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| La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) | |
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Invité Invité
| Sujet: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Mer 13 Jan 2010, 02:08 | |
| En ce petit matin d’Hiver, le soleil avait du mal a traverser la brume matinale. Ce n’était guère surprenant, mais le froid n’en était que plus mordant. Aussi, au lieu de sortir tout de suite, Akirô avait préparé un bon bol de lait chaud, en attendant que le thermomètre daigne afficher une température plus clémente, ce qui risquait de prendre un moment. Assurément, il faudrait sortir tôt ou tard, pour sa petite marche sportif, histoire de faire travailler un peu son endurance (son seul point vraiment positif dans tout ce qui était physique), et également pour que Shiranui (le magnifique loup blanc complètement affalé sur le canapé), aille faire ses besoins et son entrainement. Cela ne faisait guère longtemps qu’il l’avait reçu. Cela faisait une semaine précisément. Mais il semblait porter chance en tout cas, vu qu’il s’était vu devenir Jônin deux jours auparavant. Pourquoi soudainement cette promotion inattendu ? Mystère…mais le Mizukage semblait l’avoir remarqué enfin…plus ou moins en tout cas…surtout le loup en fait…mais vu que leurs wagons étaient attachés ensemble, ce n’était pas (trop) un problème pour Akirô. Il se souvint comment il était devenu chunin…par un pur hasard en fait, et beaucoup de chance. A l’époque, cela marchait par un espèce de tournoi. Le but du « jeu » était de battre trois adversaires en duel minimum, et de n’avoir aucune défaite a son compte. Ceux qui était battu était rayé de la liste par des juges, qui remettait ensuite ladite liste au Mizukage qui faisait le changement de grade, et devait se représenter à une autre session. Comment avait fait Akirô ? Il n’avait pas participé à l’examen, mais comme d’habitude, il passait complètement innaperçu, et n’ayant jamais pu perdre un combat, son nom ne fût pas barré de la liste, et il apprit avec surprise le lendemain son changement de grade.
Le Hakanai sortit de ses rêveries. Il était toujours sur son bureau, un parchemin devant lui, un pinceau dans la main. Il avait profité du froid pour préparer au calme au moins 2 sceaux prêt à l’utilisation. Lui qui aimait bien quand tout était ordonné, voilà qu’il se retrouvait avec un dernier parchemin, qui venait casser son bel ordre. Du coup, il ne savait qu’en faire, de ce bout de papier solitaire. Comme lui. Était-ce pour ça qu’il était toujours seul ? Était-il…de trop ? Shiranui s’ébroua sur le canapé, comme si les mauvaises pensées de son maitre les avaient atteintes, se secouant pour les chasser, avant de se coucher à nouveau, attendant le Jônin. C’est vrai, il n’était plus seul désormais, il avait ce merveilleux compagnon avec lui, qui lui portait manifestement chance…la chance…c’était décidé ! Le dernier parchemin sera un porte-bonheur. Quelque coups de pinceau plus tard, et son œuvre était fini. Il mit le bout de papier près du radiateur avec les autres, avant de filer se préparer. Maintenant qu’il était jônin, Akirô avait plus ou moins banni de son placard sa tenue traditionnel ninja. Il porterait désormais les vêtements qu’il souhaitait. De toute façon, c’est bien ce qu’il avait décidé pour la nouvelle année : s’affirmer un peu plus auprès des autres. Surtout qu’il pourrait un jour ou l’autre avoir des élèves, même si l’idée ne l’enchantait guère pour être franc. Une fois son écharpe nouée autour de son coup de manière élégante, il attrapa son bol de lait vide, avant de le nettoyer en un clin d’œil, avant de le ranger avec le reste de la vaisselle. Il remarqua encore une fois qu’il avait beaucoup de couvert, mais il n’avait jamais eu besoin de sortir plus de 3 assiettes, tout le reste prenait la poussière…peu importe, il n’allait pas revendre le reste non plus. Alors qu’il pliait les derniers parchemins avant de les emportait, Shiranui se tenait devant la porte et faisait de petits bonds, ponctué d’un aboiement ou deux pour que son dresseur se bouge un peu.
Une fois dehors, la température était toujours aussi froide. Au mieux, il faisait un degré de plus que tout à l’heure…mais pourquoi ne pas être resté devant la télé, ou sur le canapé avec un bon livre ? D’ailleurs, il pouvait aller jeter un coup d’œil à la bibliothèque, des fois qu’il trouve l’affaire du siècle…mais bon, pour le moment, il fallait faire le tour de la ville pour Shiranui. Après une bonne progression, l’animal s’arrêta enfin, près des portes du village. Le loup trouva une odeur forte intéressante, qui lui donna envie de faire sa petite commission. Ils firent quelque pas de plus, avant que le Hakanai regarde à travers une vitrine. Elle proposait des armes en tout genre, aussi tordu que géniale…certes…mais même si certaine plaisaient vraiment à Akirô, il savait qu’il n’avait pas le bon feeling avec les armes. Si seulement il était un peu moins maladroit…J’avoue, il se cachait beaucoup derrière ça pour ne pas trop s’entrainer physiquement, ce qui était le réel handicap. Avec les armes, il s’en sortait assez bien avec les shurikens, et ça s’arrêtait là en vérité. Shiranui vit son maitre regarder la vitrine, comme si il enviait quelque chose, avec ce regard mêlant regret et tristesse dans une profonde mélancolie…Mais le loup blanc n’eut pas le temps de chercher à deviner à quoi pensait son humain,car sa truffe venait de lui indiquait qu’une nouvelle odeur s’approchait d’eux. |
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| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Mer 13 Jan 2010, 16:55 | |
| Enfin, je suis dans le village, quoi de plus plaisant que de bien se sentir chez sois. Bon, évidement, je n'ais plus de maison, mais après tout, ça m'est égal, je m'occuperais de m'héberger plus tard. J'autorise Tsuki & Sosa' de se défouler un peu, dans le but d'être un peu seul, qu'elles aillent dans la forêt, dans la montagne ou même dans le village ... Le moment est venu de rememorer le visage de la ville, une vue aérienne suffira, Je trouve un point culminant qui s'averait être le toit de la tour du Mizukage. La première chose qui me vient à l'ésprit, c'est ce pont géant. Il a dû être construit quand j'étais encore à Yuki. Un peu partout dans l'archipèle, je peux apercevoir des demeurres camouflés de part le bon nombre d'arbre et d'autre part la neige qui envahit la totalité du pays. Sur "l'île noyau" du village, qui joue le rôle de "centre-ville", je regarde avec étonnement, l'activité du commerce, qui jadis était très pauvre. Le flux d'échange, la quantité de produit, et tout ce qui va avec à surement nettement augmenté ! Le village caché de la brume donne une bonne image de lui ...
Satisfais de voir que le village à bien évolué, l'idée me viens de manger suite à quelque bruit désagréable provenant de mon ventre. Je cherche un endroit ou je pourrais me trouver de quoi manger et je n'ai que très peu d'argent, mais je trouve finalement un restaurant ou la plupart des produits son offert à l'occasion d'une fête en l'honneur d'idéaux qui ont changé Kiri. Sans plus attendre, je m'empresse de m'acharner sur cette bonne nourritureaprès commande et je pense à mon avenir de ninja. D'abord, qui est le nouveau Mizukage ?! J'éspère qu'il est à la hauteur du dernier. Lorsque j'ai quitté le village, j'étais Junin et encore, je me suis bien amélioré. De toute manière, ce sera au Kage de décider ce qu'il en resulte de mon grade. Après avoir payé ce cher garçon, je lui demande s'il sait ce que "Zabuza Momochi" est devenu. Et oui, lorsque j'étais gosse, c'était mon sensei. Après l'extermination de ma famille et mon départ pour Yuki, je ne sais pas grand chose sur lui maintenant ...
"Voyons vous ne savez donc rien de ce qui s'est passé ?? Pourtant, la mort de l'assassin du mizukage a parcouru le monde !"
La, je me suis directement demandé si on parlait de la même personne, malhereusement .... Il m'expliqua tout. Après mon départ, Zabuza aurait tenté un coup d'état,, est-ce possible ? Au début j'y croyais pas beaucoup. Il paraitrait que c'est avec l'aide d'une arme puissante, un élève ayant le don de manipuler le hyôton, qu'il se saurait fait battre par des ninjas du village de Konoha en empechant la construction de l'énorme pont que j'ai vu tout à l'heure. Sous le choc, je repars en ville, esperant retrouvé Tsuki ou Sosa'. Justement voilà la louve. Seulement quelque chose n'était pas normal. Nan .... C'était pas Sosa' mais un autre Loup. Je le sais, tout simplement à cause de sa taille et de son poil beaucoup plus blanc que celui de Sosa'. Qu'est-ce que ce loup pouvait bien faire là ?! Je m'en approche mais m'arrete brusquement lorsque j'entends le "waf" de ma louve. Je me dirige vers elle et me pencha pour la carresser.
"Que t'arrive-t-il ?! T'as bouffé pas moin de 6 cadavre tout a l'heure, ne me dis pas que t'as encore faim ?!"
Nan, ce n'était pas ça, elle se mit assis près de moi et fixa l'autre loup. Sa présence ne l'as plaisait pas, à moi non plus d'ailleur. J'immagine que ce loup à un maître, sinon il se balladerait pas de la sorte sans tuer de villageois. Puisque je vois un ninja que l'on reconnait à sa tenue et à son bandeau, j'attrape son épaule et lui adresse la parole, effectivement, je trouve ça interressant de savoir que je ne suis pas le seul à trimbaler une bête à l'instinct tueur avec moi. Je lui lança :
"Bien le bonjours, je suis Nichol Hayate, voudrais-tu bien me dire qui tu es ?!"
Avec ma voix sec et direct et mon visage si vide d'expression désagréable qui donne pas envie de me parler, me voilà bien parti ! Attendons sa réaction ...
Dernière édition par Nichol Hayate le Sam 30 Jan 2010, 16:51, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Mer 13 Jan 2010, 23:56 | |
| Le Hakanai était plongé dans sa contemplation. En vérité, pas tellement à cause des armes, plutôt par l’homme qui faisait une démonstration a un client pour lui montrer comment utiliser au mieux un bôken dans le magasin. Akirô avait envie de rentrer dans la boutique et de demander une démonstration de toute les armes disponibles, histoire de voir son beau minois de plus près le plus longtemps possible…ùmais il se doutait bien que cela ne marcherait pas entre eux. Combien d’homme était comme lui dans ce monde ? Si peu hélas…c’était cette fatalité qui lui taillait cette tristesse dans le regard, qui assombrissait autant le visage du ninja. Il ne remarqua même pas l’agitation dans son dos, jusqu’à qu’il y fut contraint lorsque un inconnu l’aborda de force, en lui empoignant fermement l’épaule, ce qui fit sortir brusquement Akirô de ses pensées, un peu comme quand vous ètes dans un rêve, dans un sommeil très profond, et que votre réveil sonne à tue-tête juste à ce moment-là. Très désagréable en gros. Mais lorsqu’il vit ce géant tas de muscle comparé à lui, une pensée sonna dans son esprit comme une sonnette d’alarme : « mieux vaut ne pas se frotter à lui ! » "Bien le bonjour, je suis Nichol Hayate, voudrais-tu bien me dire qui tu es ?!" Le regard de ce Nichol coupa le sifflet momentanément à notre pauvre Akirô. Mais ce dernier se doutait bien qu’il ne lui servirait à rien, bien au contrairement, il émit une réponse qui traduisait son esprit troublé. « Je…je me nomme Hakanai Akirô…J… Jônin récent de KiriGakure » Pourquoi donner son grade à un inconnu ? Autant lui donner directement son numéro de compte bancaire et les clés de son appartement ! Mais pas le temps de s’attarder sur les bêtises qu’il était en train de déblatérer. En effet, derrière ce colosse de Nichol se trouvait Shiranui, qui tournait autour d’un autre canin, qui lui aussi le reniflait tout ceux qu’il savait. Malheureusement, les oreilles dressées de Shiranui n’étaient pas de bonne augure. Il n’appréciait manifestement pas l’autre animal, qu’il prouva en marquant le territoire. Il n’allait pas tarder à sortir les crocs et les griffes à ce rythme. « Shiranui ! Viens ici ! Ce n‘est pas le moment de faire des histoires» Le loup obéit sans protester, mais il ne lâchait pas du regard l’autre canin, qui il fallait l’avouer, lui ressemblait beaucoup. Akirô avait pour le moment retarder le problème, mais il craignait que tôt ou tard, les deux bestioles ne s’affrontent. Il s’adressa de nouveau au Hayate. « Désolé, mais je n’ai pas l’impression que ses deux-la s’apprécient beaucoup. Je n’ai pas envie que mon loup le blesse » …Ouais…maintenant qu’il l’avait dit, il se rendait compte que cela sonnait de façon très vantarde. Tant ce serait Shiranui qui serait blessée, et non l’inverse. Et en jetant un œil sur Nichol, il se rendit compte également que si il devait se battre contre lui, ce potentiel adversaire pourrait faire craquer ses os comme des allumettes. Non mais regardez moi la taille de ses bras ! Et ses abdos qui se dessine tout seul sous sa tenue. Lorsqu’il lui avait attrapé l’épaule, il avait déjà sentit un échantillon de sa force, une force destructrice…Mieux fallait rester sur ces gardes…et surtout, ne pas le provoquer…Quand bien même, tout ses muscles…non, pour Akirô, cela ne renforçait pas tellement sa beauté. Cela ne rendait pas Nichol plus beau, mais plus…terrifiant…oui, c’est le mot. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Jeu 14 Jan 2010, 01:44 | |
| « Je…je me nomme Hakanai Akirô…J… Jônin récent de KiriGakure »
Ce jeune homme est donc bel et bien un ninja de kiri je ne m'étais pas trompé. Il me semble un peu perturbé, l'aurais-je fait peur ?! Ben, c'est vraie que je l'ais intercepté de façon brusque, mais je le voyais réagir autrement. Il s'appelle donc Akirô ... Ma première impression sur lui : et ben, je l'aime bien. J'étais été coupé des humains pendant un bout de temps et les seuls êtres que j'ai pu rencontrer n'avaient que pour but de me piller ou de m'éxterminer, ils étaient affreux, habillés de façon provocateur, des entrés mal foutus, bref, pas besion d'entendre quoi que ce soit venant de leur bouche pour avoir envie de les taper un peu. Pour Akirô, c'est cette nuance de brun ! Ses cheveux, son regard, son style, en d'autre mots, il a la classe ! Quelque secondes après sa présentation, il appella son animal.
« Shiranui ! Viens ici ! Ce n‘est pas le moment de faire des histoires»
Bon, j'immagine bien qu'il ne veut pas de confrontation, mais est-ce que ce loup va réellement rapliquer et retourner près du junin ? Et ben oui ! Wouah quelle obéissance ! J'ai apprivoisé Sosa', mais si jamais je la pointe du doigt pour lui donner un ordre, elle n'hésiterait pas à me l'arracher. Akirô me lança directement.
« Désolé, mais je n’ai pas l’impression que ses deux-la s’apprécient beaucoup. Je n’ai pas envie que mon loup le blesse »
Nan ! En effet, ils ne s'apprécient pas vraiment. Pour Sosa', il faut un temps d'adaptation. Mais je reviens sur les paroles du Junin. Blesser Sosa' ?! Ben, je pense que ces plus que probable. Tout d'abord, c'est une femelle, les mâles ont surement un système de défense (croc, griffe ...) plus dévellopés, de plus, j'immagine que ce loup a été entrainé pour combattre. Je lance un kunai qui s'arrète juste devant ma louve. C'était ma façon de dire "casse-toi", ben oui, utiliser des mot doux, c'est hors de question pour moi. Ce qui m'amène à Akirô. Je me retourne de nouveau vers lui et étends la discussion.
"Elle, c'était Sosanitchy, mais je l'appelle tout simplement Sosa'. Elle est de nature sauvage et n'aime vraiment pas les ordres. Mais par contre, ton loup obéit au doigt et à l'oeil, je ne savais pas que c'était possible pour une telle bête ..."
J'aimerais bien sourire ... Mais ... Comment dire !! Impossible, c'est plus fort que moi. Trop de chose lié à mon passé m'en empêche, ce n'est pas volontaire, c'est naturel. Je suis obligé de gardé ce regard aussi sérieux qu'il soit. En même temps que je parle, je récupère mon kunai avec un fil de fer que j'ais auparavant accroché au projectil et je le fait tournoyer autour de mes doigts, pour ensuite le tenir fermement dans la main (une habitude). Pour cet après midi, j'ai envie de me détendre et l'idée, aussi stupide soit-elle, me viens de le passer avec Akirô ...
Dernière édition par Nichol Hayate le Sam 30 Jan 2010, 16:52, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Sam 16 Jan 2010, 01:35 | |
| A peine Shiranui de retour, qu'un kunai parta juste devant l'autre animal, qui parti dans l'autre direction, manifestement appeuré par l'attaque de son maitre. Akirô fût très surpris de l'action de Nichol, et manqua de sursauter en lachant un petit cri, mais finalement il réussit à se contenir et a rester planté comme une souche. "Elle, c'était Sosanitchy, mais je l'appelle tout simplement Sosa'. Elle est de nature sauvage et n'aime vraiment pas les ordres. Mais par contre, ton loup obéit au doigt et à l'oeil, je ne savais pas que c'était possible pour une telle bête ..."
Avant que le Hakanai n'ait eu le temps de répondre, son loup se dandinait joyeusement pour aller chercher le kunai, comme à l'entrainement de son attaque "va chercher !", mais le kunai revint dans les mains de son propriétaire grâce à un fils insivible, et la tentative de rattrapage de Shiranui échoua. Akirô se dirigeait d'un pas lent vers sa boule de poil. "Tu sais, pour moi non plus ça n'a pas été facile avec cette bestiole, et il y a des jours ou j'avais envie de le transformer en steak haché. Mais avec de la patience, on a finit par s'entendre tout les deux..." Akirô détourna le regard de son locuteur, pour se focaliser sur Shiranui, avant de lever les yeux aux ciel sombre. Son regard lui-même semblait avoir perdu de l'éclat. A quoi pouvait donc songer le ninja ? "Je ne sas pas si tu y a pensé, mais pour Sosanitchy, c'est plutôt rude. Ses animaux ont des sentiments eux aussi. Comment penses-tu que sont les siens envers toi si tu la traite ainsi ?" Il ne regardait toujours pas son interlocuteur. Le ton d'Akirô d'invitait pas à la plaisanterie, loin de là. Il avait de la peine pour cette louve. De plus, il avait du mal à comprendre ce géant. Comment être aussi méchant ? S'en rendait-il au moins compte ? C'est ce que nous allons voir ! Sans crier gare, Le maitre de Shiranui un bout de papier dans la direction de Nichol. Sur ce papier était dessiné un sceau...activé juste avant le lancé. A mi-chemin, les signes composant le sceau s'illuminèrent, avant de créer une explosion lumineuse qui étourdissait ceux qui avait a maladresse de regarder l'explosion, aussi bel fût-elle. Une fois la lumière du sceau disparut, Akirô reprit la parole. "Tu t'es senti agressé n'est-ce pas ? Ce sceau n'était pas dangereux, comparé a ton kunai. Peux-tu désormais te mettre à la place de ton animal ? Crois-tu que c'est ainsi que vous pourrez progresser ensemble ? Si j'avais eu cette relation avec Shiranui, je crois que cela ferait un bon moment qu'il ne m'aurait croqué, ou serait parti sans aucun regret. N'est-ce pas boule de poil ?" La boule de poil en question tirait la langue, la tête légèrement penché sur le côté, avec un air peu intelligent, comme si il ne comprennait pas un traitre mot de tout ce qui disait. Le Hakanai était pourtant certain que si il parlait de nourriture, le loup réagirrait au quart de tour. Mais là n'est pas la question, c'était le tas de muscle qui importait pour le moment. |
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| Sujet: A Sam 16 Jan 2010, 12:50 | |
| "Tu sais, pour moi non plus ça n'a pas été facile avec cette bestiole, et il y a des jours ou j'avais envie de le transformer en steak haché. Mais avec de la patience, on a finit par s'entendre tout les deux..."
Je le vois se diriger sans précipitation vers son loup. Que voulait-il dire ? S'entendre, est-ce vraiment une question de patience ? Avant que je puisse retorquer ses maux, il en lance d'autres.
"Je ne sas pas si tu y a pensé, mais pour Sosanitchy, c'est plutôt rude. Ses animaux ont des sentiments eux aussi. Comment penses-tu que sont les siens envers toi si tu la traite ainsi ?"
Rude pour Sosa' ? Bon, je pense qu'il parle sans vraiment savoir ce qu'il y a pus se passé dans sa vie. Si on compare, un instant dans son ancienne meute, et un autre avec moi, Akirô ne dirait pas la même chose. Sosa a vécu son enfance sous un statut de souffre-douleur au sein de loup encore plus meurtrier, je l'ai retrouvé à moitié morte, et dire que je la traite pas convenablement, je trouve ça un peu exagerer. Bon ... C'est vraie que le kunai, c'était peut-être un peu trop ! Mais j'allais pas venir vers elle et lui demandé gentiment de dégagé, c'est contre ma nature !
Bon, je m'énerve un peu, et voilà que je me suis fait avoir par un stupide sceau. Ce à quoi je ne m'attendais pas, c'est qu'il en dégagé de la lumière aveuglissante. Que pourrait-il arrivé ? Est-ce Akirô ? Une embuscade ? Les p'tits amis de ce que j'ai massacrer tout a l'heure ? Et bien non. Avec un regard encore sous le choc, je fusille de celui-ci, le junin responsable de cet acte. Nan mais qu'est-ce qu'il lui a pris ?!?
"Tu t'es senti agressé n'est-ce pas ? Ce sceau n'était pas dangereux, comparé a ton kunai. Peux-tu désormais te mettre à la place de ton animal ? Crois-tu que c'est ainsi que vous pourrez progresser ensemble ? Si j'avais eu cette relation avec Shiranui, je crois que cela ferait un bon moment qu'il ne m'aurait croqué, ou serait parti sans aucun regret. N'est-ce pas boule de poil ?"
Après avoir compris le sens de ses paroles, je ne pus m'empecher de laisser passer un p'tit rire discret. S'il y tiens tant, je vais lui montrer a quoi rime notre progression. Je me dirige vers lui, lentement. Le calme regagne mon visage, je fronce les sourcils marque de colère sans pour autant en être le sujet. Je frôle Akirô j'atteins le bout de la rue, et voyant qu'il ne suivait pas, je dis d'une voie calme et tout a fait reposé : (j'insiste la dessus, je ne voudrais pas que ma colère se fasse sentir)
"Alors ?! Tu viens ? Je vais te montrer quelque chose ..."
Je reprends le chemin vers les portes du village. La-bas, il y a les six corps dont Sosa' en a bouffé la casi-totalité. Je veux lui montrer, a quel point elle se fichera de comment je la traite, pas comme elle le fait elle-même avec les humains proprement dit. Je suis fatigué, j'ai envie de me détendre, je voudrais bien que Tsuki pointe le bout de son museau, mais la, Akirô devient interressant et j'ai pas envie de passer à côté de cet occasion ....
Je me poste en haut d'un arbre et attends patiement qu'il vienne, ainsi, si a cette hauteur, il baisse les yeux, il pourra admirer ce que Sosa' fait des humains : plus un seul corps n'est d'un seul morceau, les boyaux recouvraient le sol, une odeur de sang, de mort, d'atrocité régnait a cet endroit, les victimes semblent vidées de flux vitaux, leur yeux sont grand ouvert et nous font voir qu'ils ont été l'objet de ce qu'il a de plus pire au monde, la torture ...
Dernière édition par Nichol Hayate le Sam 30 Jan 2010, 16:53, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Sam 16 Jan 2010, 19:50 | |
| Un léger silence suivit la déclaration du jeune Akirô. Il espérait que c'était les rouages de son esprit qui s'enclenchaient qui laissaient ce temps d'attente dans la conversation. Mais enfin ce silence fût brisé. Par une confession de l'esprit ? Diable que non, mais un léger rire se fit entendre. C'était pas le rire d'un sadique, plutôt celui d'une personne qui comprend a qui elle à affaire, et qui dit "intéressant". Le Hakanai ne se sentait pas spécialement menacé...mais il ne se sentait pas non plus totalement en sécurité...Minute ! Voilà qu'il se dirige d'un pas grave vers le ninja sans doue trop téméraire ! Le regard sévère de Nichol était en train de provquer le doute par rapport a ses intentions. En fait, il avait l'impression qu'il allait se faire taper dans les econdes qui suivaient...Bon...avouons-le...un mec super bien sculpté avec un regard de braise en colère, c'est sexy. Sauf quand ses yeux vous regardent VOUS ET VOUS SEUL ! Dans la tête d'Akirô, la sonnette d'alarme battait à tout rompre.
"Si il veut éclater ma tronche, plus personne va me reconnaitre..déjà que je connais peu de monde, je suis pas sorti de l'auberge !"
Mais non, rien de tout ça. La main crispé dans sa poche sur le premier parchemin qu'il avait pu attraper, le ninja énervé passa sans mot dire juste à côté de lui. Akirô, changé en statue de bronze pour l'occasion, n'avais pas bougé d'un cil. Les pas de Nichol derrière lui s'arretèrent, avant que sa voix ne retentisse dans la rue déserte.
"Alors ?! Tu viens ? Je vais te montrer quelque chose ..."
Hein ? De qui de quoi ? Le jônin dresseur avait-il raté un épisode ? Mystère...mais Nichol disparaissait vers le bout de la rue, qui menait à la sortie du village. Comptait-il se battre à la vue seule de la brume ? C'était possible. Mais comment en avoir le coeur net ? Tant, il s'agissait de tout autre chose...Il ne servait à rien d'en discuter, il devait aller voir Nichol pour savoir. Akirô regarda son animal, qui ne tirait plus la langue et avait les oreilles dressées. Il semblait infiniment plus sérieux qu'un instant auparavant. Le Hakanai lâcha un soupir, avant de regarder le parchemin qu'il avait saisi dans sa poche : Le porte-bonheur karmique. Forcément. Il n'y avait qu'un seul truc inutile, et il fallait qu'il tombe dessus. Si Il avait été attaqué, il aurait été dans une très mauvaise posture...surtout quand on voit la lame de ce ninja ! Enfin...
D'un pas peu rassuré, il alla à la sortie du village, et il vu de loin le ninja perché sur une branche. Mais ce n'ai qu'une fois les portes franchies qu'il aperçu les corps sérieusement amochés des morts. L'horreur vint alors se graver sur son visage, révélant la stupeur du pauvre ninja. Même en étant Jônin, le Hakanai n'avait jamais vraiment vu de mort, vu que ses missions étaient très basiques et rares. Un détail intéressant (et morbide !) fit tilter Akirô: Il était impossible de reconstituer en entier les corps, et les déchirures n'étaient pas précise...un peu comme lorsque Shiranui qui attaque son steak haché le soir.
Rapidement, la stuppeur laissa place à la colère. Puisque Nichol était au dessus et ne bougeait pas le petit doigt, cela signifiait qu'il tolérait ces actes, ou du moins qu'il se fichait du fait que des morts trainaient par terre. Akirô, lui, ne tolérait pas ce spectacle.
"Aucun Kami ne tolèrerait cette scène. Shiranui ! En avant !"
Akirô sortit un de ses papiers magiques, avant de murmurer doucement des paroles, paroles que personne d'autre que lui n'entendit. De son côté, Shiranui avait sorti ses griffes, et s'acharnait avec violence sur le sol, en commençant à créer un trou de plus en plus grand. Que mijotait-il ?
Technique employé :
Shiranui : tech 19) Terrier
Shiranui creuse le sol a une vitesse remarquable. En un tour complet si il n’est pas dérangé, il peut creuser un trou pouvant accueillir le corps d’un enfant. En deux tour, un homme peut s’y cacher, ect... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Sam 16 Jan 2010, 21:46 | |
| Voilà, c'était fait ! Il a vu le massacre et il parait plus choqué que je ne le pensais ... Mais je ne m'arrête pas là ! Il faut qu'il sache ! Mon but n'est pas simplement de lui montrer le résultat d'une bataille avec une forte difference de niveau, mais de lui avouer l'auteur de ce carnage, de lui prouver tout simpelment que ses paroles sur Sosa' sont absurdent avec ces quelques mots :
"C'est Sosanitchy ..."
Stop ! C'est tout, il faut qu'il déduise par lui même que c'est ma louve qui a fait ça. Je veux juste voir à quoi on reconnait que c'es un junin, grâce à sa réaction ... Ce sera les seuls maux que je prononcerais. Lorsque je vois "Shiranui" creuser le sol, je me fixe sur son maître, je l'ai vu bouger, mais rien de spécial visiblement.
Son inttention serait de cacher les corps ? Bah ! Qu'il le fasse. Pour ma part je m'en contre-fiche ! J'ai envie de tester un truc. Je vais d'abors lui laisser quelques minutes de reflexion. Mon regard ne les quitte pas. Quand j'y repense, ou a pu bien aller Sosa' ? Sans doute auprès de Tsuki.
Bon, et bien, il est temps ! Voyons ce que vaut Akirô. Je me met debout, me munis de l'Alligator pour finalement la planté dans l'arbre sur le lequel je suis posé, je retire ma grande veste et ferme les yeux. Je peux encore me déplacer à très grande vitesse, je suis restrein au niveau du taijutsu, je pourrais surement executer une ou deux techniques de suitons, et avec un peu de chance, faire un kamaitachi.
Je passe à l'action ! En commençant par me placer à côté de Akirô, bien sur, je cours le plus vite que je peux, c'est censé être une surprise ! Je me fige, les poings serrés, les bras le long du corps, la tête basse, je veux lui faire part de ma présence pour qu'il ait le temps de réagir. Puis, suite à ce déplacement rapide, je lui lance mon poing dans le ventre, en espérant qu'il atteindra sa cible. Un chuunin serait incapable d'éviter ce poing -je pense-, ainsi si ce n'est pas le cas (s'il est bel et bien junin), ou alors il esquivera, ou alors il interceptera. Dans les deux cas, j'essayerais de le mettre en danger, de le tester ...
Dernière édition par Nichol Hayate le Sam 30 Jan 2010, 16:54, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Dim 17 Jan 2010, 01:24 | |
| Alors qu'Akirô parlait seul dans sa barbe, Nichol vint perturber sa concentration.
"C'est Sosanitchy ..."
Le Hakanai fût coupé dans ses récitations. Il observa les cadavres, le plus rapidement possible, car en les regardant, le jeune jônin sentait son petit déjeuner remonter doucement, mais surement. Il était évident que c'était une bête sauvage qui était à l'origine de ce carnage, mais il n'aurait pas cru que c'était cette louve. Le peu de respect pour ses morts faisait croitre la colère du ninja, qui malgré son calme apparent, était furax intérieurement. Il finit par lâcher les mots suivants :
"Nous devons le respect aux morts ! Même à ceux qui nous veulent du mal. Car nos ennemis sont ceux qui ont le plus de chose à nous apprendre, et donc nos meilleurs professeurs. Tuer, je peux accepter, mais ne pas respecter, aucun kami ne l'accepterait. Je vais te faire comprendre, de gré ou de f...?"
Pas le temps de finir son discours à ralonge, voilà que Nichol empoignait son épée, pour finalement la planter dans l'arbre. Quel était l'intérêt ? Montrer qu'il n'en aurait pas besoin ? C'était surtout une perte de temps oui ! Akirô en profita pour faire quelque signe, et lorsqu'il ouvrit la bouche, ce n'était pas des paroles qui en sortait, mais des aboyements, semblable aux loups. Nichol ne pourrait jamais comprendre ce que disais le jônin, ni la réponse de Shiranui. Malheureusement, trop absorbé par sa discussion, il ne remarqua que trop tardivement l'arrivé soudaine du géant musclé. Même en contractant ses abdos, le choc l'envoya rapidement à terre, quelques mêtres plus loin, avec une sympathique douleur. Le visage d'Akirô trahissait son corps, qui souffrait pas mal. Mais il se releva tout de même, pointant vers lui le bout de papier qu'il tenait tout à l'heure. C'était le moment idéal. Shiranui était dans son dos, et le Hakanai face à lui. Ce dernier savait qu'il n'en aurait pas pour longtemps si il revenait à la charge, il ne perdit pas un instant. Sa vie était peut-être en jeu, qui sait ? Son intention a lui était juste de lui montrer ses erreurs. Son adversaire en avait peut-être décidé autrement...
"Par les pouvoirs des grands kamis gardiens des terre du soleil levant, je demande votre aide. J'en appelle à Sakuya, gardienne de la vie, de purger ce pécheur !Hanazakari no Konohana No Sakuya !"
Les kanji du parchemin que tenait Akirô s'illuminèrent rapidement grâce à son chakra, avant que la petite feuille ne se mettent à trembler. L'instant d'après, tout une floppée de pétale de fleur, une myriade de couleur, des mélanges sublimes de parfum sortirent en trombe du sceau. Il en sortait sans arrêt, comme si des centaines d'arbres et de fleurs avaient été secoués tous en même temps, créant le déluge que vivait Nichol, en plein milieu de cette tempête. Mais rien ne semblait se passer, hormis que le géant était désormais tout plein de couleurs chatoyantes. Après ce spectacle, dont Akirô ne se lassait jamais, il reprit la parole.
"Tu m'as montré de quoi était capable Sosa'...je pense sincèrement que Shiranui peut faire pire...derrière toi !"
En effet, tout ce que Akirô avait mis en oeuvre jusqu'a présent n'avait été qu'une diversion (pour le moment) pour permettre à Shiranui d'agir à sa guise dans son dos.
Action effectué :
Entente bestiale
Une fois la technique activé, Akirô peut comprendre le langage de la race de l’animal, et communiquer avec lui dans son langage, pour pouvoir éventuellement planifier un plan sous les yeux et les oreilles de l’adversaire. (Tout est dit XD)
Hanazakari no Konohana No Sakuya Une fois ce sceau activé, il libère des bourrasques de pétale de fleur en tout genre qui s’avère très génant, car on en reçoit dans les yeux, dans la bouche dans les vêtements…l’intérêt de cette capacité vient de...???...Peut également faire office de diversion. ( On ne sort pas tout de suite son atout)
Shiranui : ??? (Action cachée. Même si tu as regardé ce qu'il faisait, la technique précédente t'empèche de voir ce qu'il a fait)
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Dim 17 Jan 2010, 01:57 | |
| C’est dans ce lieu où il a, par le passé, versé son sang pour le laver des miasmes. C’est dans cette ruelle où il a pour la première fois gouté aux spécialités de ses partisans. C’est dans ce bar au loin où il va boire pour côtoyer quotidiennement les gens qui constituent l’essence du village dont il est le chef. C’est dans cette armurerie où il a eu, pour la seule fois de sa vie, de l’admiration, face à ce jeune enfant maintenant devenu adulte, qui, à la vue d’une certaine passion pour le pugilat, avait développé la quintessence d’un certain art ; l’épéisme. Il avait agi si longtemps inconsidérément, ne s’importunant pas des représailles qui précédaient ses actes et un bon nombre de ses alliés en avait souffert. Il était passé par touts les chemins, sinueux ou sanglant, et avait été accablé par milles et uns démons ô combien fangeux. La corruption de ce monde avait tellement bien fleuri, que par le temps, il en fut entièrement mithridatisé. Ce bouclier psychique, malgré la protection infaillible que ce rempart intemporel lui fournissait, le faisait souffrir. Il n’était qu’un songeur à la teinte morne et lugubre. Un être qui, par deux maux mutuels, ne pouvait agir sans en endurer peines et souffrances. De simples réminiscences de la souffrance de jadis suffisaient à lui léguer un zeste de sa géhenne, oui, il s’avérait que la vie était dure quand nous sommes ratés et que nos déboires sont déjà fixés. Ses pupilles purpurines n’avaient pas le mérite d’être la fenêtre de son âme comme touts les autres globes oculaires de ce monde, elles étaient damnées à tout jamais pour avoir osé regarder la mort dans les yeux. Elles ne pourraient plus jamais afficher les émotions, aussi factices fussent-elles, de leur porteur, qui, dans l’engourdissement de son éternelle neurasthénie, en aurait tant besoin. Si ce n’est avec des mots, il était condamné à gémir dans le silence. Le créancier de la besogne de sa propre vie était maintenant au commandement d’hommes, qui ne savaient pas ce qu’il fut, ce qu’il est ou ce qu’il adviendra d’être, mais touts ce qu’ils savaient était que toute sa foi, il la partageait.
Les devantures de ce bretteur ivoirin n’étaient pas si bénéfiques que cela et d’ores et déjà, malgré le fait que son corps ne soit point touché par des cicatrices ou des stigmates, il en ressentait les déboires. Demeurant à perpétuité un fidèle impavide, malingre et prestant. Mais depuis un certain temps, il avait développé une certaine qualité qui lui permettait de ne pas craindre les brimades de la populace, ni de s’en harasser. Les différences qui le séparaient de lui à l’homme étaient assez grandes, de par ses innombrables maladies générées naguère et son caractère versé dans l’étrangeté. Il ne savait pas qui de lui ou de l’homme en général allait survivre en dernier, ce supplice ne finirait donc jamais auquel cas il surplomberait l’humanité niveau longévité. Une absurdité à son sens, comme à tous ceux de l’homme, cependant il n’était qu’un juvénile garçon, ancré dans la vie active et cette même vie n’avait pas encore connu de discontinuité. Ce qui s’avèrerait sûr malgré cela, c’est qu’au cours de cette « seconde vie », il allait en découdre, ne serait-ce que dans ses pérégrinations ô combien hasardeuses. La seule ostentation recensable est qu’il eu, par un passé de belligérant inconditionnel, découvert quelque chose, un tribut immobile prisonnier, transi par la glace qu’il générait et dont il était prisonnier, une sorte de Nô daïchi passablement grand. D’une seule traite, les ficelles immatérielles de ce philosophe occulte se sont harponnées à son subconscient. Il fut comme épris d’une passion si véhémente qu’elle diaphanéisa son amour pour la tuerie qui, déjà fortement exacerbée, n’eut plus de relances jusqu’à certains temps. Cette épée lui voua, elle aussi, une sorte d’admiration non pas aussi intense que son porteur mais tout de même notable. Ce lien indestructible s’est fait entendre jusqu’aux montagnes du pays de la terre et sous les faibles lueurs des continents opposés car à maintes reprises, il a levé ce sabre au ciel, dégoulinant du sang du vaincu. Elle fit taire ses tourments lancinants des mieux et, par le biais d’une considération que peu de gens comprennent, réussissait à adoucir l’âpreté de ses tracas en lui citant quelques psaumes ou contes tirés de sa culture.
Et il levait la tête derechef dès que l’histoire à moral implicite de son ami se terminait et qu’il en comprenait où il voulait en venir. Affublé de toutes sortes diatribes dès son plus jeune âge, il fut surpris que quelqu’un, et en l’occurrence, quelque chose, prenne du temps pour le tirer d’une amertume passagère, une dépression du voyage qui avait tout de même le mérite de le mettre à mal l’histoire d’une journée ou plus. Il était donc aussi chanceux que ça ? Ou ce n’était que simple partie remise pour le démon malin qui le poursuivait sans cesse ? Autant en emporte le vent, et il le savait très bien. Une journée sans ostentation dans un quotidien fastidieux à première vue, un levé difficile comme à l’habitude, dans un état plongeant entre comateux et fébrile. Il se frictionna les tempes pour tempérer un peu cette lance transperçant sa tête. Ce phénomène en présence n’était point du à l’alcool, ni d’ailleurs à d’autres futilités dans le genre, mais plutôt à une insomnie. Ce voile flou était toujours présent dans son œil même lorsqu’il eut finit sa toilette matinale et qu’il eut enfilé sa sempiternelle tenue. Il fut crument extorqué de ce carcan par la glace qui lui tomba sur le faciès lorsqu’il osa sortir en tenue de dilettante. Ce bloc explosa au contact de sa peau d’albe, le faisant basculer contre un mur, de fil en aiguille, un mur qui fit tomber un monticule de neige sur lui. Et son bras sortant de ce tas ajouta à la blancheur du cadre, la neige de sa peau. Une journée qui commençait froidement, c’était le moins que nous pouvions dire. Mais aujourd’hui était un nouveau jour. Une journée sympathique. Il se promenait, saluant de ses longs doigts fuselés les habitants de ce village dans qu’il en apercevait un. Blottit sous un lourd manteau, il avait attaché son épée à son dos, comme à son habitude. Il valdinguait comme le disait certains hommes. Bien que sa bonhommie sans pareil commençait par emplir les endroits où il passait d’une joie tressaillantes, sur un sol qu’il avait tant de fois foulé, des traces non communes y était inscrits inopinément. L’épée lui murmura que les traces seraient plus appuyées si ce devait être un ennemi et il se mit à chercher ainsi qui était l’intrus dans le village. Il hâta très légèrement son pas, continuant d’acquiescer les salutations de ses comparses et de les rendre, par principe de politesse. Il ne voulait pas faire défaut à sa réputation d’« hôte », c’est pourquoi il advenait même à entrer dans les boutiques quand il n’en avait pas vu certain depuis un temps toutefois assez long pour se sentir obligé de lui demander des nouvelles sentimentales, familiales et pécuniaires. C’était comme s’il parlait à ses frères, une proximité le liait à chacun et il était, selon lui, un devoir de s’informer de l’état de chacun d’eux.
Il arrivait à un carrefour. Un carrefour où des petits amas de neiges impures jonchaient les cotés, ratissées. Les éboueurs de ce quartier avaient apparemment bien fait leur travail. Deux ombres mouvaient au loin, elle semblait se diriger vers une des portes du village. Ces farouches entités n’annonçaient rien de bénin, des halos de doutes planaient sous leurs organismes. Les choses furent bien plus sérieuses pour lui et aussitôt, ses pupilles s’obscurcirent d’un sentiment fort sibyllin. Transcendé par une sorte de désir de protection, il continua d’avancer vers l’endroit où se dirigeaient les deux personnages, une expression revêche ornant son visage. Il n’était pas sur ses gardes, n’habitait pas en lui cette véhémence sanglante comme d’habitude envers les étrangers, plutôt crispé à la simple idée que ce soit des négociants barbants qui voudrait piéger de pauvres innocents. Cette xénophobie défensive était naquit du nombre infini de traitrise qu’il avait subi pour leur avoir fait confiance, il s’était fait avoir comme un novice par le passé, comme un anodin novice. Les brimades classiques que l’on déblatèrerait à un néophyte ratant son labeur se firent suivre, et il, d’un élan de reprise de conscience, décida que plus personne ne pouvait aller et venir dans ce village sans en être entièrement sondée. Pour en revenir à la situation actuelle, ce fut une bourrasque d’Éole manifeste qui le tira de ses palabres à lui-même. Il fit déboussoler et accéléra une nouvelle fois le pas. Il fut pris de cours et les vit se diriger vers la sortie du complexe Kirien, c’est aussitôt et sans vergognes qu’il se mit à courir après ces apôtres de la scélératesse, apparemment tout du moins. Bousculant les personnes qui dodelinait de leur hanches sur son chemin pour mieux percevoir ces deux personnes, il en aperçut un trapu et un fluet, de deux maux, il fallait choisir le moindre et ce moindre mal aurait plus penché à les attaquer par l’arrière pour ne point attirer l’attention, et dans le paradoxe de la situation, créer une panique généralisée. Ce serait toutefois obligatoire s’ils s’avèreraient plus puissamment construits que lui. Il grimpa sur une masure en toute quiétude en prenant l’énergie cinétique qu’il eut généré par sa course comme aide. Peu d’yeux se braquèrent sur sa carcasse mouvante cependant ces mêmes globes furent impressionner et ne changèrent à aucun moment d’objectif. Le contact de ses bottines à la glace qui ornait les murs de ce petit logis eu été très bref et l’échange, acerbe. Les deux entités se suivant de quelques mètres commençaient à poindre à l’extérieur du village, ayant visiblement passé la porte de l’intérieur, en clair, sans danger.
Il vit le plus gros des deux sauter sur un peuplier, un peuplier qui abritait l’ombre d’un amoncellement de cadavres. Était-ce un larcin véniel ? Bien sûr que non, l’homicide était amendé du gibet à Kiri et ces deux là n’allaient pas faire l’exception, oh que non. Il plongea dans la foule grouillante en dessous. Se rattrapant à une corniche, adoucissant la force qui lestait son corps de plomb, et atterrissant au beau milieu de cet amas de personnes lambinantes. Il se dissimulait tant bien que mal, malgré le nombre d’apparats que le différenciait de ces lambdas, tout de même assez gentillets pour ne pas être incendiés de leurs conformités un peu trop poussées. S’étant considérablement calmé en voyant que ces pernicieux brigands s’était arrêtés. Il arrivait face au portail ouvert, se démarquant de la populace amassée en y sortant. Il pensa à une conspiration qui consistait à le faire sortir de son cercle de repérage pour mieux commettre un attentat et faire souffrir l’état de l’eau d’une perte de son village caché - ce qui serait très peu probable vu le nombre de garde jonchant les alentours et les intérieurs de ce village - mais il remarqua que visiblement il spéculait. Il vit que l’homme le plus proche de lui, en l’occurrence : le fluet, était accompagné d’un chien qui était, vraisemblablement, aux aguets et que l’autre était doté d’une musculature dont beaucoup aurait vendu leurs âmes au diable ne serait-ce pour obtenir le quart de ce qu’il possédait. Mais comme le disait si bien son compagnon nihiliste : « Cependant l’habit ne fait pas le moine ». Il sentit l’effroi et les senteurs mortuaires, des miasmes aussi méphitiques qu’horripilants d’ailleurs. Un effroi qui toucha ostensiblement le jeunet le plus proche du Mizukage ; sans vraiment comprendre ce qu’il se passait, il vit les poings de ce garçon se resserrer. Alors n’était-il point comparses ? Alors s’était-il trompé ? Mais alors, si toutes ces rhétoriques seraient véridiques, qui étaient-ils donc ? Il vu les deux se mouvoir, les trois si l’on pu compter la bête. L’impétuosité de ces trois êtres réussit même à surprendre « Le blanc ». Non miséricordieux pour autant, il n’attendit point que cela s’avilisse plus que cela ne l’était déjà et fonça sans préambule sur les deux pour calmer l’atmosphère d’une tannée simple et digeste. Le mastodonte descendit sans se rendre vraiment compte que Yoshiyune se ruait pour le démolir. Il évita le canidé, qui ne l’avant pas remarqué lui non plus, continua de s’atteler à l’ordre de son accompagnateur. Une fois les deux à proximité, il exécuta, d’une hardiesse exemplaire, tout d’abord une puissante ruade dans le flanc du fluet. Il remarqua que l’autre personnage, le colosse en question, était pris dans une sorte de bourrasque florale d’où il semblait essayer de s’en dépêtre. Ce fut à son tour et - le pauvre - récolta une droite aussi sec que sourde sous le menton.
« Commençons tout d’abord par nous présenter. Ce serait plus convenable, ne trouvez-vous pas ? » - Citation :
- Action 1 : Pris de surprise, par derrière pour être précis, Akirô est momentanément K.O car il s’est pris ceci dans la hanche :
Left Shinning Blast : Ce coup véhément lui permet sans vergognes de briser des os. La puissance surnaturelle que possède Yoshiyune mêlée à une innondation de chakra rendant le membre frappeur extrèmement rigide, constitue le mélange d'une attaque ultime. Repousse lointainement l’ennemi une fois touché, souffrant des maux d’un trauma bouillonnant. Provoque la mort si donné à bon portant et en plein visage.
Action 2 : Un coup de poing explicite dans le menton de Nichol qui a pour effet de le calmer. Fais attention, n’oublie pas que tu es pris de cours et que cette droite est dévastatrice, tu tombes auquel cas tu l’as prend ce qui a 85% de chances d’arriver.
Résumé : Yoshiyune calme l’action violement et s’adresse à vous deux. Bonne chance.
Dernière édition par Yoshiyune Toshikane le Mar 19 Jan 2010, 15:57, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Dim 17 Jan 2010, 13:28 | |
| [J'vais passer à la trosième personne et au temps du passé, juste pour voir ] Ce fut un succès, après s'être matérialé auprès d'Akirô, le poing qui lui était déstiné atteint sa cible, sans trop de difficulté, ce qui en fit la satisfaction de Nichol. Le garçon se releva avec insistance, on ne pouvais guère voir le traitre mouvement de se qu'il faisait. On entendit des aboiements, et donc, en déduire que Shinarui était à côté de son maître. Le colosse pouvait ainsi se dire qu'il ne craignait pas grand chose, maître en taijutsu, il savait bien que pour n'importe quel jutsu, la dose de chakra y serait insuffisante, et c'est à se moment, qu'il faut tout miser sur le combat au corps à corps. Comme vu il n'y a pas plus de quelques minutes, le loup est capable de beaucoup de chose et doit donc être considéré comme un danger. Sa machoir, ses pattes tout de même musclés; ses griffes bien éguisées, et le nombre choix qu'il a de servir de son coprs comme une arme. Nichol ne serait surpris si c'était le loup qui ouvre le combat, ce n'était pas le cas, les paroles d'Akirô se fit entendre du géant. Bien qu'il les trouva absurdent, sa surprise fut de voir une pétale qui traiçait son itinéraire vers le sol, puis, une deuxième, elles venaient par dizaine à présent, et ainsi de suite jusqu'à ne plus rien voir .... D'ou venaient-elles ? Chacun des arbres des alentours étaient nu ! A tout les coups, c'était une invocation, ou un jutsu particulier. Il fallait une riposte, une protection, un moyen de défense, quelle entêté ce garçon, comme si le brouillard ne suffisat pas. Nichol eu soudainement cette idée soudaine. Cette brume envahissait déjà pas mal déspace, pour amoindrir les chances de me faire attaquer, je n'ais juste qu'à croitre la capacité de cette brume. Nichol murmura ces quelques maux :"Ninpô, camouflage dans la brume ...."Il ne restait plus qu'a se déplacer et constater. Se déplacer dans cette purée de pod n'était pas chose dû, onterdiction d'ouvrir les yeux, ils fallaient se fier aux odeurs et aux aura. C'est la que le mode lunéaire serait bien utile, malheuresement, il faisait jour, et la Lune n'était pas encore visible. Le nombre de pétales diminuaient, supposons que c'est un bon signe ! Maintenant, ll s'agirait de trouvé Akirô, chose déjà faite, le voilà couché par terre, est-ce que le poing du géant l'aurait réellement terrassé ? Ce jutsu viendrait alors de quelqu'un d'autre, les aboiements de tout à l'heure état peut-être un appel à l'aide. Quelles idées ! Elles ont beau être stupide, c'est peut être la réalité. Un trouble se fit sentir.Soudainement, un homme apparût ...*C'est qui c'mec ? J'ai pas senti sa présence !*Nichol, désorienté, a le reflexe de levé son pied a la tête de l'intru, mais juste avant l'impact, il reçut un sacré poing sous le menton. Un uppercut en tout genre, voilà une centane de kilo de muscle voler dans les airs et se rétamer monumentanément sur le sol.*Ce mec ...*« Commençons tout d’abord par nous présenter. Ce serait plus convenable, ne trouvez-vous pas ? »Reprendre ses ésprits était maintenant devenu une priorité, tout était devenu noir, un point au milieu de ce néant, chassa l'obscurité et laissa place à un écran blanc, et dessus, le fraternel de Nichol, le bras ouvert, le visage couvert de sang, sa bouche tentait des mouvements, mais sans succès. Le géant couchait sur le dos à terre, ouvrit les yeux sit brusquement, ceux-ci possédait une pupille rouge. Et lorsqu'il compris ce qu'il lui arrivait, il referma les yeux et prononça des paroles dignes d'un fou en se tenant la tête, comme s'il s'adressait à quelqu'un."Je t'en supplie ..... Pas maintenant .... tu m'entends ?! ... Va t'faire foutre !"Lorsqu'il rouvrit les yeux, sa pupille était redevenu noir, il relacha ses muscles, comme un soulagement. Il se releva avec difficulté. Un genoux au sol, la main se disposa de même, un effort et les deux jambes sont tendues. Nichol avait du mal a marché, mais il se dirigeait vers son agresseur, il manquait de tribucher a chacun de ses pas, mais tenait le coup. La douleur était encore la, c'était pas très claire dans son ésprit, mais la seul chose qu'il voulait faire, c'était se montrer en face de son agresseur, celui-ci semblait très fort rien qu'à son aura meurtrière."Je .... Suis Nichol Hayate, ancien juunin de Kiri ..."
Dernière édition par Nichol Hayate le Sam 30 Jan 2010, 16:54, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Dim 17 Jan 2010, 18:27 | |
| L'objectif premier d'Akirô ? Bloquer Nichol grâce à un sceau bien spécial. Le seul problème, c'était de placer le sceau le plus près possible de son adversaire, sans qu'il n'ait une occasion de fuir, il avait besoin d'une ouverture. Cependant, ignorant totalement de quoi était capable ce ninja, il n'avait pas envie de prendre de risque stupide, ni pour lui, ni pour Shiranui. Aussi, après le bombardement floral, le loup n'avait nullement attaqué, mais s'était mis a l'abri dans le terrier creusé tantôt. Il espérait qu'avec un peu de chance, Nichol se retourne pour éviter se qui croyait le pire, alors qu'en fait, il aurait laissé une merveilleuse ouverturre. Mais Akirô ne le saura jamais. Qu'était-ce ? Cette douleur fulgurante...ce puissant chakra...cette entrée fracassante...aucun doute possible sur l'identitée de l'homme qui venait de l'envoyer valser. Il traversa majestueusement la tempête florale doublée du brouillard, avant d'aller se crasher sur un truc visqueux qui se trouvait être un morceau de chair, un bout d'intestin, ou autre chose fort sympathique appartenant au cadavre. Le Hakanai n'en savait rien, il savait juste qu'il y avait de la neige fondu mélée a de la boue, et que ce magnifique mélange lui recouvrait tout le visage. Un masque de beauté improvisée en gros. la situation aurait pu être amusante dans d'autre circonstance, mais le cerveau d'Akirô était sur le point de faire un petit somme pour récupérer de cette énorme choc. Pourtant, il tentait vainement de lutter contre ce sommeil néfaste. « Commençons tout d’abord par nous présenter. Ce serait plus convenable, ne trouvez-vous pas ? » Un soupir mental accompagna le jeune jônin dans les bras de Morphé lorsqu'il entendit cette phrase. **Zut ! Il avait tellement bien retenu mon nom la dernière fois !** Telle fût la dernière pensée d'Akirô, avant de sombrer pour de bon dans le coma. L'avantage du coma, c'est que l'on ne reçoit plus aucune information. Ni le temps, ni la douleur, ni les rêves, ni la mémoire ne parvienne à l'esprit. Lorsqu'une personne reste plongé dans le coma, c'est comme une première initiation à la mort, ce n'est pas dormi de façon forcé, loin de là. Pour tout ceux qui ont eu le malheur de plonger dans le coma, ils ont tous l'impression qu'il ne s'est écoulé que quelque seconde, celle entre le moment ou l'on rentre dans le coma, et celle ou l'on en émerge. Mais tous ignorent si quelques insignifiantes minutes se sont passées, ou si au contraire, plusieurs années ont coulé. Car hélas, personne n'est sûr de pouvoir ressortir à coup sûr du coma. ici, la blessure d'Akirô était superficiel, il était presque certain de son retour parmi les vivants. Il fallait juste que les nerfs se remettent du choc, et lorsque le corps ne détectera plus rien de trop dangereux (comme la douleur aigu parcourant la hanche du malheureux), alors le cerveau décidera d'arréter de se concentrer sur la réparation des dégats, et se remettra à fonctionner normalement. Cela ne prendrait sans doute pas plus de quelques minutes pour ce jeune homme. Certain, moins chanceux, ne s'en remettait jamais. Pendant que Akirô trenassait dans la boue, le sang, la neige, et les pétales, Nichol venait d'être terrassé par le même homme que tout à l'heure, en un rien de temps, sans effort, comme toujours. De son côté, Shiranui était sorti du terrier, d'un pas calme et paisible, regardant virevolter les derniers pétales lancé par son maitre, tout en s'asseyant près du Mizukage, attendant la suite. Le cabot n'avait beau être qu'un animal, il semblait surpasser par moment les humains dans n'importe quels domaines. Il savait par exemple que ce Mizukage était animé d'intention bien plus que louable. En plus, Shiranui venait de remarquer que comme lui, il avait un pelage tout blanc. Comme si c'était son frère humain. Cet remarque lui fit battre la queue, pour montrer qu'il était content, avant d'essayer d'attraper un pétale tombant. Shiranui avait remarquéque chaque fois que son maitre (ou lui-même !) utilisait un de ses sceaux, les pétales tombés contenaient du pollen, et si on repassait quelque jour plus tard à l'nedroit ou un de ses morceaux de fleur avait trainé, il y avait de forte chance pour qu'une jeune et jolie pousse soit présente. Shiranui, lui, appelait ce sceau "le sceau de la vie". Mais c'était l'Hiver, et les fleurs ne tiendraient pas longtemps. Au moins, elles accelèreront le passage des mort de ce lieux vers les Cieux. Aussi, voyant qu'il n'y avait plus grand chose à faire pour son maitre actuellement, il se remit a son ouvrage, creusant une véritable fosse, qui pourrait accueillir les cadavres, et leur assurer enfin le repos éternel. (Nichol, je préfère à la 3ème personne, je trouve que tu écris mieux ainsi ^^) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La brume du matin d'hiver (LIBRE ! ) Sam 23 Jan 2010, 02:10 | |
| Nichol se trouvait maintenant dans une situation difficile. D'une part, l'homme blanc devant lui dégagé un aura très puissant, même trop puissant. Il s'agit surement d'un mec possesseur de pouvoir incroyable, héréditaire, issue d'experience ou on ne s'y connait pas. Chez lui, on remarque d'abord son apparence un peu particulière d'ou sa peau blanche, puis on ressent la noirceur de son ésprit et le froid de son regard. Il n'avait pas l'air d'éprouver de sentiment particulier, on pourrait croire que pour lui, Nichol n'est qu'un chien, qu'il faut calmer. Est-ce que ça aller se passer de la sorte ? Le géant ne l'entendait pas de cette façon. Il osa tout de même s'approcher de l'aura meurtrière et il se mis à l'auteur de ses yeux. Les deux regards se croisèrent, deux regards complètement differents, l'un exprimé de la difficulté tandis que l'autre en dégageait le contraire. D'autre part, Akirô dans un sale état, semblait être du côté de l'individu, d'après la réaction du canin.
"T'es qui toi ?"
Ce fut une parole aggressive et innatendue venant de Nichol, son objectif : l'intimidation ! Grâce à ses atouts physique, ses muscles, ! Sa taille ! Sa carrure ! Un simple ninja d'ordre général reculerait de peur, d'un simple reflexe se survie. Seulement ... Ce regard ! Ce regard fixe, décisif, froid, vide, fit paniqué le colosse. Ne savant pas comment réagir, il s'arma d'un poing qui a vu d'oeil semblait déjà destructeur et le lança de toute sa force, avec une rapidité à son apogé. Ses yeux étaient devenu rouge, ses pulsions l'avaient gagné ! Dans sa tête, le mot "démolition" résonnait.
*J'vais l'éxpedier en enfer !* POST CARREMENT MINABLE ET INSIGNIFIANT !!!! /!\ Mais c'est pour Yoshi-sempai =) |
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