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 Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ]

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MessageSujet: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ]   Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] EmptyDim 03 Jan 2010, 17:48

Présentation RPG

Nom:

Xino J.

Prénom:

Shinichi

Âge:

26 ans

Nindo:

Se battre... pour fuir...

Description physique :

(post suivant sans prétention)

Description
mentale:

(de même)

Village Souhaité:

Déserteur...

Histoire:

(Ben c'est à dire que... plus tard...)

Test rpg :

Vi s'il vous plait...


HRPG :

Votre âge :

17 balais, dont deux dans l'arrière train, et un dans la main pour nettoyer derrière moi...

Votre avis sur le forum ? Pensez-vous qu'il y a quelque chose qui puisse être revu/amélioré ? :

Non c'est bon, j'pose mes bagages ici... La salle de bain est libre? Il est où le bar?

Votre niveau RP ? :

Demandez à Yoshiyune Toshikane, c'est à moitié sa faute si j'suis là... ^^'



Dernière édition par Xino J. Shinichi le Dim 10 Jan 2010, 21:33, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ]   Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] EmptyDim 03 Jan 2010, 17:50

Description physique:

Vu par lui-même, on pourrait pensé qu’il se dépeindrait de la sorte :


Voyez vous jeunes gens, si la perfection existe, j’en suis l’archétype même. Car après tout, ma beauté n’a d’égale que la certitude que le Soleil se lève le matin et se couche le soir…

Je suis de ceux qui ont un visage parfait. Mes prunelles noisettes, dans lesquelles il est fort aisé de plonger, pour ne plus jamais sortir de l’envoutement qui prend toute personne s’y aventurant. Car ces prunelles de la couleur du chocolat au lait sont zébrées de fins traits noirs, tare de naissance, héritage de mon père. Toute personne me regardant droit dans les yeux ne peut manquer de remarquer ce détail frappant, voire choquant. Beaucoup pensent que je porte des lentilles, cela expliquerait ce trait physique si particulier. Mais au risque de décevoir… je ne porte pas de lentilles, car je suis naturellement parfait. Mon nez, loin d’être aussi moche que celui du commun des mortels, est fin, beau. On pourrait presque en dire qu’il est divin si tant est qu’un hypothétique Dieu existe, auquel cas je suis le plus proche de cette entité. Je possède des oreilles fines, dans le sens où j’entends parfaitement l’ivrogne au fin fond du bar me traiter de gigolo… Mes cheveux quand à eux, longs filaments de souffre, retombent toujours de manière totalement aléatoire sur mon visage, avec une systématique grâce. Mon visage est donc un élément très démonstratif appuyant ici le fait que je suis un homme sublimement parfait.

Passons maintenant, à l’unique condition que ma beauté si fatale ne vous ait pas encore fait tomber dans un coma salvateur, montrant que vous êtes sensible à la perfection quand vous la voyez ; je disais donc, passons au restant de mon magnifique corps. Je suis un homme mesurant une taille qui, à elle seule, rendrait une journée pleine de bons moments, juste du fait de la perfection de la tonalité de la voix quand on la prononce : un mètre quatre-vingt cinq. Et avec cette taille si belle, si incroyablement sensuelle, il fallait bien ces 70 kilos de muscles. En effet, les salles de musculation et les coups de poing dans la tête des connards de petites frappes ont incroyablement développé mon corps, qui, déjà parfait par le passé, ne s’en est que sublimé. Je me retrouve donc avec des bras musclés exactement comme il faut, entre le bodybuildé vulgaire et le petit mou du genou faiblard, bref, des bras exactement comme les élèves de base en voudraient. Mes jambes elles, agiles, me permettent de mettre un high kick retourné à un ninja de pacotille tout en continuant de lire le journal, où je fais bien sur la une du simple fait que j’existe. J’ai aussi des abdominaux fortement développés, parfaits de nature, magnifiés par un travail de fond qui fait que je suis sans aucun doute possible l’être le plus parfait de tout l’univers. Mon sexe à présent, car il est des choses dont il faut parler si l’on s’intéresse à moi. Il est de taille plus que respectable, je ne préciserai pas plus, tant de perfection jusqu’au sexe vous ferait sans aucun doute ciller, voir faiblir. Et je ne suis pas homme à abuser des bontés que la Nature a eut avec moi, car après tout, je suis unique dans ma perfection, et personne ne peux l’être autant que je le suis.

Attaquons nous maintenant, car il le faut aussi, à mes parfaits vêtements. Je les voulaient volontairement communs, ainsi voilà ce que je porte. Je chausse des sortes de bottes de cuir noir, pratiques, utiles à la course, et assurant une discrétion parfaite lors de mes déplacements. Je suis vêtu d'un long pantalon de toile noir, munis de nombreuses poches, et attaché en bas par de fines cordelettes, pour une facilité de mouvement accrue. Une courte veste noire, de cuir, entrouverte et laissant apparaître un t-shirt blanc sans rien dessus, comme neuf. Je porte cependant des bracelets de cuirs aux poignets, comme pour me défendre. Une petite chaînette en argent pend de ma poche. La seule et unique couleur visible de ma perfection vestimentaire est le noir. Le noir de mes chausses, et de mon chapeau, empêche de voir mon parfait visage. Mon chapeau est un peu déchiré et semble presque comme s'il était resté dehors des jours entiers, sous une pluie battante. Toutefois le tout, porté par moi, semble montrer une sorte de puissance indiscutable, effet de ma perfection, et vérité indiscutable, car je suis si puissant que je n’use jamais tout mon talent pour tuer un vil coquin des bas étages…

Jusque dans ma façon de me déplacer, je suis un homme divin. En effet, ma manière très aérienne de me déplacer dans le silence le plus absolu, le plus parfait donc, me procure une démarche des plus troublantes, car bien que ce ne soit pas le cas, je ne semble pas toucher le sol, ce dernier ployant devant moi et ma beauté si ultime dans sa perfection qu’il devient superflue de parler de ce que je peux faire grâce à ma démarche sublime. En général, il est très difficile de savoir quand je marche, car je ne bouge mes jambes que très discrètement, et ce silence dans cette rapidité discrète ne peut que sublimer un homme déjà parfait. De même, et il est vrai que cela m’arrive, même si rarement, ma rapidité à la course tient du miracle tant elle est belle à regarder. Je me déplace sur l’air, ce dernier semblant s’écarter sur le chemin de l’homme prodigue, chef-d’œuvre d’un artiste inconnu, ou inexistant : Dieu. En cela, je tiens de ce philosophique père, en lequel je ne crois pas, car je suis divin encore une fois. Mais il est temps de conclure enfin cette description non-exhaustive de ma personne, car plus de détails vous tueraient sans aucun doute, aussi vais-je m’arrêter séance tenante.




Mais vu par quelqu'un d'autre, ce serait plutôt comme ceci:



Cet homme est de ces hommes si bizarrement moche qu’il est presque impossible de le dépeindre sans tomber dans la méchanceté . Ses yeux, couleurs de merde, sont deux vastes crottes de brebis galeuse dans lesquelles il vaudrait mieux éviter de tomber, ne serait-ce que pour l’odeur… Car ces prunelles de la couleur du plus beau des cacas sont zébrées de fins traits de souffre moche, comme celui que l’on retrouve sur le corps des mineurs, tare de naissance, héritage de son pauvre père, qui n’avait sans doute pas choisis d’avoir un déchet pour fils... Toute personne le regardant droit dans les yeux ne peut manquer de remarquer ce détail frappant, voire choquant, car il aura sans aucun doute une immédiate et incompressible envie de vomir tout ce qu’il a avalé ces dernières 168 heures. Au début, je pensais que c’était des lentilles, pour se donner un genre car il est vrai qu’il en manque. Mais au risque de décevoir… il ne porte pas de lentilles, car il est naturellement horrible. Il possède aussi un nez gros et gras, horriblement boursoufflé de petits pustules jaunes et rouges, tels les petits smarties qu’on achète au supermarché. Sourd comme un pot, ses oreilles sont en plus en feuille de choux, il est très facile de l’insulter, il n’entend rien… Ses cheveux, masse volumineuse de merde noire lui retombant devant le visage, sont systématiquement gras, moche, la seule vue de ces choses étant insupportable.

Passons maintenant, à l’unique condition que tant d’horreur ne vous ait pas encore fait tomber dans un coma salvateur, montrant que vous êtes sensible à la laideur même quand vous la voyez ; je disais donc, passons au restant de son horrible masse lui servant de corps. Il est un homme, du moins nous n’en sommes pas surs, et sa taille est imparfaite, moche, inutile… Il mesure un mètre quatre vingt cinq, il en est fier… et pourtant… Avec cette taille si horrible, si incroyablement terrifiante, il fallait bien ces 70 kilos de restes... Il n’est qu’une petite frappe à mon sens, malgré un corps musclé, il s’est fait ce muscle sur des pauvres petits enfants, jeunes de 5 ans… Il se retrouve donc avec des bras musclés exactement comme il faut, entre le bodybuildé vulgaire et le petit mou du genou faiblard, bref, des bras exactement comme les élèves de base en voudraient, mais cela le rend d’un tel banal que je ne peux le supporter. Ses jambes elles, lentes, lui permettent à peine de mettre un pied devant l’autre. Ah ça, pour les high kicks, il est doué, mais le reste… Il a aussi, sous une fine couche de graisse, des semblant d’abdominaux… Je trouve d’ailleurs ça d’un pathétique... Son sexe, car je l’ai vu, à ma grande honte et pour ma plus grande peine. Il est de taille respectable, je ne préciserai pas plus, tant de négation de la beauté jusqu’au sexe vous ferait sans aucun doute pleurer, voire vomir. Et je ne suis pas homme à abuser des bassetés que la Nature lui a faites, car après tout, il est unique dans sa laideur, et personne ne peux l’être autant qu’il l’est.

Attaquons nous maintenant, car il le faut aussi, à ses horribles guenilles. Il devait les vouloir communs, ainsi voilà ce qu’il porte. Il chausse des sortes de bottes de cuir noir, pratiques, apparemment utiles à la course, et assurant une discrétion parfaite lors des déplacements. Vêtu d'un long pantalon de toile noir, munis de nombreuses poches, et attaché en bas par de fines cordelettes, sans doute encore pour une facilité de mouvement accrus. Une courte veste noire, de cuir, entrouverte et laissant apparaître un t-shirt blanc sans rien dessus, comme neuf. On devine cependant des bracelets de cuirs aux poignets, comme pour se défendre. Une petite chaînette en argent semblait pendre de sa poche. La seule et unique couleur visible de cet homme étant le noir. Le noir de ses chausses, et de son chapeau, qui vous empêche de voir son visage. Ce chapeau est un peu déchiré et semble presque comme s'il était resté dehors des jours entiers, sous une pluie battante. Toutefois le tout, porté par cet inconnu, semble montrer une sorte de puissance indiscutable.

Jusque dans sa façon de se déplacer, il est de ces hommes balourds. En effet, sa manière très pachidermique de se déplacer dans le silence le plus absolu, le plus parfait donc, lui procure une démarche des plus troublantes, car bien que ce ne soit pas le cas, il semble détruire le sol sous ses pas, ce dernier ployant devant lui et sa laideur si terrible qu’il devient horrifique d’en parler, et d’imaginer ce qu’il peut faire avec sa façon si lourde de se déplacer. Généralement, il est très difficile de savoir quand il marche, car le sol ne cesse de trembler quand ses pieds touchent le sol. De même, et il est vrai que cela lui arrive, même si rarement, sa rapidité à la course tient de celle d’un escargot atrophié. Il se déplace donc lourdement, faisant penser à un terrible démon Balor venant piétiner un troupeau de milles pattes unijambistes… Mais il est temps de conclure enfin cette description non-exhaustive de sa personne, car plus de détails vous tueraient sans aucun doute, aussi vais-je m’arrêter séance tenante, vous précisant tout de même que je viens de vous mentir tout du long, sa beauté me dégoutant dans le sens où je me sens minable à ses cotés.


Dernière édition par Xino J. Shinichi le Dim 03 Jan 2010, 17:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ]   Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] EmptyDim 03 Jan 2010, 17:51

Description psychologique:



Il faut maintenant que je vous parle de moi. Mais je suis quelqu’un d’organisé dans sa perfection, aussi vais-je vous faire un bref résumé de ma façon de penser, en passant par mes émotions, ma façon de penser, mes idéaux, mes buts… Bref, tout ce qui fait de moi un homme au charme total et aux multiples facettes.

Du coté émotif donc, puisqu’il faut en venir là, je suis encore et toujours un homme complexe, car je persiste et signe dans cette habitude à la polyvalence et au mystère, que je trouve si intéressants, et qui me rendent si unique et parfait. Je suis donc un homme poly émotif, dans le sens où je peux passer par toutes les émotions connues de l’Homme. En effet, sous un masque presque véritable d’une tristesse apparente, qui se manifeste bien souvent par des traits tirés, des yeux d’un chien qu’on aurait battu et un ineffable sourire d’homme triste, je cache tout un panel d’émotions, dont je vais vous entamer la description. De la joie, commençons effectivement par elle, je suis tout à fait à même d’en ressentir, je ne le montre pas, mais en mon for intérieur, c’est comme si un feu d’artifices venait de commencer, ses fusées de bonheur virevoltant en moi, me rendant ivre de cette sensation de plaisir que l’on appelle donc joie. Mais de la colère aussi, car comme tout un chacun, je m’énerve, je rougis, je chauffe et je frappe. Je ressens en ce rares moments alors comme si une bombe se logeait au fond de moi, représentant une gène. Et cette gène, dont il faut se débarrasser, explose subitement, provoquant en moi comme une montée de cette hormone qu’on appelle adrénaline, alliée à une irrépressible envie de frapper, de tuer, de faire dégager cette colère, de me laver de ce sentiment. De l’envie aussi, car je suis tout autant soumis aux 7 péchés capitaux que tout un chacun, bien que cela ne transparaisse que plus discrètement. Quand cette émotion-ci me prend, je ressens un besoin, plus fort encore que celui de tuer. Un besoin qui ne se réprime pas avec de la volonté mais avec des actes. Je ne peux en général que me soumettre à ce sentiment, qui me fait trembler de tout mon long, d’excitation le plus souvent. Je me jette alors de manière plus ou moins sauvage sur l’objet de mes désirs, ce qui conduit bien souvent à de nombreuses pénétrations répétées et appliquées jusqu’à ce que ce besoin se retire, refluant telle la marée. Mais attaquons maintenant un sentiment qui, parfois, découle du précédent, à savoir le sentiment d’Amour. Car même si je suis parfait, je dois admettre que parfois je tombe sous le charmes d’une jolie femme. Dans ce cas là, un étrange mélange de sensations me prend, j’ai parfois comme froid, je tremble, et dans le même temps je commence à suer, uniquement quand je suis en présence de la femme qui me fait cet effet évidemment. Ces bouffées de chaleur froide, doux oxymore définissant cet état, me prenne et me rende ce que l’on appelle « tout chose ». Je ne contrôle qu’à peine le fonctionnement de mon corps, et peu s’en faudrait que j’oublie de respirer un instant. Et dès lors que cette personne aimée m’appartient autant que je semble lui appartenir, je ressens une joie infinie, comme je vous en ai précédemment parlé, rien qu’à la vue de cette personne, et sitôt l’être aimé quitté, je ne puis m’empêcher de penser à elle, c’est quelque chose qui me dépasse… Mais coupons court à ces descriptions quelques peu mélodramatiques de mes émotions, je n’ai de toutes évidences pas le temps d’aller plus loin que les quelques sentiments principaux que je vous ai succinctement décrit ici. Il faudra donc vous en contenter…

Mais passons dès maintenant à ma façon si spéciale d’envisager les choses, ma façon de penser en somme, car ici aussi, je suis très particulier, et en cela, parfait. Je pense d’une façon que vous ne comprendriez certainement pas dans le sens où, dans ma tête, il y a toujours une multitude de choses en même temps, qui tournent comme des macros, et je pense toujours à quelque chose en réfléchissant à autre chose. C’est assez complexe et j’en convient, je vais donc vous donner un exemple concret, ce sera plus facile. Prenons par exemple le cas où je réfléchis à ce que je vais faire cette après midi au lieu d’aller en cours, et bien je vais trouver le moyen de penser dans le même temps aux lasagnes bolognaises de la veille, qui étaient soit dit en passant très bonnes. Je pense toujours de la sorte, mélangeant dans une sorte de patchwork mes pensées les plus saugrenues avec mes pensées sérieuses. Amusante comparaison non, le patchwork de l’esprit, et le mélange des pensées. C’est dans cet esprit très spirituel que je fais mes mixtures philosophiques. Aussi et vous l’aurez compris, je suis un homme qui pense bizarrement, mais avec une efficacité accrue du fait que je suis aussi très intelligent, une de mes nombreuses qualités. Il suffit de voir la vie comme un gigantesque jeu d’échecs, il faut penser plusieurs tours en avance, et penser à tout. Sacré mélange dans la tête qu’est le mien.

Mais venons en maintenant à mes idéaux. Moi voyez vous, j’ai certains rêves. Je peux passer pour un ahuri de première, cela ne me dérange en rien, j’irai tuer celui qui pense de la sorte, mais je crois en moi et en mes rêves. Fasciné par ce but de réalisation utopique de mes songes, je m’efforce de m’approcher d’un de mes nombreux buts, devenir le maître du monde. On m’a expédié ici parce que je suis l’une des pires racailles du pays, et certainement du monde, mais j’ai moi aussi des idéaux de justice. Je suis quelqu’un qui veut instaurer une paix durable, et mon intellect plus développé que la moyenne m’a fait parvenir à la sombre conclusion qu’il n’y a la paix que si un homme domine tous les autres, sans exception et sans contestation. Aussi, mon idéal de justice passe par la domination sans partage du monde. Je dois le contrôler, pour y gérer les racailles, et instaurer cette paix universelle et utopique à cette pauvre ville qui aspire elle aussi je suis sur à cette tranquille sérénité apportée par les ères pacifiques. Voilà à peu près mes idéaux, mes rêves… Ce en quoi je crois plus qu’au Père Noël… Car sans ces songes idéalisant un monde si sombre, les hommes ne feraient que tomber dans la folie furieuse, instaurant une terrifiante loi du plus fort, ramenant notre espèce au rang de simple attraction comique, ce qu’un être supérieur comme moi ne peut tolérer. Voici pour mes idéaux et mes buts. Je conclurai donc ainsi ma vision psychologique de ma parfaite personne...


[PS: C'est plus court que ce que je pensais... fichtre et foutre, perdrais-je du niveau? Very Happy ]
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MessageSujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ]   Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] EmptyMar 05 Jan 2010, 21:15

Chapter 1 (Part 1) : Bon sang, mais c'est bien sur!!! Le prologue!!!

(avec un peu de hentaï dedans mais c'est jamais qu'un viol...)