Sujet: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Dim 03 Jan 2010, 17:48
Présentation RPG
Nom:
Xino J.
Prénom:
Shinichi
Âge:
26 ans
Nindo:
Se battre... pour fuir...
Description physique :
(post suivant sans prétention)
Description mentale:
(de même)
Village Souhaité:
Déserteur...
Histoire:
(Ben c'est à dire que... plus tard...)
Test rpg :
Vi s'il vous plait...
HRPG :
Votre âge :
17 balais, dont deux dans l'arrière train, et un dans la main pour nettoyer derrière moi...
Votre avis sur le forum ? Pensez-vous qu'il y a quelque chose qui puisse être revu/amélioré ? :
Non c'est bon, j'pose mes bagages ici... La salle de bain est libre? Il est où le bar?
Votre niveau RP ? :
Demandez à Yoshiyune Toshikane, c'est à moitié sa faute si j'suis là... ^^'
Dernière édition par Xino J. Shinichi le Dim 10 Jan 2010, 21:33, édité 4 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Dim 03 Jan 2010, 17:50
Description physique:
Vu par lui-même, on pourrait pensé qu’il se dépeindrait de la sorte :
Voyez vous jeunes gens, si la perfection existe, j’en suis l’archétype même. Car après tout, ma beauté n’a d’égale que la certitude que le Soleil se lève le matin et se couche le soir…
Je suis de ceux qui ont un visage parfait. Mes prunelles noisettes, dans lesquelles il est fort aisé de plonger, pour ne plus jamais sortir de l’envoutement qui prend toute personne s’y aventurant. Car ces prunelles de la couleur du chocolat au lait sont zébrées de fins traits noirs, tare de naissance, héritage de mon père. Toute personne me regardant droit dans les yeux ne peut manquer de remarquer ce détail frappant, voire choquant. Beaucoup pensent que je porte des lentilles, cela expliquerait ce trait physique si particulier. Mais au risque de décevoir… je ne porte pas de lentilles, car je suis naturellement parfait. Mon nez, loin d’être aussi moche que celui du commun des mortels, est fin, beau. On pourrait presque en dire qu’il est divin si tant est qu’un hypothétique Dieu existe, auquel cas je suis le plus proche de cette entité. Je possède des oreilles fines, dans le sens où j’entends parfaitement l’ivrogne au fin fond du bar me traiter de gigolo… Mes cheveux quand à eux, longs filaments de souffre, retombent toujours de manière totalement aléatoire sur mon visage, avec une systématique grâce. Mon visage est donc un élément très démonstratif appuyant ici le fait que je suis un homme sublimement parfait.
Passons maintenant, à l’unique condition que ma beauté si fatale ne vous ait pas encore fait tomber dans un coma salvateur, montrant que vous êtes sensible à la perfection quand vous la voyez ; je disais donc, passons au restant de mon magnifique corps. Je suis un homme mesurant une taille qui, à elle seule, rendrait une journée pleine de bons moments, juste du fait de la perfection de la tonalité de la voix quand on la prononce : un mètre quatre-vingt cinq. Et avec cette taille si belle, si incroyablement sensuelle, il fallait bien ces 70 kilos de muscles. En effet, les salles de musculation et les coups de poing dans la tête des connards de petites frappes ont incroyablement développé mon corps, qui, déjà parfait par le passé, ne s’en est que sublimé. Je me retrouve donc avec des bras musclés exactement comme il faut, entre le bodybuildé vulgaire et le petit mou du genou faiblard, bref, des bras exactement comme les élèves de base en voudraient. Mes jambes elles, agiles, me permettent de mettre un high kick retourné à un ninja de pacotille tout en continuant de lire le journal, où je fais bien sur la une du simple fait que j’existe. J’ai aussi des abdominaux fortement développés, parfaits de nature, magnifiés par un travail de fond qui fait que je suis sans aucun doute possible l’être le plus parfait de tout l’univers. Mon sexe à présent, car il est des choses dont il faut parler si l’on s’intéresse à moi. Il est de taille plus que respectable, je ne préciserai pas plus, tant de perfection jusqu’au sexe vous ferait sans aucun doute ciller, voir faiblir. Et je ne suis pas homme à abuser des bontés que la Nature a eut avec moi, car après tout, je suis unique dans ma perfection, et personne ne peux l’être autant que je le suis.
Attaquons nous maintenant, car il le faut aussi, à mes parfaits vêtements. Je les voulaient volontairement communs, ainsi voilà ce que je porte. Je chausse des sortes de bottes de cuir noir, pratiques, utiles à la course, et assurant une discrétion parfaite lors de mes déplacements. Je suis vêtu d'un long pantalon de toile noir, munis de nombreuses poches, et attaché en bas par de fines cordelettes, pour une facilité de mouvement accrue. Une courte veste noire, de cuir, entrouverte et laissant apparaître un t-shirt blanc sans rien dessus, comme neuf. Je porte cependant des bracelets de cuirs aux poignets, comme pour me défendre. Une petite chaînette en argent pend de ma poche. La seule et unique couleur visible de ma perfection vestimentaire est le noir. Le noir de mes chausses, et de mon chapeau, empêche de voir mon parfait visage. Mon chapeau est un peu déchiré et semble presque comme s'il était resté dehors des jours entiers, sous une pluie battante. Toutefois le tout, porté par moi, semble montrer une sorte de puissance indiscutable, effet de ma perfection, et vérité indiscutable, car je suis si puissant que je n’use jamais tout mon talent pour tuer un vil coquin des bas étages…
Jusque dans ma façon de me déplacer, je suis un homme divin. En effet, ma manière très aérienne de me déplacer dans le silence le plus absolu, le plus parfait donc, me procure une démarche des plus troublantes, car bien que ce ne soit pas le cas, je ne semble pas toucher le sol, ce dernier ployant devant moi et ma beauté si ultime dans sa perfection qu’il devient superflue de parler de ce que je peux faire grâce à ma démarche sublime. En général, il est très difficile de savoir quand je marche, car je ne bouge mes jambes que très discrètement, et ce silence dans cette rapidité discrète ne peut que sublimer un homme déjà parfait. De même, et il est vrai que cela m’arrive, même si rarement, ma rapidité à la course tient du miracle tant elle est belle à regarder. Je me déplace sur l’air, ce dernier semblant s’écarter sur le chemin de l’homme prodigue, chef-d’œuvre d’un artiste inconnu, ou inexistant : Dieu. En cela, je tiens de ce philosophique père, en lequel je ne crois pas, car je suis divin encore une fois. Mais il est temps de conclure enfin cette description non-exhaustive de ma personne, car plus de détails vous tueraient sans aucun doute, aussi vais-je m’arrêter séance tenante.
Mais vu par quelqu'un d'autre, ce serait plutôt comme ceci:
Cet homme est de ces hommes si bizarrement moche qu’il est presque impossible de le dépeindre sans tomber dans la méchanceté . Ses yeux, couleurs de merde, sont deux vastes crottes de brebis galeuse dans lesquelles il vaudrait mieux éviter de tomber, ne serait-ce que pour l’odeur… Car ces prunelles de la couleur du plus beau des cacas sont zébrées de fins traits de souffre moche, comme celui que l’on retrouve sur le corps des mineurs, tare de naissance, héritage de son pauvre père, qui n’avait sans doute pas choisis d’avoir un déchet pour fils... Toute personne le regardant droit dans les yeux ne peut manquer de remarquer ce détail frappant, voire choquant, car il aura sans aucun doute une immédiate et incompressible envie de vomir tout ce qu’il a avalé ces dernières 168 heures. Au début, je pensais que c’était des lentilles, pour se donner un genre car il est vrai qu’il en manque. Mais au risque de décevoir… il ne porte pas de lentilles, car il est naturellement horrible. Il possède aussi un nez gros et gras, horriblement boursoufflé de petits pustules jaunes et rouges, tels les petits smarties qu’on achète au supermarché. Sourd comme un pot, ses oreilles sont en plus en feuille de choux, il est très facile de l’insulter, il n’entend rien… Ses cheveux, masse volumineuse de merde noire lui retombant devant le visage, sont systématiquement gras, moche, la seule vue de ces choses étant insupportable.
Passons maintenant, à l’unique condition que tant d’horreur ne vous ait pas encore fait tomber dans un coma salvateur, montrant que vous êtes sensible à la laideur même quand vous la voyez ; je disais donc, passons au restant de son horrible masse lui servant de corps. Il est un homme, du moins nous n’en sommes pas surs, et sa taille est imparfaite, moche, inutile… Il mesure un mètre quatre vingt cinq, il en est fier… et pourtant… Avec cette taille si horrible, si incroyablement terrifiante, il fallait bien ces 70 kilos de restes... Il n’est qu’une petite frappe à mon sens, malgré un corps musclé, il s’est fait ce muscle sur des pauvres petits enfants, jeunes de 5 ans… Il se retrouve donc avec des bras musclés exactement comme il faut, entre le bodybuildé vulgaire et le petit mou du genou faiblard, bref, des bras exactement comme les élèves de base en voudraient, mais cela le rend d’un tel banal que je ne peux le supporter. Ses jambes elles, lentes, lui permettent à peine de mettre un pied devant l’autre. Ah ça, pour les high kicks, il est doué, mais le reste… Il a aussi, sous une fine couche de graisse, des semblant d’abdominaux… Je trouve d’ailleurs ça d’un pathétique... Son sexe, car je l’ai vu, à ma grande honte et pour ma plus grande peine. Il est de taille respectable, je ne préciserai pas plus, tant de négation de la beauté jusqu’au sexe vous ferait sans aucun doute pleurer, voire vomir. Et je ne suis pas homme à abuser des bassetés que la Nature lui a faites, car après tout, il est unique dans sa laideur, et personne ne peux l’être autant qu’il l’est.
Attaquons nous maintenant, car il le faut aussi, à ses horribles guenilles. Il devait les vouloir communs, ainsi voilà ce qu’il porte. Il chausse des sortes de bottes de cuir noir, pratiques, apparemment utiles à la course, et assurant une discrétion parfaite lors des déplacements. Vêtu d'un long pantalon de toile noir, munis de nombreuses poches, et attaché en bas par de fines cordelettes, sans doute encore pour une facilité de mouvement accrus. Une courte veste noire, de cuir, entrouverte et laissant apparaître un t-shirt blanc sans rien dessus, comme neuf. On devine cependant des bracelets de cuirs aux poignets, comme pour se défendre. Une petite chaînette en argent semblait pendre de sa poche. La seule et unique couleur visible de cet homme étant le noir. Le noir de ses chausses, et de son chapeau, qui vous empêche de voir son visage. Ce chapeau est un peu déchiré et semble presque comme s'il était resté dehors des jours entiers, sous une pluie battante. Toutefois le tout, porté par cet inconnu, semble montrer une sorte de puissance indiscutable.
Jusque dans sa façon de se déplacer, il est de ces hommes balourds. En effet, sa manière très pachidermique de se déplacer dans le silence le plus absolu, le plus parfait donc, lui procure une démarche des plus troublantes, car bien que ce ne soit pas le cas, il semble détruire le sol sous ses pas, ce dernier ployant devant lui et sa laideur si terrible qu’il devient horrifique d’en parler, et d’imaginer ce qu’il peut faire avec sa façon si lourde de se déplacer. Généralement, il est très difficile de savoir quand il marche, car le sol ne cesse de trembler quand ses pieds touchent le sol. De même, et il est vrai que cela lui arrive, même si rarement, sa rapidité à la course tient de celle d’un escargot atrophié. Il se déplace donc lourdement, faisant penser à un terrible démon Balor venant piétiner un troupeau de milles pattes unijambistes… Mais il est temps de conclure enfin cette description non-exhaustive de sa personne, car plus de détails vous tueraient sans aucun doute, aussi vais-je m’arrêter séance tenante, vous précisant tout de même que je viens de vous mentir tout du long, sa beauté me dégoutant dans le sens où je me sens minable à ses cotés.
Dernière édition par Xino J. Shinichi le Dim 03 Jan 2010, 17:53, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Dim 03 Jan 2010, 17:51
Description psychologique:
Il faut maintenant que je vous parle de moi. Mais je suis quelqu’un d’organisé dans sa perfection, aussi vais-je vous faire un bref résumé de ma façon de penser, en passant par mes émotions, ma façon de penser, mes idéaux, mes buts… Bref, tout ce qui fait de moi un homme au charme total et aux multiples facettes.
Du coté émotif donc, puisqu’il faut en venir là, je suis encore et toujours un homme complexe, car je persiste et signe dans cette habitude à la polyvalence et au mystère, que je trouve si intéressants, et qui me rendent si unique et parfait. Je suis donc un homme poly émotif, dans le sens où je peux passer par toutes les émotions connues de l’Homme. En effet, sous un masque presque véritable d’une tristesse apparente, qui se manifeste bien souvent par des traits tirés, des yeux d’un chien qu’on aurait battu et un ineffable sourire d’homme triste, je cache tout un panel d’émotions, dont je vais vous entamer la description. De la joie, commençons effectivement par elle, je suis tout à fait à même d’en ressentir, je ne le montre pas, mais en mon for intérieur, c’est comme si un feu d’artifices venait de commencer, ses fusées de bonheur virevoltant en moi, me rendant ivre de cette sensation de plaisir que l’on appelle donc joie. Mais de la colère aussi, car comme tout un chacun, je m’énerve, je rougis, je chauffe et je frappe. Je ressens en ce rares moments alors comme si une bombe se logeait au fond de moi, représentant une gène. Et cette gène, dont il faut se débarrasser, explose subitement, provoquant en moi comme une montée de cette hormone qu’on appelle adrénaline, alliée à une irrépressible envie de frapper, de tuer, de faire dégager cette colère, de me laver de ce sentiment. De l’envie aussi, car je suis tout autant soumis aux 7 péchés capitaux que tout un chacun, bien que cela ne transparaisse que plus discrètement. Quand cette émotion-ci me prend, je ressens un besoin, plus fort encore que celui de tuer. Un besoin qui ne se réprime pas avec de la volonté mais avec des actes. Je ne peux en général que me soumettre à ce sentiment, qui me fait trembler de tout mon long, d’excitation le plus souvent. Je me jette alors de manière plus ou moins sauvage sur l’objet de mes désirs, ce qui conduit bien souvent à de nombreuses pénétrations répétées et appliquées jusqu’à ce que ce besoin se retire, refluant telle la marée. Mais attaquons maintenant un sentiment qui, parfois, découle du précédent, à savoir le sentiment d’Amour. Car même si je suis parfait, je dois admettre que parfois je tombe sous le charmes d’une jolie femme. Dans ce cas là, un étrange mélange de sensations me prend, j’ai parfois comme froid, je tremble, et dans le même temps je commence à suer, uniquement quand je suis en présence de la femme qui me fait cet effet évidemment. Ces bouffées de chaleur froide, doux oxymore définissant cet état, me prenne et me rende ce que l’on appelle « tout chose ». Je ne contrôle qu’à peine le fonctionnement de mon corps, et peu s’en faudrait que j’oublie de respirer un instant. Et dès lors que cette personne aimée m’appartient autant que je semble lui appartenir, je ressens une joie infinie, comme je vous en ai précédemment parlé, rien qu’à la vue de cette personne, et sitôt l’être aimé quitté, je ne puis m’empêcher de penser à elle, c’est quelque chose qui me dépasse… Mais coupons court à ces descriptions quelques peu mélodramatiques de mes émotions, je n’ai de toutes évidences pas le temps d’aller plus loin que les quelques sentiments principaux que je vous ai succinctement décrit ici. Il faudra donc vous en contenter…
Mais passons dès maintenant à ma façon si spéciale d’envisager les choses, ma façon de penser en somme, car ici aussi, je suis très particulier, et en cela, parfait. Je pense d’une façon que vous ne comprendriez certainement pas dans le sens où, dans ma tête, il y a toujours une multitude de choses en même temps, qui tournent comme des macros, et je pense toujours à quelque chose en réfléchissant à autre chose. C’est assez complexe et j’en convient, je vais donc vous donner un exemple concret, ce sera plus facile. Prenons par exemple le cas où je réfléchis à ce que je vais faire cette après midi au lieu d’aller en cours, et bien je vais trouver le moyen de penser dans le même temps aux lasagnes bolognaises de la veille, qui étaient soit dit en passant très bonnes. Je pense toujours de la sorte, mélangeant dans une sorte de patchwork mes pensées les plus saugrenues avec mes pensées sérieuses. Amusante comparaison non, le patchwork de l’esprit, et le mélange des pensées. C’est dans cet esprit très spirituel que je fais mes mixtures philosophiques. Aussi et vous l’aurez compris, je suis un homme qui pense bizarrement, mais avec une efficacité accrue du fait que je suis aussi très intelligent, une de mes nombreuses qualités. Il suffit de voir la vie comme un gigantesque jeu d’échecs, il faut penser plusieurs tours en avance, et penser à tout. Sacré mélange dans la tête qu’est le mien.
Mais venons en maintenant à mes idéaux. Moi voyez vous, j’ai certains rêves. Je peux passer pour un ahuri de première, cela ne me dérange en rien, j’irai tuer celui qui pense de la sorte, mais je crois en moi et en mes rêves. Fasciné par ce but de réalisation utopique de mes songes, je m’efforce de m’approcher d’un de mes nombreux buts, devenir le maître du monde. On m’a expédié ici parce que je suis l’une des pires racailles du pays, et certainement du monde, mais j’ai moi aussi des idéaux de justice. Je suis quelqu’un qui veut instaurer une paix durable, et mon intellect plus développé que la moyenne m’a fait parvenir à la sombre conclusion qu’il n’y a la paix que si un homme domine tous les autres, sans exception et sans contestation. Aussi, mon idéal de justice passe par la domination sans partage du monde. Je dois le contrôler, pour y gérer les racailles, et instaurer cette paix universelle et utopique à cette pauvre ville qui aspire elle aussi je suis sur à cette tranquille sérénité apportée par les ères pacifiques. Voilà à peu près mes idéaux, mes rêves… Ce en quoi je crois plus qu’au Père Noël… Car sans ces songes idéalisant un monde si sombre, les hommes ne feraient que tomber dans la folie furieuse, instaurant une terrifiante loi du plus fort, ramenant notre espèce au rang de simple attraction comique, ce qu’un être supérieur comme moi ne peut tolérer. Voici pour mes idéaux et mes buts. Je conclurai donc ainsi ma vision psychologique de ma parfaite personne...
[PS: C'est plus court que ce que je pensais... fichtre et foutre, perdrais-je du niveau? ]
Invité Invité
Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Mar 05 Jan 2010, 21:15
Chapter 1 (Part 1) : Bon sang, mais c'est bien sur!!! Le prologue!!!
(avec un peu de hentaï dedans mais c'est jamais qu'un viol...)
"Entre une mauvaise cuisinière et une empoisonneuse, il n'y a qu'une différence d'intention." Pierre Desproges
1.
La femme courait dans les couloirs pavés de ce grand complexe, et les deux hommes en noir la suivaient. Les talons des chaussures qu’elle portait heurtaient le sol pavé des couloirs, et laissaient systématiquement une petite marque noire, légère, mais facile à discerner. En somme, elle laissait une trace indélébile de son passage, et il apparaissait maintenant évident que quoi qu’elle fasse, elle se ferait rattraper. Elle en avait elle aussi conscience, elle n’était pas stupide. Cependant ses jambes allaient seules, comme si c’était là la seule action que son corps voulait bien faire. Elle réfléchissait, tentait de trouver un moyen de se sortir de là. Qu’avait-elle fait ? C’est encore un secret bien gardé. Elle continuait de courir dans les couloirs, sans se soucier d’où ses pieds l’emmenaient. Elle tourna à gauche, et ce fut sa dernière erreur. Ce couloir menait droit à un cul-de-sac. Le bâtiment où la jeune femme évoluait était un hôpital. On voyait que la région était riche au fait que, dans l’hôpital, les mûrs étaient peints et avaient des décorations telles que des peintures accrochées à ces mûrs. De plus, le sol était pavé de marbre blanc, pierre rare dans ce coin là de l’univers. De la fenêtre proche, on voyait un rayon de soleil, qui montrait le bout de ce cul-de-sac. La femme cria de surprise à la vue de cette fin de couloir signifiant pour elle une fin de parcours. Elle aurait juré par sa montre et son billet que ce couloir menait à une autre aile du complexe hospitalier. Mais elle s’était manifestement trompée. Ou bien était-ce un des ses tours à lui… Les hommes la rattrapèrent et la déshabillèrent du regard, ce qui n’était pas très dur, elle n’était pas franchement habillée non plus… elle portait ce type de robe typique des hôpitaux, bleue, mi-longue. Ses cheveux étaient lâchés sur ses épaules, en bataille du fait de la course-poursuite. Ils étaient bruns et frisaient légèrement. Elle n’avait absolument aucune lésion qui aurait pu être à l’origine d’un passage dans un hôpital. Elle n’avait donc aucune raison d’être ici, sinon un accouchement. Mais pourquoi fuyait-elle dans ce cas ? L’un des deux hommes en noir, le plus grand et probablement le plus gros aussi, s’approcha d’elle d’un pas lourd. Il prenait son temps, se délectait à l’avance de son travail, il l’aimait plus que tout ce job. Il tenait dans sa main droite une hache de bûcheron. Il la passa rapidement de sa main droite à sa main gauche, et répéta l’opération en sens inverse et ce plusieurs fois. Il faisait cela dans le but qu’elle ne puisse savoir de quel côté allait venir l’attaque. Mais avant, il voulait s'amuser, profiter un peu. Après tout, ils étaient payés pour tuer, mais rien ne les empêchaient de faire un petit extra au contrat, puisque le corps serait de toutes manières détruit. Il la plaqua au mur d'une main ferme et assurée, ce n'était pas la première fois pour lui. Elle comprit bien vite ce qu'il lui voulait quand il déboutonna son pantalon, et le fit tomber au sol. Il la força alors à se rendre coupable du péché d'onanisme, plaisir d'ordinaire solitaire, mais n'ayant rien de désagréable quand il était fait par une femme. La jouissance et l'orgasme l'accompagnant furent au diapason de la qualité de la masturbation de la jeune femme, c'est à dire excellente. Elle n'était pas noble à la base, et cela se voyait bien. Mais le soulard n'était pas rassasié, il lui en fallait plus, et plus vite. Aussi la força-t-il à s'allonger sur le sol, comme une chienne. Il la prit d'ailleurs comme l'animal susnommé, ne la baisant que pour son bon plaisir. Elle, n'avait pas d'autre choix que d'accepter la partie de ça va ça vient proposée par l'homme. La grosse main poilue de l'homme était sur sa bouche et étouffait ses cris de dégout et de douleur alors que l'homme accélérait encore le mouvement de ses hanches. Il se tendait, cela se voyait. Il allait bientôt jouir en elle. Mais il trouva mieux. Alors que l'orgasme était atteint, il réussit à contenir son éjaculation pour forcer la pauvre fille à l'avaler en entier. Sadique jusqu'au bout, l'homme la regarda avaler avant de remettre son pantalon. Et elle n’eut aucun geste de défense quand il abattit l’arme sur sa tête. Elle cria juste avant que la hache ne rencontre sa tête, un cri de protestation, mais aussi d’interrogation. On entendit un craquement sonore, bruyant. Le crâne était bel et bien défoncé. Le sang gicla en plusieurs jets qui tachèrent le vêtement sombre du tueur, mais aussi le sol blanc, immaculé jusqu’alors. Elle était morte. Son corps tomba alors à genou sur le sol, sa bouche était grande ouverte depuis son cri, et ne s’était pas refermée. L’un des hommes s’occupa de ce détail avant de l’attraper par les pieds et de la traîner sur le sol.
2.
Dans l’une des salles de cet hôpital, un homme allait et venait, ou il semblait être humain. Il portait une longue cape noire et l’on ne distinguait absolument rien d’autre de lui, pas même un regard. Juste une ombre terrifiante, qui semblait bouger sur le sol. Une illusion d’optique, ou bien cet homme était vraiment autre chose qu’humain. C’est du moins ce que pensait le deuxième homme, assis sur un siège inconfortable amené pour lui. Il était chirurgien, et avait aidé à l’accouchement d’une femme qu’il n’avait depuis lors plus revu. Il était encore en pyjama, et il avait les traits tirés. Deux cernes bien marqués sous les yeux, on pouvait imaginer que cet homme ne dormait pas beaucoup ces derniers temps. Ses jambes poilues tremblaient de froid et personne ne semblait s’en inquiéter. En même temps, il était seul avec lui, et comment ce dernier pourrait s’inquiéter de quelque chose. Le pauvre chirurgien, prénommé Eric, du moins c’était ce qui était écrit sur le badge qu’il portait habituellement, tremblait comme une feuille, et se demandait ce qu’on allait faire de lui, ce qu’il avait bien pu faire de mal pour qu’on le sorte de son lit à coups de pied et qu’on le traîne ici en pleine nuit. Il n’en avait absolument aucune idée. Réfléchissant mentalement aux diverses magouilles dans lesquelles il avait trempé, le chirurgien se rappela que cette femme, qu’il avait fait accouché dernièrement, lui avait dit avoir des problèmes d’ordre personnel… C’était sans doute la faute de cette femme là alors. Il se rappelait à présent de certains détails qui auraient du le mettre sur la voie… Il aurait du comprendre alors même qu’il voyait cette femme en question pour la première fois. A sa robe, tout simplement. Elle faisait riche, très riche. La robe était pourpre, couleur qui, et c’est seulement à ce moment qu’il y repensait, était habituellement réservée aux nobles et aux grandes familles bourgeoises. Dans certains villages, il était même interdit de porter du pourpre à moins de pouvoir prouver que l’on était riche. Des lois bizarres, mais elles venaient du Kage lui-même. Comment pouvait-on contester pareille autorité ? En satin, elle descendait à mi mollet et des dorures en décoraient le côté droit, formant ce qui semblait être un aigle. Sur le moment, Eric avait pensé que cette femme était prétentieuse, et n’avait pas cherché à comprendre… Mais s’il avait un peu plus réfléchi, s’il avait regardé un peu plus attentivement la patiente au lieu de se concentrer sur un magazine de science, il aurait remarqué qu’elle avait les cheveux longs… Signe de haut statut social. Pourquoi alors avait-il accepté de s’occuper d’elle ? A vrai dire il n’en savait rien lui-même… Il se le demandait encore. Il n’avait pas encore compris que si une noble comme cette dame semblait l’être venait dans un hôpital de seconde zone comme le sien, il devait y avoir une raison… Une raison qu’il ne connaîtrait vraisemblablement jamais du fait qu’il doutait lui-même de passer la nuit. Il pensait en lui-même que l’homme qui était là était bien ce qu’Eric pensait qu’il était… Un monstre, une aberration de la nature dont on disait que l’Empereur lui-même les avait créés pour qu’ils fassent le sale boulot. Et Eric n’en doutait plus alors. Il savait pertinemment qu’aider cette femme dans le besoin était la dernière chose qu’il ferait de sa vie… Mais qui était-elle… Bon sang ! Qui était cette femme ?!
3.
« Vous devez avoir pas mal de questions petit chirurgien… J’y répondrai peut être, maintenant que vous commencez à comprendre…
-Ma…mais… Co…coco…comment…
-Comment je sais que vous commencez à comprendre ? Mais enfin, c’est évident, je lis dans vos pensées, petit Eric. Pauvre petit Eric. Vous n’êtes chirurgien que depuis peu, et vous voilà déjà empêtré dans une affaire qui vous dépasse. Je suis bien ce que vous pensez que je suis, puisque telle était votre prochaine question. Je vous prierai de reprendre votre souffle avant de me poser votre question suivante, j’exècre les personnes bégayant… »
A dire vrai, le chirurgien avait bien du mal à arrêter de bégayer. Cet être si maléfique, là, devant lui, qui lui parlait d’un ton si hautain. Evidemment qu’Eric était inférieur, il l’avait toujours été. Mais durant toute sa vie, il a tout mis en œuvre pour bien faire son métier. Alors pourquoi ? Il n’était que chirurgien, si la femme avait commis un crime, si elle n’était en fait qu’une servante ayant tué sa maîtresse puis pris ses vêtements pour fuir, ce n’était nullement sa faute après tout.
« Vous allez me tuer hein ?
-Oui… »
Silence… Un « oui », sans la moindre petite once d’hésitation dans la voix. Alors c’était ainsi, il était condamné. Le pauvre Eric Fitzdavids, né bâtard, devenu membre d’une clinique après tant d’efforts consentis allait mourir ici, et sous peu. Toutes ces années, tous ces sacrifices et ces concessions pour mourir à 31 ans dans une clinique qu’il venait d’intégrer. Le pire était indubitablement qu’il ne pouvait rien faire contre ça, son sort était scellé, il allait mourir. Et rien ni personne ne viendrait le sauver. Pas cette fois.
« Je voudrais savoir pour quel crime je vais mourir. Pour quelle raison vous allez me tuer. Pourquoi un des Khäts est venu jusqu’ici pour me tuer.
-Pour aucun crime petit Eric, vous n’avez strictement rien fait de mal. Je devrais même vous féliciter pour l’accouchement. Tout s’est déroulé parfaitement, vous avez fait des merveilles, nous n’en attendions pas tant de vous je dois dire. Mais, les ordres sont les ordres, et vous savez, ou pourriez deviner, trop de choses pour qu’on vous laisse en vie. »
Le Khät, car c’en était bien un sortit une main de sous sa longue cape noire. Une main morte semblait-il. Fripée et bleue, le démon-tueur l’approcha à moins de trente centimètres de la tête du chirurgien innocent. Ce dernier eut le temps d’esquisser une grimace de peur, mais pas de bouger. Tétanisé, il était de plus comme subjugué par cette main. Un maléfice de quelque nature très certainement. Les Khäts étant des tueurs sous les ordres du Kage, ils étaient dotés de facultés spéciales, et celle-ci devait en fait partie. Du feu s’accumulait dans la main. Ainsi il aurait une mort rapide et sans traces, car de toutes les formes de jutsus utilisés pour tuer, le feu est de loin la plus propre, consommant tout et ne laissant rien. Quand le feu quitta la main du Khät, le chirurgien eut le temps d’hurler, juste avant de mourir. Le tueur quitta alors la pièce, et fut rejoint par les deux hommes qui traînaient le cadavre encore frais de la femme. Ils se dirigèrent vers la nurserie de l’hôpital…
4.
Lieu inconnu, la salle était d’un blanc qui ferait pâlir les hauts glaciers du pays de la glace, les mûrs ayant pour toute décoration la peinture qui, à son éclat lumineux, faisait penser qu’elle avait été appliquée dernièrement. La salle était de forme ovale et avait au plus haut point de sa coupole une mince fenêtre circulaire, qui laissait passer les rayons d’un soleil blafard ce jour là. Et comme si le fait que l’astre du jour faiblisse en cette journée ne suffisait pas, les nuages jouaient à cache-cache avec lui. La porte était ouverte, au dehors, deux hommes traînaient le corps d’une femme à la tête fendue, c’étaient nos hommes. Le Khät était devant eux. Le sang de la femme coulait encore, et une traînée rougeâtre les suivait alors, tâchant le sol. Le regard des trois êtres était tourné vers l’intérieur de la pièce. Car au centre même de cette pièce se trouvaient deux lits pour bébés, côte à côte. La femme avait donc donné naissance à des jumeaux. Vrais ou faux, le Khät s’en fichait pas mal, son maître n’avait pas prévu qu’il y aurait deux enfants. Les potentiels n’ayant pas été testé, les étiquettes en bout de lit comportaient seulement le nom des enfants. Deux noms que la femme avait choisis en lieu et place du père, à qui ce privilège revient de droit habituellement. Le maître serait d’autant plus énervé. Mais on ne peut changer des noms, on ne peut ignorer le pouvoir des noms. Le Kage lui-même ne pouvait outrepasser cette Loi. Les enfants étaient donc baptisés, l’un était prénommé Darkar et pleurait, braillait et gigotait ; l’autre Xino, prénom beaucoup plus simple, pour un enfant au comportement plus simple, puisqu’il ne bougeait ni ne babillait. Il était d’ailleurs étrange que la vue d’étrangers ne lui fasse rien… On entendit alors un bruit de communication dans l'air, télépathique vous intuitez.
5.
Le Khät mit immédiatement la main à la poche du pourpoint qu’il portait en dessous de sa cape, et attrapa un bâton coudé. Il appuya dessus après avoir exécutés des signes. Une grosse voix lui parla pendant quelques instants, il y répondit avec respect et déférence. Ce devait être le maître de ce Khät, ou du moins celui qui l’avait invoqué. Le démon, après avoir écouter ce qui semblait être des ordres pour lui répondit par un « oui, ce sera fait » et "raccrocha" après avoir saluer celui qui l’avait amener de la dimension des démons à celle-ci. Il se tourna alors vers les deux hommes de mains, et d’une voix forte, il leur donna ses ordres :
« Lâchez moi ce cadavre espèce de sacs à foutre ! On ne joue pas avec les femmes, et surtout avec celles qui ont donné naissance aux enfants du Maître ! Même si c’était une putain ! Alors lâchez moi ça et dépêchez vous d’aller chercher les deux gamins. Le Maître a des projets pour les deux ! Allez, plus vite que ça ! »
Les deux hommes se dépêchèrent, ils n’avaient jamais vu leur chef dans un tel état, ce dernier avait du se faire passer un savon par son supérieur à lui… Après avoir échanger un bref regard, ils prirent les deux gamins. Ceci fait, ils suivirent leur chef dans les couloirs de l’hôpital jusqu’à la sortie. Le Khät leur ordonna alors de faire un dernier tour dans le complexe afin de vérifier qu’il n’y avait pas d’autres témoins. Les deux colosses obéirent sans réfléchir, braves hommes de mains, mais piètres penseurs. Le Khät attendit que les deux montagnes de muscles aient passé le coin d’un couloir pour détruire l’hôpital d’une gigantesque sphère de feu noir. Pas de survivant, c’était les ordres. L’assassin monta dans sur un oiseau géant, rapide, qui l’attendait là, attacha les deux gamins dans un lit qui d’ordinaire est fait pour un seul bébé, et décolla. On n’a plus trace depuis lors de cet endroit, ni de ses habitants, tous exécutés de la main même du tueur en cape noir envoyé par son Maître…
[Voilà, c'est le prologue à l'histoire de Xino. Comme vous l'aurez compris, la femme violée puis tuée, c'est sa môman... A demain pour la suite ]
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Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Ven 08 Jan 2010, 16:21
Chapter 2 (Part 1) : Cacahuètes, ananas et taboulé.
(Vous avez cliqué pauvres fous?! Tant pis pour vous... XD)
"Come on Barbie let's go party Ahahah yeah!"
Aqua
0.
L'histoire de Xino est longue, étrange et pleine de diverses aventures, tantôt extrêmes mais amusantes, tantôt moins extrêmes mais tout aussi amusantes. Le parcours du ninja est jalonné de pérégrinations diverses et variées, l'amenant à voyager aux quatre coins du monde, pour des missions, pour fuir, ou pour apprendre à danser l'étrange danse faisant jouer tout le corps de façon très sensuelle, à savoir la macarena. Nous verrons d'ailleurs qu'au cours de son parcours (NDLR: BOUHAHA jeu de mot...), cette danse semblait le suivre tout autant que sa malédiction récente, que nous verrons aussi un peu plus tard. Laissons alors derrière nous cette introduction vaseuse et qui doit vous sembler inutile, longue et ennuyeuse car, après tout, je ne fais qu'introduire ici le sujet même de cette fiche de présentation. Mais mes professeurs m'ont toujours expliqué, parfois en me criant à moitié dessus avouons le, qu'une bonne introduction est la base fondamentale et nécessaire d'un bon développement et, par voie de conséquence, d'une bonne conclusion. Comprenez alors, chers lecteurs, que si je fais cette introduction, c'est pour vous et votre confort de lecture qui m'intéresse au plus haut point soyez en surs. Sur ce, je éclipse et reprend le rôle objectif de narrateur, afin de vous conter au mieux et dans les meilleures conditions possibles, l'histoire de cette larve humaine, ce déchet de l'humanité qu'est Xino J. Shinichi (NDLR: Je lui refais une histoire entière juste pour vous alors que je l'ai pas fait depuis 3 ans... Vous pourrez vous vanter d'avoir fait travailler Xino... ).
Suit alors cette introduction l'histoire officielle, conservée par les villages qui recherchent depuis le déserteur nommé Xino J. Shinichi ou Black Storm selon les endroits. Elle peut sembler incohérente, cela est normal, et vient du fait qu'elle est entièrement inventée. La véritable histoire n'étant connu que d'une personne, le déserteur lui même. Et à ce jour, personne n'a réussi à le faire parler à ce sujet...
1.
Xino J. Shinichi, né John-Lee Patrick J. Fitzxino, est né, oui ça on en est sûr. C'était un mercredi soir, mais la date m'échappe, il y a environ 27 ans, au mois de décembre. Il faisait horriblement froid par cette nuit d'hiver à Galahad Town, ville noble par excellence, située sur une montagne perdue au beau milieu de l'océan. Fitzxino, vous aurez intuitez, vient du fait qu'il n'est nullement un enfant légitime. Bâtard, il l'est donc indubitablement. Né d'une mère noble parmi les nobles, elle était une de ceux qu'on appelle les Tigres Sacrés, et d'un père bourgeois n'ayant pu prouver assez de quartiers pour que e mariage puisse être prononcé, il fut nommé bâtard, et sa vie semblait alors tracée. Signalons que, en plus d'être illégitime, le bambin fut nommé maudit pour plusieurs raisons. La première est qu'après un accouchement long et douloureux, sa mère devint stérile, et ne put donc plus jamais avoir d'autre enfant. Étant une erreur, il apparut évidents aux grands penseurs que c'était une sanction normale pour avoir engendré un enfant bâtard. La deuxième raison, et nous savons qu'elle a une explication scientifique, fut le regard du garçon, aux yeux troublants. Les yeux vairons, vus comme une malédiction, aggravèrent encore le cas du garçon. On dit alors, à l'époque, qu'il n'était pas naturel que le nouveau né n'ait su choisir entre les yeux roses de sa mère et les yeux verts de son père. Obtenant un mélange des deux, le bébé avait bien un œil rose et l'autre vert. Étrange cas encore, il était blanc, pâle et semblait faible. Certains savants pensèrent que la solution la plus à même de mettre fin aux malédictions et à cette situation embarrassante tant pour la famille des Tigres Sacrés que pour la famille du bourgeois était la mort. Fort heureusement, la belle jeune femme, noble, était tendrement amoureuse du bourgeois. Aussi lorsque la famille Xino, alors peu influente chez les Tigres Sacrés, mais assez pour engager des hommes à prendre les armes pour s'attaquer aux bourgeois, et les punir, plus d'avoir jeté la disgrâce sur leur famille que pour avoir engrossé leur fille, cette dernière, bien qu'encore faible du fait de l'accouchement, se dressa contre sa famille. Elle réussit, après de longues discussions avec sa famille, à leur faire entendre raison, et faire cesser l'attaque. En conséquence de quoi, elle fut bannie de sa famille, destituée de son titre en même temps que de ses cheveux, symbole de son rang social. Elle fut chassée, emmenée de force sur un navire, gardé par des soldats royaux de l'armée personnelle des Tigres Sacrés, avec le nouveau né. Rassurée quelques temps par le fait d'avoir la certitude d'avoir obtenu l'abandon des charges pesant sur son bien aimé, ce ne fut cependant qu'un répit de courte durée, car elle appris de source sure quelques semaines après qu'il avait bel et bien été exécuté pour une toute autre chose, sans doute une raison bidon. Attristée au plus haut point, elle avait tout perdu et hésita plusieurs fois à mettre fin à ses jours. Tout perdu? A vrai dire non, il lui restait son fils, ce bâtard pour qui et à cause de qui elle avait tout sacrifié. Elle décida alors, de dépit, de l'éduquer du mieux qu'elle pourrait, afin de lui préparer un avenir différent, et principalement en mémoire de l'homme qu'elle avait aimé, et qu'elle avait perdu. Mais le malheur semblait ne pas en avoir fini avec elle. En effet, après lui avoir tout enlevé, il revenait pour lui prendre le reste, à savoir sa vie. Le médecin de bord, vint la voir à sa demande pour de fortes poussées de fièvres et des toussotements pleins de sang. Il l’examina, et ne sut réellement dire si c’était grave ou critique. Forçant le navire à s’arrêter, le médecin partit chercher un collègue à terre. L’analyse croisée et en collaboration des deux spécialistes conduit à un diagnostic sans échappatoire, elle allait mourir d’infections pulmonaires. Ce genre de cas était réellement rare à bord pourtant, et une fois de plus, ce fut mis sur le dos de l’enfant bâtard. L’équipage, bien que payé pour surveiller la jeune femme, s’était pris d’affection pour elle et sa gentillesse. Ainsi, apprenant la mauvaise nouvelle, ils pleurèrent tous, de vraies larmes. Sachant sa mort imminente, la jeune femme quand à elle, demanda qu’on lui apporte des cahiers de voyage vierges, et de quoi écrire. Cette demande fut acceptée sans en référer aux supérieurs, car elle paraissait bénigne, et que par principe, on ne refusait qu’en de rares cas les derniers souhaits d’un mourant. Aussi entama-t-elle l’écriture de notes sur l’éducation qu’elle escomptait donner à son enfants, avec les connaissances et les explications allant avec ; ainsi que ses Mémoires, et un historique rapide de la famille Xino. Elle eut la chance de pouvoir finir ses écrits avant de mourir dans des souffrances atroces, et des convulsions pitoyables. Son corps fut donné à la mer dans les traditions de marins, lors d’une cérémonie pleine d’émotions. Beaucoup pleurèrent, et l’erreur du nouveau né, qui était alors dans une poussette un peu plus loin sur le navire, fut sans doute d’éclater de rire. Le rire franc et sincère, si touchant, qu’est celui du bébé, exacerba la situation, et les membres de l’équipage voulurent tuer le garçon. Mais ils ne pouvaient s’y résoudre, car l’affection qu’ils avaient pour la disparue était trop grande. Un vote eut alors lieu, et l’équipage vota pour abandonner le garçon, sur un radeau, avec les écrits de sa mère. Ce fut fait, quelques jours après et, par le hasard de la mer, le garçon finit son trajet sur une île habitée par d’étranges indigènes, ou du moins ils prétendaient l’être, et des loups. C’est seulement alors que commença la véritable histoire de Xino, et que s’acheva ce qui peut jouer le rôle de tragique préambule à sa vie…
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Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Ven 08 Jan 2010, 18:18
Chapter 2 (Part 2) : Pas d'rhum, une femme, mais pas d'bière! Nom de Dieu!!!
"Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez de trouver un plombier le dimanche."
Woody Allen
2.
Après une journée en mer donc, le bébé Xino arriva sur une île qui jusqu’alors semblait être déserte. Il fut alors recueilli, alors qu’il était toujours en train de rire aux éclats de son voyage maritime. En fait, il avait failli être mangé deux ou trois fois. Les monstres, pas très doués, l’avaient manqué et les remous avaient fait rire le bambin, qui, alors qu’on le lui raconta plus tard, n’en revint pas. Mais revenons à l’île. En fait, ce n’était là qu’une banale île, avec une majeure partie de forêt luxuriante, avec ça et là plages et falaises. Falaises du haut desquelles sautaient allègrement et rapidement des lapins avec une petite plume rouge entre les deux oreilles. On reconnaissait les mâles des femelles au fait que les mâles avaient deux plumes au lieu d’une seule. Ces lapins, suicidaires en apparence, sont en fait de joyeux sauteurs, hurlant à la lune pendant leur saut (ouais, ils gueulent ALALUUUUUUUNE). Etrangement, cette race de lapin, résolument pacifiste, tient bon depuis des millénaires, alors que l’épreuve pour passer à l’âge adulte est de sauter d’une hauteur minimum de 50m. Chaque samedi, les lapins se réunissent pour un concours de saut, celui qui saute du plus haut sera mâle dominant de la semaine. On appelle cette curieuse race les lapins Schplock, ce qui s’explique aisément. En effet, quand le lapin saute, il hurle, et on entend ensuite un Schplock, significatif qu’il est arrivé en bas. Du fait d’étranges et inexpliquées innovations génétiques aléatoires, ces lapins ont obtenus la particularité d’avoir un épiderme si solide que le mâle dominant de tous les mâles dominants s’est jeté de 2000m de haut et n’est pas mort. Remarquant cela, les locaux prirent l’initiative, puis l’habitude, de se servir de ces lapins pour aiguiser leurs lames. Mais nous reverrons les lapins Schplock plus tard. Parlons donc de ces fameux locaux. Ce son des indigènes, vivant sur cette île depuis toujours, du haut de leur communauté forte de ses 5 membres. En fait, ils ne naquirent nullement sur cette île, mais ils y furent rejetés pour des raisons obscures. En effet, cette bande de fieffés menteurs, mais non moins joyeux drilles sont en fait les inventeurs géniaux mais un peu barges de la danse sensuelle légendaire : la macarena. Tube planétaire, ils devinrent les idoles de toute une génération. Malheureusement, leur second et donc dernier morceau, la camanare, marcha beaucoup moins bien. Le monde du show-business étant ce qu’il est, ils furent jetés comme des malpropres et ejectés sur cette île de rêve pour y établir une super démocratie où les ministres, tous du sexe masculin, sauf une pauvre femme, ne meurent jamais. Cruel destin qu’était le leur, aussi furent-ils fort heureux de trouver le bébé sur la plage, alors que Cocot, la poule salope unijambiste s’en approchait dangereusement. Sauvé d’un viol précoce, le garçon fut donc recueilli par les chanteurs-danseurs bizarres, qui prétendirent toujours être des indigènes. Trouvant les cahiers lassés par la mère du garçon, les musiciens furent bien contents de les avoir, car ils constituaient une réserve de papier suffisante pour faire du feu pour l’hiver. Les cahiers d’histoires et commentaires personnels brûlèrent donc dans les semaines suivantes, mais d’un commun accord, il fut décidé de garder les cahiers comprenant les savoirs réellement utiles pour la vie future du jeune garçon. Ils attendirent cependant deux ans, que le garçon arrête de rire de tout avant de les lui lire, les leçons, l’air de rien et en tant qu’histoires banales. Mais ils se rendirent bien vite compte que le bambin, alors âgé de seulement deux ans, était doué. Il parlait déjà comme un livre, comprenait tout, marchait, et écrivait son nom. C’était à n’y rien comprendre parce que, paradoxalement, il pissait partout comme s’il marquait son territoire… D’où lui venait cette lubie, eh bien des loups qui vivaient dans les bois non loin. Une nuit que tout le monde dormait, les loups vinrent et emportèrent le jeune Xino dans les bois, et lui aprirent cette technique, avant de le ramener, aussi trempés que lui, au petit matin. Les indigènes n’y comprirent rien et refusèrent de manger quoi que ce soit venant des réserves pour les cinq semaines suivantes après que l’un d’entre eux tomba malade, vomissant tout ce qu’il mangeait pendant deux jours. Son éducation fut donc étrangement rapide, bien que jalonnée d’étranges régressions à l’état animal du garçon, toujours après des escapades nocturnes avec ses nouveaux amis les loups. Avançons alors jusqu’au moment de l’émancipation du bambin, comprenez par là l’âge auquel il ne fut plus dépendant des autres pour lire, quand il fut capable de le faire de lui-même. Il appris plus ou moins seul, à force de suivre les doigts de ses parents adoptifs courir sur les lignes. Il apprit à reconnaître des syllabes avant de reconnaître les lettres et de comprendre les prononciations des différentes associations de ces symboles nouveaux. Une preuve de plus que l’enfant avait un potentiel latent énorme, il n’avait que quatre ans et demi et il savait lire. Or donc, Xino marchait, parlait et donc chantait. Il avait l’âge idéal pour apprendre les divers mouvements de la macarena, du haut de ses quatre ans et demi. Sa mémoire était bonne, la chorégraphie facile, le garçon retint tout bien vite et prit cette danse pour une danse sacrée de l’île, visant à rendre le souper meilleur. E quelque sorte, cette danse devint le Hakkuna Matata du garçon, qui la dansait très souvent. Il l’appris même, par une nuit de pleine lune, à ses amis les loups qui, pour lui faire plaisir, la dansait à chaque fois qu’ils voulaient dire bonjour à l’un d’entres eux ou à un indigène. Vous l’aurez compris à ce stade de l’histoire, le garçon apprit à se trémousser avant de savoir faire du vélo. D’ailleurs, il n’y avait pas de vélo sur l’île. A la place, il y avait les planches à coco. Ce sont de simples planches, sur lesquelles par un habile système de nœuds, cordes et vis, sont fixées des noix de coco, permettant, et on ne sait toujours pas comment, de rouler, bien que l’étrange engin soit instable au possible. Dévaler les flancs des montagnes, debout sur sa planche à coco, devint l’un des jeux favoris de l’enfant, qui vivait une période heureuse. Le matin, il lisait le cahier de 12000 pages laissé par sa mère, car il savait déjà, on le lui avait expliqué, qu’il était adopté. Il apprenait vite, lisait tout aussi vite, mais voulait s’imprégner de ce qui lui restait de sa mère, car c’est tout ce qu’il avait sur elle. L’après midi, il s’amusait, et mine de rien, bien qu’il n’ait que cinq ans et que ses efforts soient minimes, il apprenait à faire des efforts, et était musclé, aussi stupide soit-il de prétendre qu’un gamin pouvait l’être. Et les soirs, quand il ne sortait pas avec ses amis les loups, il mangeait et filait dormir, car après tout, il n’avait que cinq ans, et se fatiguait donc vite, ayant besoin de repos et d’une petite douzaine d’heures de sommeil par jour. Ben ouais, Xino a beau être un Personnage Joué, il n’est pas un dieu non plus… Il avait donc des besoins simples. Mais avançons alors jusqu’aux huit ans du garçon, pour une anecdote importante, avant de conclure au moment de sa fuite de l’île.
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Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Dim 10 Jan 2010, 16:49
"L'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui."
Pierre Desproges
A ses huit ans donc, alors qu’il se baladait en forêt, il fit une rencontre décisive. Il fit la rencontre d’un de ses futurs amis. Cet ami n’était autre qu’un lapin Schplock, beau, fier et masculin, s’entraînant pour le concours de saut acrobatique du samedi. L’animal sera d’ailleurs renommé plus tard et de façon tout à fait arbitraire Panpan, sans aucun rapport avec son homonyme du film pour enfant Bambi, dont nous ne citerons pas le nom… et merde… mais non j’l’ai pas dit ! Mais revenons en à la rencontre. Xino, maintenant fier chieur de 8 ans, se pissant moins dessus mais marquant son territoire, se promenait alors en bord de plage, en bas d’une falaise haute de 50m, un vendredi matin. Sa balade en forêt matinale étant finie du fait que la forêt débouchait sur la plage, il avait décidé de pousser un peu sur le sol sablonneux. Il portait sur sa petite tête un casque titane-blindé-nec-plus-ultra-top-giga-solide garanti résistant à la chute inopiné d’un porte avion nucléaire, en plus, c’était un Lebauhaum, c’est dire. Or donc, avec son casque sur la tête, il se promenait en bord de falaise, protégé contre les lapins Schplock autant que contre les porte avions nucléaires tombant du ciel. Alors qu’il passait devant un caillou à la forme d’un orifice normalement pas tourné vers le ciel, ou alors quand on est allongé sur le ventre, mais là c’est de la triche, il le ramassa pour mieux l’observer. Formé de deux petites montagnes d’entres lesquelles le vent sifflait, apportant une odeur dégoûtante de méthane, semblant sortir de cet orifice sombre au milieu, le caillou intéressa le garçon un temps, mais il s’en lassa. Aussi le jeta-t-il à la mer, où un gros monstre marin le mangea, le confondant avec l’orifice qu’il était sensé représenter (quel con ce monstre), et se cassa deux dents dessus, avant de le recracher puissamment sur le jeune garçon, qui ne remerciera jamais assez son casque Lebauhaum. Il reprit alors sa marche, lente mais agréable, ses cheveux noirs déjà longs flottant aux grés des alizés. Il eut le temps de faire une vingtaine de mètres, d’éviter pendant ce temps quatre lapins, deux rochers et un piano dont on se demande encore ce qu’il faisait là. C’était d’ailleurs un beau piano à queue, un Pleyel, une marque renommée dont Xino n’avait rien, mais alors rien à foutre. Quelque part ailleurs, au même moment, un homme se réjouissait que son canon à piano marche si bien. C’est bizarre comme la folie furieuse nous fait faire des choses bizarres et dangereuses. C’est donc alors qu’il venait de parcourir, cheveux au vent, les yeux plissés pour ne pas que le vent charrie en eux du sable, et le nez en alerte, son odorat de garçon à moitié élevé par des loups sur le qui-vive, qu’il lui arriva une autre péripétie. Se tournant lentement vers la mer, les yeux toujours mi-clos, il put observer une curieuse scène, amusante. Sur une planche à voile miniature, un gamin qui devait avoir le même âge que Xino, blond, les longs cheveux dans le vent, un indéfectible sourire accroché sur un visage jovial et avenant de ceux qui triment pour survivre. Le garçon était aveugle, et, en gros sur sa voile, il y avait un tag assez stylisé, au dessus du symbole du village éloigné appelé Marine, décrivant ainsi le possesseur de cette planche à voile : Sora Shizen. Et en plus petit, en dessous : Petit con… Indéniablement un fugitif pirate très dangereux et puissant, il était poursuivi par un grand et fier navire appartenant apparemment aux forces de l’ordre locales, dont le commandant était assez connu, il s’appelait Dao Shizen… mais on l’appelait tous Damdamdao, en petit comité. N’importe quel ahuri aurait fait le rapprochement entre Sora Shizen et Dao Shizen, mais à dire vrai, Xino n’était pas n’importe quel ahuri… Mu par un grand, fort, puissant et irrépressible désir d’aider la justice, afin de se faire remarquer, et peut être qu’on le sorte de cette île afin qu’il ait un avenir différent de celui d’un indigène danseur de macarena, Xino ramassa donc une pierre, assez lourde, un bout de carton, et un feutre rouge épais qui se trouvaient là pour les besoins du scénario prévu. Il jeta alors le caillou, fort et précisément sur la voile de la planche, qui se troua presque instantanément. Un observateur extérieur aurait très certainement dit de Xino qu’il avait le sens moral du chacal affamé, et il aurait raison. La voile trouée, la planche cessa de porter le jeune forban en fuite, et ce dernier tomba à l’eau. Un monstre marin passait par là, et le mangea, laissant alors à l’endroit même où le gamin était tombé une mare de sang rouge qui surnageait par rapport à l’eau… Satisfait, Xino prit son carton et son feutre, affichant un « C’est moi que j’l’ai fait ! », fièrement, et souriant de toutes ses dents jaunes pour paraître présentable et, peut être, être pris. Malheureusement, il venait de tuer le fils adoptif du commandant Shizen, qui se vengea en attaquant directement l’île, tuant tout sur son passage, mais ça Xino n’en savait alors rien… Il reprenait alors sa balade, calmement, quand un lapin lui tomba lourdement sur la tête. Ne sentant pas la douleur, protégé par son casque, le gamin sentit quand même l’impact, et il en tomba par terre. Le lapin l’observa, le gamin regarda le lapin et ce fut le coup de foudre, ils se firent l’amour violemment sur la plage… et ce fut le coup de foudre, ils s’apprécièrent alors l’un l’autre, et devinrent très vite amis.
4.
Vous comprendrez alors plus tard, dans le rp, que je ne peux aller plus loin, car le gamin, rentrant au village, tomba sur un champ de ruine. Un radeau était là pour les besoins du scénario, aussi l’emprunta-t-il pour partir avec son ami le lapin. Sa formation ninja suivit, mais doit rester secrète, pour les besoins encore une fois, du scénario prévu par le narrateur, c'est-à-dire moi… Comment ça c’est un moyen de pas finir et d’inventer au fur et à mesure… Mais pas du tout ! Enfin si un petit peu… Mais bon, on m’a dit que j’avais le droit d’occulter la suite de la vie de mon perso, alors j’en profite…
[Hors Prez : Voilà, finito !!! En attente d’un post rp demandé, merci d’avance et bonne lecture !
Invité Invité
Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ] Dim 10 Jan 2010, 21:34
MAIS NOM DE DIEU ! T'as enfin terminé ta présentation ?! MAIS C'EST GÉNIAL ! MAIS C'EST SUPER ! MAIS C'EST UN MIRACLE MIRACULEUX ! xD
Bon, comme je te le disais déjà sur MSN, c'est vraiment très, mais alors très très bien. J'ai rarement vu aussi bon en fait, mieux que moi même. xD
Test RP : " Tu te balades simplement, il fait assez beau, les oiseaux pètent (comme tu le dis si bien !), les cacahuètes volent, et tu es plus ou moins heureux. Mais soudainement, tu sens comme un vide sur ton épaule, ton super lapin a disparu dans les bois ! Où est-il passé ? Tu n'as pourtant rien remarqué qui puisse expliquer cette fugue soudaine ! Retrouver super bunny et découvre qui ou quoi a bien pu te voler ton mangeur de carotte ! "
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Sujet: Re: Xino J. Shinichi [A lire au Second Degré... :D ]