéologie mon permit d’ouvrir les yeux sur certaine chose, aujourd’hui ta mort est imminente mais je n’oublierais pas ce que tu ma permit d’accomplir, dieu n’est ni toi ni moi, mais il s’agit simplement d’une question de principe, de connaissance, mais non une question de puissance ou de pouvoir. De plus la question sur le seikurai m’intrigue, ces pierres sont liées a quelques chose et en lien avec la personne qui les dirigent, surement extrêmement puissante, j’enquêterais un peu plus sur les projets et qui la gouverne. Le bien et le mal n’existe pas, les plus forts gouvernent et les plus faibles subissent tel est mon destin ainsi que ma détermination. Adieu mon ami nous nous retrouverons tôt ou tard…

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Un autre nuage de fumée sort de la bouche de Saikaku observant l'arrivée de Madara et le sang coulant de la bouche de Nagato,un petit regard de ces yeux parcours alors le futur sentiment de perte d'un membre au couleurs soyeuses.Bien que la mort de Nagato s'accroche a grand la pluie reste encore et toujours triste face a ce futur défunt,Saikaku fermant les yeux ne pouvant rien faire contre les lois de la nature décide alors d'offrir le meilleur derniers moment au posséseur de rinnengan,attrapant la bouteille de Saké sur la table il remplis alors les trois petits verres de cette alcool blanc,il en tend un a Nagato puis un autre a Madara.Aujourd'hui était un grand jour qui devait a présent étre mémoré a Ame comme étant le jour ou le dieux de ce village devait se faire arracher la vie par ce qu'on apellait la mort qui se glissé lentement dans le corps de Nagato vue l'augmentation de sang coulant par sa bouche,Saikaku ecrasa alors sa cigarette dans le cendrier créant un très cours flux de fumée émanant et partir en direction de hauteur,enfin Saikaku ralluma une des trois cigarette restant dans le paquet puis en posa une a cotès des vérres de saké.Encore une fois la fumée de ce tabac entra dans les poumons de Saikaku et sorta aussitôt par la bouche de Saikaku qui soupira en méme temps,les guerres se suivent et s'accumulent mais l'âme du ninja elle reste intacte.Saikaku avait compris sa grace a Madara et Nagato,un trio vraisemblablement liées par les mémes buts de vengeance et de paix,mais Nagato allait mourir par la simple main d'égoisme de Sasuke Uchiha qui au dernier moment révéla sa lacheter.Maintenant Saikaku avait en vut son deuxieme but non pas venger Pein mais lui prouver que Saikaku lui aussi donnera un jugement a Sasuke par la main de dieux qui sera par la main du grand destructeur Sadique qu'on apeller autrefois Tsukyo Saikaku.C'est alors que les premiéres larmes arrivents et qu'elles coulent le long des petites et fines joues roses de Saikaku qui observe Nagato avec fierter et honneur tout en élevant son verre de saké a mis hauteur face a Pein et Madara les deux plus grands chefs d'Akatsuki qu'il n'avais jamais eu et surtout n'avais jamais connue comme tel,le temps n'était plus place a la tristesse mais au départ d'un grand homme qui était arriver a ces buts graces sa conviction et sa force de vaincre,un homme qui a su montré qu'elle était la véritable puissance de l'ancienne organisation mort qu'était Akatsuki...

A Nagato ! Le meilleur chef que j'ai jamais connue ! Et au plus grand Meneur n'ayant jamais refouler le sol de mère nature a Madara ! Nous nous quittons mais nous nous retrouverons bientôt nous aussi près de Pein dans ce qu'on appelle la grande divinité du paradis ou de l'enfer.Au meilleurs moments passer avec vous et que notre renommée sois immortel !

Totalement bourré Saikaku enfila son verre cul sec,mais étant bourré cela lui empêcha pas de dire ces belles paroles avant que le grand trio de l'Akatsuki se disperse et ainsi devienne eux méme autonome,Nagato qui nous quitte Madara et ces rêves de puissance et Saikaku partant peut étre a la retraite après avoir compris que les gens comme lui étaient les palpâtes créateurs de la guerre.Observant l'état de Nagato empiré,souffle plus lente et trémoussements émanant de sa bouche sentant la mort Saikaku alors se leva difficilement mis sur ces lourdes épaules un des capes restantes de l'Akatsuki et attrapa Nagato en lui donnant son plus grand soutient en posa sa main sur l'épaule qui considéra celui comme ami,Saikaku lui tendis une cigarette et déposa le verre de saké qu'il avait bue sur la table en verre prés du sofa,la musique triste et effervescente Saikaku donna un cigarette a Nagato qu'il lui alluma.Ainsi le détenteur rikudo pouvait partir et finir sa vie en connaissant les deux choses les plus bonnes et mauvaises a la fois crée par l'homme,Saikaku au cotés de Nagato et Madara observa de son petit regard fatigué l'horizon de la terrasse observant alors la pluie baissé énormément en quantité aujourd'hui Ame devait faire son deuil sur le dieux mais malheureusement ne pouvait étre la pour l'enterrement du grand homme d'on qui ils avaient peur car sa mort bien que grande devait rester secrète en sachant que seul Madara et Saikaku pouvait connaitre la réel mort de celui qu'on apeller autrefois Pein inculquant de la souffrance et de la douleur dans ce monde déja pouris par les méfaits du system shinobis.La pluie s'accentua doucement et le deuil a présent débuta dans la plus grande tristesse de celle de Saikaku et surement aussi celle de Madara.Le jeune déserteur une derniére fois observa Nagato en lui offrant le plus vraie des sourires qu'il pus lui offrir un vrai sourire d'adolescent qui donna espoir et courage a Nagato pour traverser les portes de la mort sans trop souffrir par la damnation que les dieux aller surement lui offrir sous ces derniéres paroles Saikaku pleurant de joie de voir son ami partirent le premier en direction inconnu ferma les yeux et avec tout bhonneur qu'il sois laissa son ami partir sans pouvoir faire quelque chose c'est alors que sa téte se baissa laissant ce petit sourir en coin de bouche dire aurevoir au plus grand homme de Ame...

Adieux mon ami que ton voyage ne sois pas trop long et douloureux,nous te regrétterons toi Nagato...

C'est alors que sur ces derniéres mots Saikaku dit aurevoir a son chef le plus grand surement de tout l'Akatsuki et ainsi le grand Nagato quittérent ces amis par un regard se fermant lentement et sa cigarette tombant de sa fine bouche...

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