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| Sujet: Sur la route du village de l'herbe[rp fermé][mission rangA] Ven 03 Juil 2009, 23:31 | |
| Etaient-ils toujours en vie ? Difficile à dire le liquide était très frais, mais pas très visqueux voir même pas du tout, le liquide les avaient sans doute aspiré suite à une différence de préssion, mais les villageois devaient le savoir. Oui certainement et c’était pour cela qu’ils avaient préférés attendre que des ninjas aillent risqué leurs vie. Après avoir été aspiré durant environ une trentaine de seconde leurs corps commençait à remonter vers … vers où ? Vers la surface ? Espérons le. Le bruit des vagues partaient et revenait sans cesse. La jeune fille reprit connaissance et grâce à se bruit et la sensation d’humidité elle savait qu’elle avait toujours l’ouie et le touché. Avait-elle la vue ? Et ou était-elle ? Pour cela elle n’eut qu’a ouvrir les yeux, elle vit un magnifique ciel bleu avec un soleil éclatant non loin. Mais elle n’avait pas la force nécéssaire pour se reprendre, elle vit Grizz qui flottait aussi à quelques mètres de la. Ils se laissèrent donc emporter par les vagues, à leurs réveille ils étaient sur des lits chauds et confortable, une jeune fille et sa mère apparurent alors, elles lui expliquèrent qu’ils avaient été emporté par les vagues jusqu’au village des vagues. Quelle magnifique anecdote … Plus tard dans la matinée elle se leva finalement en se massant la tête et se dirigea vers les toilettes le temps de se recoiffer, lorsqu’elle sortit Grizz était lui aussi levé et attachait son bandeau sur front, ces deux Katanas non loin de lui. Les ninjas du villages du sable acceptèrent le repas qu’on leurs avait préparé, ils avaient d’ailleurs été chez des hôtes bien aimable. Trop aimable ? La mère prit un bol et alla le rincer et vint servir ces invités, mais Shitsu retint Grizz qui s’appretait à manger elle prit alors la parole.
« Vous pourriez peux-être goutté non ? J’ai juste trouvé bizarre que vous laviez des bols déjà propre comme toute les choses déjà présente dans cette maison. Vous pouvez toujours tentez de me prouver votre innocence en prenant votre bol ? »
Chose que la jeune femme ne fit pas, Grizz était consterné et admiratif devant l’esprit logique de sa coéquipière, laissant là leurs hôte il s’en allèrent et Shitsu insista pour prendre la carte, ils avaient déjà perdus assez de temps ainsi, mais pourtant le village des vagues était un paisible village, un climat assez tempéré et la vue sur le soleil couchant était magnifique, la mer se calmait tout de même, les deux ninjas s’en allèrent donc à la pêche pour combler leurs estomac, ce n’était pas de la nourriture gastronomique mais tout de même c’était suffisant pour eux après cela ils s’en dormirent sous l’air salé que la mer apportait. Le lendemain il restèrent un peu plus longtemps couché obéissant à leurs corps fatigué par ce voyage éreintant. Le climat allait resté plus ou moins tempéré d’après le lieu où ils allaient se rendre. Le vent reprenait son dûu et soufflait de plus en plus fort taillant encore et encore les rochers du bords de mers. En allant vers le village Shitsu réfléchissait à certaine chose, surtout au code morale. Car après tout les humains sont assignés à résidence et nul n'a le droit de s'affranchir de ces liens pour s'évader. Les dieux sont nos gardiens et nous sommes le troupeau. Pourtant, pour certaines personnes, il arrive qu'il soit préférable d'être mort que de vivre. Mais il ne faut pas se donner la mort, avant qu'un dieu ne nous envoie un signe. Les philosophes acceptent facilement de mourir. Mais n'est-il pourtant pas révoltant d'abandonner la protection des meilleurs des maîtres ? Tout cela n'a pas de sens, on ne peut vouloir fuir ce qui est bon : il n'y a que les insensés qui se réjouissent de la mort ! Alors pourquoi des hommes sages c iraient-ils loin de maîtres meilleurs qu'eux-mêmes ? Pour certain sage, la croyance que l'on va rejoindre les dieux et certains morts rend injuste la révolte contre la mort. En effet, pour un homme qui a philosophé toute sa vie, il est raisonnable de penser qu'il obtiendra les plus grands biens après sa mort. Les philosophes s'appliquent donc à bien mourir. Un phylosophe pensait qu'il y avait deux monde le monde sensible et le monde intelligible. L'âme et le corps se situent dans le monde sensible (un monde fait d'illusion) le vrai monde est le monde intelligible. En mourant, lorsqu'on est philosophe notre âme a une chance de regagner le monde intelligible. C'est pourquoi un sage n'avait pas peur de mourir et était pressé de regagner ce monde, seule vraie réalité. C’est sur ces notes quoiqu’un peu triste que la jeune femme s’en allait vers le village de l’herbe .
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