Un retour de Konoha,un corps,une pierre....(PV:Lawrence Pro)
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Sujet: Un retour de Konoha,un corps,une pierre....(PV:Lawrence Pro) Sam 20 Juin 2009, 02:37
Cela faisait maintenant bien quatres à trois jours que Shichi le 7ème Guerrier des enfers marchait en direction du Sekurai accompagner du peut-être futur menbre du Sekurai car oui effectivement en plus d'avoir récupérer une pierre il avait ramener avec lui un Shinobis qui fut séduit par les paroles du jeune homme lors du combat qu'il avait livrer à Konoha...les deux Shinobis marchait dans une foret assez étrange il ne faisait aucun bruit leur pas étè aussi silencieux qu'une mouche qui vole les branches ne se casérent même pas sous lors pieds,rien ne pouvait les faires entendre par d'autres Shinobis,Irshin n'avait plus adresser la parole au Shinobis depuis leur départ de Konoha il étè comme intriguait de ce jeune Shinobis au regard perdue mais rien ne choquait le 7ème Guerrier des Enfer car il en avait vue d'autre avant des comme lui...il continuait à marcher en tenant le corps du Shinobis vaincue à konoha comme un vulgaire sacs de patate un peut à la manière de Kakuzu puis il avançait sans faire un bruit dans cette foret sombre Irshin avait enlever ces gants qui laissait apparaitre le numéro de son rang au Sekurai le 7 oui il étè bien le 7ème Guerrier des enfer peut être étè t'il un d'un plus fort ca il n'y avait que lui qui pouvait le savoir tout en avancant avec son sourir toujour en lèvre il posât le corps de Orochimaru pendant un moment est mit sa main au fond de sa poche arriére et la resortit quelque seconde âprés...il avait sortit une gourde afin de la remplir d'eau car il avait vider lors du premier voyage qu'il l'amenait à Konoha...le jeune Irshin reprit le corps du Shinobis sans vie ainsi que la route toujour avec lui celui qui l'avait aider à tuer ce Shinobis qui portait une pierre au fond de son corps...il avancait tout les deux d'un pas len et lourd mais Shichi étè tout de même sur ces gardes car il ne connaissait rien de ce Shinobis,car tant qu'il n'avait pas montrer sa confiance il ne s'avait pas si il devait vraiment le laisser rejoindre le Sekurai mais d'un coté il n'avait pas parler au jeune homme de ce que possédé en lui le Sanin de Konoha cette pierre de pouvoir,de puissance...Shichi jouer encore et encore avec le manche de son Zanpakuto l'arme que les menbre de son clan possédait...encore une fois il ne l'avait pas utiliser lors du combat à Konoha mais qu'elle étè t'elle vraiment pour qu'il la porte avec lui et ne l'utilise jamais ? mais comme le dit si bien Shichi on utilise pas ces meilleur atouts face à des Shinobis plus faible que soi donc peut-être qu'il n'eut jamais jusqu'a présent l'occasion de l'utiliser contre un Shinobis qu le "dépasserait en force et en vitesse" tel son ses mots mais aucun d'un de ces Shinobis Shichi eut l'occasion de rencontrer en personne enfin bref ce n'était qu'une petite paranthèse,l'homme du Sekurai fit un signe de main à celui qui le suivait comme si il voullait qu'il se stoppe alors Irshin posât le corps une nouvelle fois et se tournât vers le Shinobis en question...oui il allait lui posait une question qui lui trotait dans la tête depuis leur départ de Konoha qui étè t'il vraiment que voulais t'il vraiment l'avait t'il accompagner et rejoin son offre par qu'il s'avait vraiment que le Shinobis mort dont le corps étè poser à terre la sans réagir sans même bouger puisque Irshin étè assis sur lui comme un vulgaire banc pour se reposer...il le fixait de bas en haut et s'aprétait à lui s'apprêtait à lui poser sa question.
"Qui est tu vraiment Shinobis...ton non d'ou viens tu quelle son tes raison de rejoindre et de servir mon chef,le Sage des 6 chemin alors que tu peut trouver la puissance de pars tes propres moyens ? réfléchit à ma question Shinobis moi je me nomme Shichi 7ème Guerrier des enfers Ex Shinobis du pays de la guerre et je ne vie que pour un seul dieu celui de la guerre car pour les Shinobis qui croit en lui comme moi plus les homme se feront la guerre et plus je deviendrai fort et un jour il reviendrât pour combatre au cotés de tout les Kichukiste que je suis...crois tu ou prie tu un dieu Shinobis ?"
Irshin avait possait toutes les question qu'il voulait lui possait maintenant il lui fallait des réponse car les Shinobis comme celui qui se trouvait devant Shichi étè plutôt mystérieux et intriguant peut de temps âprés cette petite pose des deux homme il se redressât et prit le corps de l'homme puis continuairent leur chemin en direction du Sekurai ils avancérent cotes à cotes et le 7èlme Guerrier des enfers attendait les réponses de l'homme en question...
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Sujet: Re: Un retour de Konoha,un corps,une pierre....(PV:Lawrence Pro) Dim 21 Juin 2009, 18:13
¸,ø¤º°`°º¤ø,¸La nervosité d’un homme, peu parfois cacher la splendeur de son âme. °º¤ø,¸¸,ø¤º°`
C’est cette douce élégie didactique qui l’eut conduit en ces lieux sibyllins, que Diable avait-il à faire dans un endroit si équivoqué… Tant d’ambigüité hantait l’esprit du prêtre schismatique, son passé était si distant, sa vie étant si monosémique que même les flots auraient pût couler dessus. Il arqua un rictus ambivalent, allant en contradiction avec le tumulte cérébral qui causait sa perte et s’asseyait sur un rocher de taille moyenne, tout du moins, assez grand pour qu’il arrive à se poser dessus. Il leva son regard cabalistique vers les cieux nébuleux, tant de sang avaient coulés sur ses lunettes pour des maigres taches de buée sur celle-ci n’était d’une importance presque évanescente. Si ses lunettes faisaient abstraction à toutes émotions du faite qu’elles reflétaient une lumière décadente et funeste, elle n’en reflétait pas du tout les allégories de l’œil scintillant de larmes du Névrosé en ces temps mélancoliques de son ancienne vie. Avoir le mal de vivre, voilà une sensation bien pointilleuse que supportait en constance cet homme, Lawrence Promess, toutes ces allégories ou autres maximes exigeant de vivre au jour le jour n’étaient que Baliverne ! Comment peut-on vivre si l’on à même pas de jour devant nous et que notre Utopie est si absurde qu’elle est illégitime ?! Nos rêves à chacun sont réalisables, si l’on s’en donne les moyens… Mais faut-il avoir la capacité de se les donner.
En étant sûr de sa propre mort, le monde se révélant être une alchimie faisant abstraction à sa chimère que de penser survivre en tant qu’être humain. Pour cela, faudrait-il déjà en être un. Et quand à lui, il était indubitablement certain qu’il n’en était pas un. Toute sa vie, il fût admonesté de vivre en tant que personne dite ‘Valable’, et jeté sur l’humus comme un Chien qu’on laisserait juste le temps d’une escapade, celle-ci pour Lawrence durant une vie entière… Cette languissante similitude qu’il eu sentit lorsqu’on lui eu dit « Ryusei, tu es un grand garçon maintenant. », il la sentait si bien que cela fût suffocant à la dernière fois qu’on lui réitéra cette affirmation désopilante. Ayant rejailli exécration et antagonisme, on le considérait comme un Jinchuriki… Le pouvoir en moins. Mais bon, Aujourd’hui était une autre journée, que dire, c’était une journée si fantasmagorique qu’elle paraissait promesse de rencontre ! L’hélianthe abrupt s’accompagnait de diverses couleurs plus chatoyantes et bigarrées les unes que les autres, s’écrasant en éclat de fumée rosâtre sur les cheveux du Neurasthénique.
Tout en plissant chacune des commissures de ses lippes, il réussi tant bien que mal a arquer un léger sourire sur ses lèvres sveltes et gracies, tel une abnégation providentielle, il se serrait l’étau qui lui servait de cœur et se mît à folâtrer, seul, face à la nitescence opaque qui trônait en ces lieux agrestes qui érigeait face à lui un espace amphigourique et apocalyptique se contrastant aux entrées de ce lieux qui étaient contrairement à cet espace avancé : Un lieu des plus cénobites. Cette bénédiction céruléenne à laquelle il fût offert, n’était que de courte durée. Tout comme sa vie prenant les devants de ses décisions, ses humeurs prenant les devants de son caractère, ainsi désarmant sa contorsion buccale exprimant sa joie intempestive et Charivarique, pour se faire lacérer par les flots des tumultes de ses songes acrimonieux. Que dire de cette âme qui pontifiait l’éphèbe corporelle de cette entité fourbe et inavouée. Pour mourir, il faut déjà avoir vécu, mais être mort tout en vivant, c’est une autre chose bien plus étrange qu’une luminescence paradoxale subjuguant les ombrages annuelles des habitués de cette vie perpétuelle et infaisable. Conciliant ses antécédents comme vain et impétueux, il avait gardé cette partie de sa mémoire comme enfoui en une partie se grossissant presque à longueur de journée, et étant invivable. Inéluctablement fini, cette journée s’en allait dans l’incandescent horizon, présent de dédain et d’émanation incoercible.
« Mon nom ? Appelle-moi donc, Lawrence Promess. Mais convictions... Et mais compréhension sont des concepts bien trop ambigu mon jeune amie les comprendre, les apprécier à juste titre. J'ai bien peur que cela ne tes pas permis. Je prêche pour un seul et unique Dieu, comme tu le sais surement...»
°•~.Il n'y a guère que le sublime qui puisse nous aider dans l'ordinaire de la vie.~•°
Cette mélopée qui bruissait un vague bruit de métal se frétillant sur le sol rédempteur et auguste était agréable à ouïr, la seule saugrenuité récurrente qui déplu au psychosé fût juste cette sorgue inexhaustible qui envahissait ces spectacles naturels pourtant si simple et si seigneuriale. Les douceurs opaques virevoltaient au gré des aléas des grandes pouces arborescents se balançant de gauche à droite déclinant leurs multiples frondaisons opalescentes, reflétant leur nitescence sur l’humus conceptuel de cet espace. S’octroyant à une réalité terriblement manifeste, les herbages s’oscillaient voluptueusement à rythmes de fumées évanescentes qui s’évadaient fugitivement vers l’Olympien firmament abstrus. Fumée s’éclipsant des braises coruscantes d’une cigarette allumée pour détendre une Nervosité envahissante, aux lacunes des ris se trouvaient en chaque inspiration des souffles éphémères : Quelques hérésies exhalées s’envolant en même temps que chaque aspiration s’ondoyait gracieusement aux rythmes des bourrasques téméraires et dissolues. Chacune de ses émulations impérieuses allant se faire accroitre par les dérivées sempiternelles des particules d’aires se bousculant aux nuées orgueilleuses créaient un sifflement aigre et tintamarresque.
Un retour de Konoha,un corps,une pierre....(PV:Lawrence Pro)
