Amertume grandissante.( flashback)

Ce monde que j'ai aider a former m'a rejeté a nouveau. Pourquoi cela m'arrive t il a nouveau? Je l'ignore totalement. Mais le temps n'est pas au questions. Je ne m'adapterait pas a ce monde. Je le forcerait a s'adapter a moi. mais me voila encore pris avec un vide a combler. Je n'ai plus un sous, je suis ruiné! Officier déchu que je suis. Je ne voit pas comment je pourrait réparer cette affreuse perte a ma crédibilité que Konoha m'a encore fait subir. Mais pourquoi leur en voudrais-je? Il ne font que leur travail. Même si celui ci contrevient au miens, je n'ai aucune raison de chercher a me venger. Seulement, j'apprendrait vite de mes erreurs. Si je doit affronter cette Sannin a nouveau, elle ne l'aura pas aussi facile cette fois-ci.

Cela fesait des heures, peut être des jours, que je marchait, errant dans la forêt depuis Konoha. Je ne sait plus. Mon brouillard empêche les rayons du soleil de venir réchauffer mon âme. Et par conséquent, je ne voit même pas ou je m'en vais. Mais personne ne me voit non plus. Cette humiliation que j'ai subit, je m'en rappelerait. plus jamais je n'aidrait quelqu'un sans me faire payer d'abord. Cette supposé Sannin m'a brutalement jeter hors du village. Elle m'a frapper. Elle a marquer ma carcasse charnelle a jamais. Les blessures guériront, cependant. Les os se répareront. Mais c'était a elle de ne pas tuer tout ces gens avec sa technique. De toute façon, jamais elle ne m'a parler des dommages collatéraux avant de me dire de combattre. Mais j'avoue qu'elle est forte. Elle est doté d,une de ces forces monstrueuses que je ne peut pas vraiment comprendre. Mais si j'était moins chargé, je pourrait probablement cogner autant qu'elle. Je doit quand même avoir six cent livres sur le dos en permanence. Pourquio toutes ces pensées dans ma tête. D'habitude, j'ai la paix. Jamais je ne pense, autrement que pour élaborer une stratégie. Ce coup a la tête m'a probablement cogné encore plus que je ne le croyait. Ma vision se brouille. Je ne suis pas capable de percer mon propre brouillard. Vite, me frotter les yeux. Mais c'est a ce momonet que je me rend compte que mes mains sont pleines de sang. Je suis couvert de sang. Maintenant je comprend. Ou presque.

"Tout devient vague...Tout devient flou sous mes yeux...Je ne voit que du gris, du gris qui s'empare de mon âme...de mon être tout entier...Le plus neutre des gris qui entre dans mon être..."

Un bruit sourd me plongea soudain dans les ténebres les plus glaciale. Je m'y sentait néanmois confortable. La texture de l'univers autour de moi me rappelait l'acier. Un acier noble, même. Qu'est ce que ça voulait dire? J'était perdu a travers de l'univers qui était contenue dans mon propre corps. Pourquoi, je ne le sait pas. Cela faisait des années que ça ne s'était pas produit. Je devait m'être évanoui a cause du manque de sang. Mon jutsu allait donc disparaitre, me laissant vulnérable, a la portée de mes adversaires. Ou allais-je mourir du manque de sang? Serait-ce ainsi qu'un soldat de fortune comme moi allait dispariatre? Seul, déshonnoré? Tranquillement, pourtant, cet univers tendrement glacial se dissipa sous mes yeux inquiet. Des couleurs estompées donnèrent tranquilement place a des formes définies devant moi. Entre autre, une femme étrangement vêtu se dressait devant moi. Pas maintenant. Pas ici. Ce n'était pas les bonnes circonstances pour un combat. Je me rele vait difficilement, pour m'éfondrer sur le sol a nouveau. Quel affreux mal de tête. Pire que toute mes gueules de bois. Serait-je devenu trop vieux pour sa? J'était affreusement étourdit. tout tournait autours de moi. Mais je pouvait constater qu'un espèce d'auberge et un attroupement de gens ébahi se trouvaient derrière moi. Portant ma main a ma figure, je m'appercevait que mon masque avait disparu, ainsi que ma cagoule. Qui m'a retiré sa? Surement la femme. L'amertume grandissait en moi. Je voyait encore tout flou, néanmoins. La femme avait quelque chose a la main. Surement une arme. Je devais concentrer mon chakra pour extraire mes lames. Étonnement, personne n'avait toucher a mes épées. Elles étaient encore bien dans mon dos, a faire sentir leur poids. Je n'arrivait pas a extraire mes lames. J'ai donc décidé de rammasser la première lame qui me tomba sous la main pour la brandir maladroitement. Du sang seché maculait mon visage. Je m'adressait a la femme, de ma voix agée et vacillante. Que m'arrivait il?

-Femme. Ne brandis pas ton arme vers moi. Tu ne sait pas a qui tu a affaire. Je suis...je suis...je suis...rien du tout...fout moi la paix...ou paie moi du sake...j'ai plus un rond...

Je remis maladroitement mon arme en place d'un mouvement très peu magistral, et je tentait d'entrer dans le batiment. A mon premier essai, un mur m'accueillit brutalement. L'impact me projeta sur le sol. Ou était-ce la gravité? Ma seconde tentative fut plus fructueuse. Je réussi a me relever a et viser la porte correctement. D'un pas décidé, je marchait jusqu'au comptoir ou je tirait une chaise pour m'asseoir dessus. Qu'est-ce qui m'arrivait...

"_ Hé bhé mon ami ? Tu m'as l'air bien mal en point ! Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Attend, ne bouge pas. "

Je lui décochais le plus beau sourir que j'avais en reserve. Décidement, le fait de me saouler conscencieusement pouvait faire varier mon caractére de maniére spectaculaire. Un jour j'aurais tout bonnement envie de tuer toutes les personnes présentes autour de moi et l'autre, j'aurais envie de les materner, de leur demander de me raconter leurs ennuis... A l'alcool, le plus grand énemie d'une situation stable. Fort heureusement, je ne cherchais absolument pas la stabilité et encore moins une vie normale. Alors autant en profiter pour me pochtronner un maximum maintenant que tout ceci m'était complétement égale. Autant profiter de cette vie de débauche qui s'offrait à moi ! Plus aucune obligation, plus une seule contrainte, plus de : Mais vous êtes Kage Shizuru, vous ne pouvez pas sortir en plein milieu d'une reunion pour aller fumer une cigarette voyons. Et ben maintenant, non seulement il n'y avait plus de reunion, mais en plus je fumais autant que bon me semblait ! Si avec ça je n'étais pas heureuse ... Bien que cela ne faisait qu'un mois à peine que je m'étais fais destitué de mes fonctions plus ou moins involontairement, je commençais déjà à gouter aux plaisirs de ma vie pour le moins ... Disons libre, même si ce n'était pas specialement le terme qu'il convenait d'employer à la situation présente. Advienne que pourra, pour l'instant, mon but premier était de m'en mettre plein les yeux et d'en profiter un maximum. Et si en profiter voulait dire mettre en jeu toutes les convictions que j'avais acquises durant ces quelques mois de "reigne" à Suna no kuni, et bien c'était ce que j'allais faire.

Je posais mes mains sur le milieu de son torse, constatant avec contentement qu'il était bien trop faible pour me repousser avec efficacité. Je concentrais mon chakra l'espace de quelques secondes et la traditionelle lumiére verdatre entourra soudainement mes mains. La sensation de soigner quelqun m'avait presque manquer, sentir que l'on aide à aller mieux, apporter du soutient en sauvant. Je sentais mon chakra iron qui se deversait à l'intérieur même du blessé, la chaleur qui l'envahissait chaque seconde un peu plus, dans quelques minutes il aurait retrouvé une large partie de ses moyens. Il ne serait sans doute pas aussi en forme qu'avant qu'il ai a subir ces blessures mais, au moins il ne serait plus avachit de la sorte devant l'entrée du taverne. D'ailleurs ... Cet homme paraissait un peu étrange, des sabres, une armures ... Un tiers ninja sans doute. Mais il m'intriguait assez je dois dire. Je sentais comme une espéce de ... De ... Vécu, une expérience qui pouvait s'avérer assez intéréssante en sommes ! Dans l'idée, j'avais toujours su reperer le talent chez les gens, leur expérience et vécu, et j'avais l'impression que cet homme pouvait être assez expérimenté. Et de par ce fait, une personne pentotielle avec qui parler, et pouquoi pas, aller se saouler quelques minutes plus tard ?

"_ Voila ! Tu devrais te sentir mieux ! Et ... ET ! T'as vu comment tu m'as parlé toi ? "

Je venais tout juste de réaliser qu'il c'était adréssé à moi de maniére pour le moins déplacée. Je me relevais avant qu'il ai eu le temps de récuperer et lui décochais un leger coup de pied dans les cotes. Non mais ... Depuis quand les gens se permettaient de s'adresser de la sorte aux gens ivres sortant tranquillement de leur lieu de pochtronnage ? D'un certain sens, cela ne me genait pas le moins du monde, je ne voulais juste pas paraitre totalement saoule, ce qui devait être malheureusement déjà fait. Mais tant pis ! Je ne connaissais pas cet homme aprés tout. Je finis par m'assoir en tailleur devant lui, dégainant ma sixiéme bouteille de saké de la soirée, enfin ... De la demie heure donc. Et si cet homme s'avérait un peu plus avenant qu'au part avant, il aurait potentiellement le droit à une petite gorgée, mais pas si il continuait à se montrer aussi ... Vindicatif. Ainsi assise devant une personne en si piteuse état, moi même empestant l'alcool à quelques kilomêtres à la ronde, une bouteille de saké dans la main ... Tout les regards se retournaient sur nous, comme si nous étions la nouvelles attractions des alcooliques du coin ... Et ben ? Deux ninjas, une saoule, l'autre à moitié mort, devant une taverne, c'était monnaie courante non ? Enfin presque, si on pensait de ma maniére, c'était même totalement normale à vrais dire.

"_ Qu'est-ce que tu fous là et dans un tel état ? demandais-je entre deux gorgées de ce nectare fabuleux. Je serais pas arrivée tu serais encore en train de mourir sur le carrelage mon vieux' . "

** Que tu es méchante ...
Rhooo je l'ai soigné, c'est pas gentil ça peut être ? **

Mais qui était cette fillette? Elle était aussi bourrée que moi j'était mal en point. la douceur de sa peau, la beauté de son viasge, l'apparente fermeté de sa paire de seins. Derrière cette apparence magnifique, je me doutait qu'il y avait pourtant un monstre déguisé. Une jolie jeune femme décente ne devait pas toucher a l'alcool. Celle-ci empestait le vice a plein nez. J'était en train de prendre un verre avec le diable, pauvre de moi. Mais j'avais soif moi aussi. J'avais quelque complication a oublier. Tout se déroulait de travers, ces jours ci. Je dut rammasser l'aubergiste par le colet pour finalement me faire servir un verre, gracieuseté de la maison. Tant que je ne tuait personne, qu'il m'a dit. sa restait a voir, justement. Mais tant qu,a boire avec le diable, aussi bien se présenter. Je me raclait la gorge, pour prendre une voix décente, et m'adresser a la jeune diablesse sur un ton strict, malgré mon évident vertige.

-Je suis le Général Chigiri. Ancien officier en chef des troupes de Kirigakure no Sato. J'occupe actuellement l'emploi de soldat de fortune. Enfin, pour l'instant, je suis sans emploi, sans le sous, et je n'ai rien tué depuis deux jours. Tu comprendra que je suis extremement tendu. Et toi, qui est tu, petite?

Je la regardait boire comme un trou. Jamais je n'avais vu une femme se tenir debout après avoir bu autant de sake, et elle en buvait encore. Cette femme n'est pas humaine. Loin de la. Il y a même quelque chose de profondément malsain dans son aura diabolique. JE devais découvrir ce dont il s'agissait. Peut être y aurait il de l'argent en jeu. Beaucoup, d'argent. Avec cet argent viendrait, tout d'abord, es mises-a jours sur mon équipement, et ensuite, les femmes. Et pour finir, j'aurais encore plus d'argent. Mais pour l'instant, je devait découvrir de quoi il en retournait. Elle ne m'a quand même pas soigné par pur plaisir. Je me levait debout, bombant fièrement le torse sous mon armure, et je me mettait au garde a vous devant la jeune fille, esperant une réponse. Mais je sentait que j'oubliait un détail. en portant la main a mon visage, je m,appercu que je n'avait toujours pas mon masque, ni ma cagoule. Je rammassait ma bouteille de sake, l'enfilait cul sec, et je m'adressait a nouveau a la jeune fille completement bourrée.

-Dit moi, jeune fille, est-ce toi qui a pris mon masque?

"_ Jeune fille ... Tiens ! la pointe d'amusement qui s'entendait restait on ne peux plus sacartisque , ça fait une paye que l'on ne m'a appellé comme ça . T'as du culot mon gars ! Dis-je en avalant les quelques gouttes restant encore dans ma septiéme bouteille de Saké de la soirée. Je t'ai pas appellé Jeune homme en armure moi ... "

Et le retour de la moue désprobatrice, finalement il ne m'inspirait pas grand chose de bon. Un homme autain qui semblait assez désagréable, même passablement éméchée, je n'appreciais pas les dits << Machos >>, homme qui, dans toutes situations se croyaient quelque peu supérieurs ... Si j'avais voulu, j'aurais tué cet homme d'un geste alors qu'il était au sol. Au lieu de ça, je l'avais soigné et lui avais permis de se sentir mieux, et en guise de remerciment à quoi avais-je droit ? Un questionnement ... Un masque ? Mais de quoi me parlait-il ce bougre là ? Je ne le connaissais pas et il s'adressait à moi trop familiérement à mon gout. Encore une fois, le respect de ma personne était la chose qui me manquait le plus depuis que j'avais deserté Suna. Il fallait l'avouer, avoir droit à un petit << Sama >> A la fin de chaque phrase n'était pas pour me déplaire. Et voir le regard révérencieux des habitants du villages s'allumer d'admirations était pour le moins ... Disons, agréable ! Ce sont ce genre de petites choses qui m'auraient presque retenue à Suna si seulement Akira-sama n'était pas débarquée et ne m'avait pas ... Fortement conseillé de rejoindre le Seikurai. Chose que je ne regrettais pas à outre mesure heureusement. Je n'aurais pas hésité à deserter si c'était le cas mais ... Plus je prenais conscience de la puissance de mon supérieur, moins cette envie se développait, au contraire. Je me sentais bien dans cette organisation, bien que ce n'était pas exactement les mêmes idéologies que les miennes, elles se rejoignaient assez bien dans l'ensemble. Paix. Cette idée que recherchent tout les hommes, même inconsciament. Celui qui vous dira ne pas vouloir la paix désire soit la mort et l'anéantissement de toute chose, soit il est fou. Même si les moyens du Seikurai ne me plaisaient pas à outre mesure, tout ceci était pour << La bonne cause >> aussi étais-je prête à faire nombre de concéssion pour les aider à arriver à leur but, qui quelque part, devait bien être le mien. Bien que mon nindo n'est pas changé à mon entrée dans la caverne, il avait légérement changé, dans la subtilité la moindre peut se cacher la plus grande de signification. Mon nindo était : Survivre à tout prix. Il n'était pas original, ne défendait pas d'idées révolutionnaire ou autre, ce n'était pas un but emplit d'une fierté sans nom ou d'un courage à tout épreuve, c'était juste l'objectif que je m'étais fixée en devenant ninja. Mais en devenant Kyu, j'avais juste rajouté : Pour atteindre mon but. C'était ainsi que je fonctionnais. Et je ne m'en plaignais pas.

J'avais une envie casi irrésistible de frapper cet homme. Alcool, journée longue et difficile ne faisaient pas nécéssairement bon ménage dans mon cas. Il m'insuportait déjà alors que je n'avais passé que quelques minutes en sa compagnie. Mais ... Dans un certain sens, ce genre de personnes, assez hautaines et imbus de leur personne, m'intéréssait , au sens Shinobis du terme. Généralement, pour ces gens, il y avait deux possibilités, ou alors ils avaient d'imenses capacités, ou alors ils étaient totalement incapables de quoi que ce soit. Et peut être que ... Cet homme faisait partit de la premiére catégorie, en quel cas, en ma qualité de membre du Seikurai, je me devais de m'intérésser à son cas. Ne serait-ce que pour nous éviter un futur énemis, et pourquoi pas, nous procurer un futur allié. Pas forcément pour lui faire rejoindre les rangs de l'organisation, mais au moins pour avoir un indiquateur en dehors des divisions. J'essayais tant bien que mal de remplir mon role avec brillaut. Mais ... Quand même ! Je l'aimais pas lui. Il m'était anthipatique cet homme là ! C'était ... Epidermique ! Je marchais beaucoup aux intuitions, allez savoir ce que les aléas des rencontres étranges de Shuu' m'avaient encore reservés ... Parfait incapable ? Ninja de talent ? Je me devais absolument de découvrir ce qu'il en était. Sous cette carapace d'acier, se cachait sans doute un être humain ... Enfin, c'était une possibilité à envisager !

"_ Non ... Je sais pas ou il est ton masque ! Et adresses toi mieux à moi je te pris, je t'ai quand même sauvé quelque part ... Enfin sauver ... Et voila que je repartais dans un monologue pour moi même. Oui ! Bon ! On va dire sauver, si t'es pas content c'est catégoriquement pareille ! Allez, c'est la derniére ! Prétendis-je en brandissant une éniéme bouteille de Saké ! Mais c'est plus fort que moi ... On dirait qu'on boit de l'eau ! C'est traitre ces choses là dis donc ! "

Je partis soudainement dans un éclat de rire, ma voix était quelque peu enrouée, sans doute avais-je un peu trop bu ... Mais peut importe ! Ce soir là je fêtais mon entrée en tant que Kyu ! Alors tout était permit ! C'était la fête que diable ! Je reclammais haut et fort le droit de me saouler concencieusement ! Bien qu'a force que je pie ses stocks d'alcool le tavernier m'ai jeté dehors ... Aucun savoir vivre ces commerçant décidement ! Peut importe, je viendrais me vanger quelques jours plus tarde en lui volant sa cargaison de Saké ! Je m'asseyais plus confortablement au sol, en tailleur. Je relevais la méche de cheveux qui me barait le visage en soufflant dessus, je m'amusais de la voir retomber sans cesse juste devant mes yeux. Je répétais l'opération une dizaine de fois avant de me remettre à rire stupidement. Je me tenais presque les cottes. Un avantage de l'alcool : ça me faisait rire ! Et je prenais casiment tout du meilleur coté. Au dépit de mon foie certe, mais au moins je me sentais ... Bien ! Et c'était certainement ce qui allait m'empecher de frapper cet homme à la prochaine parole qu'il allait prononcer. Parcequ'entre le << Petite >> et le << Jeune fille >> J'avais bien du mal à me retenir de lui en décocher une belle. Histoire de lui rappeller que si je n'avais pas été là, il serait encore en train de comater devant une auberge pleine d'alcoolique qui lui aurait certainement balancé tout un tas de choses trés agréables à la tête, en se moquant de lui, en déblatérant tout un tas de remarque tout aussi intelligente à la minute. Enfin, tout une ribambelle de choses agréables !

** Shuu' calme toi c'est rien.**

Je me balançais alors de droite à gauche, le sourir béa, les mains jointent au niveau de mes cuisses. J'étais heureuse. Rien de plus.




Hrp : U.U Un peu court gomen !

Cette jeune femme me demandait de la respecter? Qu'avait elle fait pour mériter mon respect? Certe, elle m'avait soignée, mais quand même. Je n'était pas un idiot. On ne soigne pas quelqu'un, sans arrière pensée de la ou je vient. Et cette femme ne venait visiblement pas de la seule nation ou l'on pensait de la sorte. J'était confus quand a ce que je devait faire. Je décidait de saisir a nouveau l'aubergiste par la gorge pour qu'il me serve un nouveau verre. J'allait m'enivrer, pour sombrer dans l'oubli le plus total. Mais boire avec une telle diablesse ne me rassurait pas le moins du monde. A chaque instant, je me demandait si elle allait me poignarder dans le dos, ou si j'allait être forcé a le faire. Ce qui ne serait probablement pas une sage idée. Je me passait la mains sur le bord de la tête, pour me rendre compte qu'il me manquait encore un élément encore plus crucial de mon attirail. Mon double bandeau ninja, portant l'emblême de mon clan et celle de mon village. Je me levait d'un bon et regardait autour de moi, pris d'une soudaine crise de paranoia. Qui était le salaud qui m'avait voler mes pièces d'identité? Si je venait a le trouver, je le tuerait, et garderait son argent. Ce n'est pas que je lui en veuille personellement, mais comme l'on dit, oeil pour oeil, dent pour dent. Je lui volerait donc son identité, sa vie, et le priverait de tout ce qu'il a vécu et qu'il aurait pu vivre lorsque je le retrouverai. On ne rigole pas avec le Général Fuuma, c'est a dire moi. C'est ma vie qui m'a été dérobée, quand même. La seule chose qui me rappelle encore mon humanité. Au fond, c'est peut etre une bonne chose. Mais est-ce que je veut vraiment devenir un monstre? Je retirait une cigarette de mon étuit et je la portait a ma bouche. Avais-je encore mon briquet? En fouillant un peu plus loin, je découvrit que je le possédait encore. Bien. Il me fallait entretenir ce cancer qui me rongeait déja depuis des mois. Portant le briquet au bout de ma cigarette, je l'alumait en aspirant doucement. Lorsque la fumée intégra mes poumons, cependant, je me mis a tousser et a cracher du sang. I lfaisait encore des siennes, celui la. toujours debot, je retirait la cigarette de ma bouche et je me suis adressé a la totalité de l'auberge terrifiée par la présence de moi et de la jeune fille.

-Bon. Je ne le demanderait qu'une derniere fois, avant de tous vous tuer, pour ensuite tuer vos familles entieres, les enfants d'abords sous les yeux de leur mères. Donc, qui est le cafard qui a oser me voler mes objets personnels, c'est a dire ma cagoule, mon masque et mon double bandeau? JE vais compter jusqu'a trois. Un...deux...tro...

J'entendit une petite voix se fit entendre dans la salle, tétanisée par la peur. Il s'agissait d'un homme, probablement un jeune voleur sans experience tantotant de se lancer dans ce métier dangereux, que je vit se lever. Il s'avança vers moi, en regardant a terre pour le pas me fixer dans les yeux, et il me tendit ma cagoule, mon masque et mes insignes de ninja. C'était donc lui, le sale voleur. J'ai saisit mes effets personnels d'un coup sec avec ma main droite, et de la gauche, je l'ai aggripé par le menton et je l'ai soulevé du sol. C'était un minable. Il ne méritait pas de vivre. J'allait donc abreger ses souffrances a venir immédiatement. Mais il me vint l'idée de rentabiliser l'acte barbare. Je me suis a nouveau adressé aux alcooliques apeurés, tout en tendant ma cigarette presque finit a la jeune dame assise a coté de moi.

-Si quelqu'un dans la salle veut bien me payer deux milles ryos, j'ai bien dit deux milles ryos pour la vie de cet homme, je la lui vend. En ce moment, je compte l'Achevée de la façon la plsu atroce qui soit, ce qui vous apprendra a voler les effets personnel d,autrui. Ce genre de choses, sa coute de l'argent. Et l'Argent, c'est sacré. Alors, qui a deux milels ryos?

Personne ne répondit. J'ai donc lever l'homme au bout de mon bras, et j'ai extrait mais lames de l'autre mains en manipulant un peu mon chakra. Parfait, sa fonctionnait, maintenant, constatais-je. J'ai donné rapidement une sucession de coup visant a le démembrer, les bras d'abord, puis les jambes. Je pouvait voir son sang couler sur le sol et ça ne me faisait pas un plis. J'était tout simplement au dessus de ça. Et puis, d'un coup totalement vicieux et gratuit, je lui enfonçait mes lames dans la fourche, lui sectionnant tranquilement toutes formes d'avenir. Mais je n'en avait toujour pas finit avec lui. en forçant un peu, je remontait viollement mes lames a travers du corps de ce pauvre abruti, pour en arriver jusqu'a sa gorge. Son coeur battait encore un peu malgré tout. sa ne srait plus très long. Je balançait cette carcasse qui me souillait de son sang au bout de mes bras, et je me suis rassit sur mon tabouret. D'un geste fier, je remis ma cagoule et mon masque, avant d'integrer mon double bandeau a mon attirail blindé. Je pouvait maintenant m'adresser a la jeune femme d'une toute nouvelle façon.

-Bon. Pourrais-je avoir l'honneur de connaitre votre nom, jeune femme? C'est la façon la plus polies avec laquelle je peut m'adresser a vous, sans vous témoigner de forme de respect quelconque. Le respect, sa se mérite ou sa se monnaye. peut tu soit le mériter, soit me payer du respect?

"_ ... Tu es Navrant jeune homme . "

Que pouvais-je dire de plus devant un spectacle aussi désolant ? Il avait tuer cet homme sans grande raison valable et l'avait fait avec un manque de classe exemplaire. Tuer pouvait, en quelques rares occasions, s'avérer être un art. Un spectacle d'une grande intensité. Mais l'éffusion de sang à laquelle je venais d'avoir droit n'était rien d'autre qu'une mise à mort gratuite dénuée de toute grace. Affligeant. Je restais assise sur ma chaise à fixer mon verre de Saké, enfin, mes verres de saké vides qui s'amassaient doucement mais surement sur le comptoire. Cet homme m'était décidement bien anthypatique. Un peu trop ... Enfin pas assez fin à mon sens. Non pas que je me considére comme tel, juste que je n'aimais pas tomber sur des individus tel que lui, bien trop imbus de leur propre personne. A mon avis, il essayait tant bien que mal de se donner un genre quelquonque. L'argent, l'argent... Décidement une chose bien trop importante pour ce genre de personnage, toute ma vie j'avais vécu sans le sous, aussi ne comprennais-je pas cette obsession quant à cette denrée qui me semblait tout aussi inutile que sujet à controverse. Comment quelque chose d'inventé par les hommes pouvait preter à se faire la guerre, à tuer ? Tout ceci dépassait mon entendement, et je comprennais encore moins qu'un homme puisse me questionner à ce sujet. Quoi que si, je trouvais UNE utilité a l'argent : Le saké. Et potentiellement, le faire fondre si il est en piéce. Aprés, je n'y trouvais aucun intéret. Aussi, n'arrivais-je pas à comprendre pourquoi cet étrange personnage s'adressait à moi de la sorte.

Mon identité... Mon identié. Non mais, elle était à moi mon identité. Je ne la dévoilais pas à qui voulait l'entendre, et je n'étais pas assez saoule pour le faire. Il devrait se contenter d'un vague signe de la main avant que je ne replonge dans mon verre de Saké. Je ne désirais pas qu'il sache qui j'étais, deplus je ne pouvais rien dire sans lui déblaterrer un tissus de mensonge dans lequel je m'embrouillerais quelques minutes aprés. Alors ce brave jeune homme se contenterait de ce que je voulais bien lui donner. Dire que je n'étais même pas sur de ce que j'allais lui dire si je me décidais à lui donner la vérité... Je n'étais pas certaine de connaitre mon nom, mon prénom non plus, comme quoi ... Les circonstences voulaient que je reste silencieuse et que je fasse comme ci je n'entendais pas ce qu'il me disait. Chose que je faisais assez souvent quand quelqun m'insuportait, je baissais la tête sur ce que j'étais en train de faire, regardais fixement quelque chose et pensais à la maniére dont j'allais pouvoir me sortir de cette situation inconfortable. Mais l'alcool aidant, je ne me posais pas trop de questions. Je savais quelle était la solution, et elle était toute simple. En dire ni trop, ni trop peu. Tout était affaire de dosage, si je lui donnais ce que je voulais, il me laisserait le questionner en retour, et de par ce fait je pourrais apprendre ce que je désirais savoir. Tiens, à croire qu'avec l'age j'apprenais à faire des concessions.

"_ Je m'appelle Kyu. "

Ce qui n'était pas plus faux que Shizuru en définitive. Donner mon grade, en voila une belle maniére de faire semblant de m'absorber une maximum dans l'organisation. J'imaginais parfaitement le scenario catastrophique ... Me donner à tel point que j'en oublirais ma propre identité, que je ne serais plus qu'un membre du Seikurai, sans opignion, je me contenterais d'executer les ordes d'Akira-sama. Oui mais non ... Je préférais rester moi même et executer fidélement les ordres de la Treizieme... En même temps, je n'avais pas vraiment le choix. Mais dans un sens, j'avais toujours eu un sens de la Hierarchie assez poussé. Lorsque je rencontrais quelque de supérieur je le sentais, je lui montrais un minimum de respect et plus tard... Quand j'avais le niveau, non, je n'essayais pas de le tuer, ni de lui voler sa place, je m'enfuyais c'est tout. J'étais adepte de la fuite depuis de nombreuses années et il fallait avouer que ça me reussissait assez bien, j'avais reussis à survivre de longues années en tant que Nunkine en appliquant cette stratégie qui semblait lache à beaucoup de gens. L'honneur est considéré comme une vertue, une qualité. Qui y'a il de vertueux à se faire tuer?Mieux vaut fuir comme un lache et survivre que mourir pour des convictions infantiles... Ou tout du moins le croyais-je... Mes convictions changeaient de paire avec ma situations, et pour l'instant, je croyais ce que je pensais être juste : Tuer pour survivre rester la seule et unique raison de tuer. Mais quelques années au par avant cela n'était pas la même chose. Je n'étais pas du genre à me buter sur un point de vue, je préférais accepter ceux des autres et potentiellement, les partager.

Aussi, vous comprendrez que de voir cet homme tuer le pauvre qui avait eu l'audace de lui voler ses affaires, ne me ravissait pas à outre mesure. Je préférais me faire discréte, ce qui n'était pas gagné avec un tel phénoméne en sommes. La discretion est la base de la classe disait un de mes professeurs à l'academie, et j'avouais être daccord avec lui sur ce point. Aussi ... Cet homme n'était pas ... Classe. ET ça m'insuportait.

"_ Au lieu de tuer des gens, tu ferais mieux de te faire discret, tu m'as l'air d'un nunkine, et tu ne dois pas te faire remarquer dois-je te rappeller. Alors bois et espére que personne ne te saute dessus. "

** Shuu' ! Trop tard ! **

Sans doute fusse un reflexe totalement incontrolable qui me poussa à me mettre devant le dénomé Chigri. L'homme qui se précipitait sur moi tenait un Katana dans sa main gauche, sa posture démontrait son manque d'expérience, il serait facile à contrer et je n'aurais aucun mal à l'envoyer valser à l'autre bout de la piéce. J'analysais rapidement l'environnement dans lequel nous nous trouvions, nous étions dans une piéce d'environs 10 mêtres de large sur 6 mêtres de long, quelques tables... Le comptoire sur lequel nous nous trouvions. J'allais certainement casser un peu de mobilier mais peut m'importait, cet aubergiste s'engraissait assez sur le prix exorbitant de son Saké. Je vis la lâme préte à s'abattre sur moi, avant qu'il n'abaisse le katana, je saisis le plat entre mes deux mains. Je concentrais rapidement mon chakra dans mes paumes et brisais le sabre. J'entendis le hoquétement de surprise de l'homme qui me fixait avec insistance. Je pensais sincérement qu'il s'arreterait là, et si ça avait été le cas je ne l'aurais pas attaqué de surcroit, mais à croire qu'il voulait mourir lui aussi. Sans doute que l'homme que Chigri avait tué était un de ses amis. Je le vis alors sortir un kunai de sa poche, tiens, un Shinobis. Avant qu'il n'ai eu le temps de faire quoi que ce soit avec la dite dague de fer, je composais les signes d'un de mes jutsus, je comptais pas nécéssairement le tuer, mais au moins lui faire comprendre qu'il n'était pas de taille à m'affronter. Tuer par acquis de conscience ...

"_ Karyuu Endan no jutsu ! "

J'aurais peut être due faire attention à la quantité de chakra utilisée remarque... Le long trait de feu qui jaillit soudainement emporta le pauvre homme à travers la piéce avant qu'il ne vienne s'éclater lamentablement contre le mur et de le traverser avec perte et fracas. Les regards ahuris des personnes présentes m'amusaient plus qu'autre chose. Mais bon, j'avais encore faillis à une promesse que je m'étais faite. Je me plaquais la main sur le visage :

"_ Viens, nous ferions mieux de partir ... "

Moi, je suis navrant? Peut-être était-ce la vérité. Mais je m'en contrefichait un peu. J'ai simplifié ma vie au maximum en vivant pour mes propres principes, et en ayant rien a faire de ceux des autres. La classe? je pouvait en avoir, si l'on me payer. En ce sens, je n'était pas vraiment différent d'une prostituée. Je joignait l'utile a l'agréable dans le sens que mon emplois était très lucratif, tout en étant très amusant en général, lorsqu'on me demendait de tuer quelqu'un. Après tout, je n'aurait pas passer cinquante ans a peaufiner des techniques d'assisinat silencieux si je n'y aurait pas pris plaisir. Mais j'adorait aussi faire dans le flagrant quand on m'en donnait l'occasion, comme a l'instant. J'avoue y avoir peut-etre été un peu fort, puisque lui trancher la gorge aurait amplement été suffisant, mais sa m'a permis de vérifier le tranchant de mes lames. De plus, le son des membres déchiqueté en était un des plus interessant, que j'écouterait facilement une journée entière pour prendre connaissance de toutes ses subtilités.

Mais ce qui me troublait le plus, c'était cette jeune femme démone, qui me regardait d,un air dégouté. Elle n'avait pas l'air d'avoir compris l'importance d,une discipline strict et de chatiments pour méfaits commis. Cet homme m'a volé une partie de ma vie, je lui ai prise la sienne pour ne plus qu'il commette la même erreur. Plus jamais. Je ne suis pas quelqu'un de fondamentalement mauvais, après tout. Tout dépend de qui tire mes ficelle, puisque je ne suis qu'une arme de location, un peu comme une prostituée est un jouet de location, d'un certain sens. Mais cette femme n'avait rien en commun avec moi, a part peut-être le sang sur ses mains. Elle était probablement diabolique de fond en comble. A l'exterieur, je pouvait constater qu'elle jouait le jeu de l'auto-destruction, mais non pas par détresse; c'était par plaisir qu'elle fumait et qu'elle buvait. Possibilité qu'elle se drogue aussi, pouvais-je constater.

C'est alors qu'elle se présenta a moi comme étant Kyu. Le chiffre neuf. C'était une blague ou quoi? Ça ne ressemblait pas vraiment a sa. Mais peu m'importait, j'allait découvrir se qui se tramait. Je n'avait probablement pas rencontrer cette gamine venu des enfers ici comme par hasard. J'avais trop d'experience pour me laisser prendre a ce jeu. Mais voila qu'en me retournant, je voyait un homme effrayé s'avancer vers nous, un katana en mains. Il sembalit désesperé. Je n'avait pas encore rétracter mes lames. J'était sur le point de les lui enfoncer dans la gorge en le voyant s'avancer, quand celle qui se faisait appeler Kyu s'interposa et éclata sa lame. Elle avait des réflexes, pour une fillette complétement saoule. Non pas que sa m'eut plus. Si la necessité se présentait, elle ne m'en serait que plus dure a éliminer ainsi. Mais avec l'age vient un bagae stratégique inestimable. je ne me ferait pas avoir comme sa par une gamine, apres tout. Ce n'est qu'en la voyant pulvériser le pauvre bougre effrayé avec une technique katon que je ne connaissait qu'un peu que je compris qu'elle pourrait être très coriace. Cet homme n'aurait simplement pas du sortir son Kunai pour tenter de la poignarder.

C'est alors qu'elle me proposa de foutre le camp avec elle. Voulait elle abuser de moi? Personnellement, elle n'était pas vraiment mon genre. Non pas que j'eut des standards, mais j'aimait bien qu'une éventuelle compagnie féminine soit plus mature, disont. Peu importait, nous avions en effet un peu trop attirer l'attention sur nous. MAis je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire par nunkine. Je ne suis pas un déserteur, pourtant. Mon village, celui caché dans la brume, m'avait offert une retraite presque mérité, en faveur de talents plus prometteurs. Ironiquement, ils ont tous déserté le village, je croit. Pendant que moi j'ai continuer d'exercer la profession de ninja, quoi que mercenaire, un peu partout dans le monde ninja, sans jamais interferré avec mon village natal. Je ne suis pas iun déserteur, même si je suis lister sur la plupart des bingo books a l'exterieur de Kiri. C'était sa, la vie de mercenaire. Plusieurs personne voulait ma peau, alors que je ne voulait que celle des gens pouvant me rapporter une récompense monétaire. J'adorait décéder les gens. Mais peut importait, si des ninjas s'advenaient a passer par la, un carnage s'ensuivrait. Pour eux, pas pour moi. Mais la petite alcoolique que j'acompagnait semblait insister pour fuir. Je ne m'y opopsait pas plus qu'il ne le fallait. Seulement, je voulait découvrir la vérité sur elle, sous cette mmontagne de tissus de mensonges qui semblaient régir son existence.

-C'est d'accord. Je vient avec toi. Mais tu me doit de l'argent. J'aurait pu décrocher un contrat ici. Et maintenant, suite a ce meutre gratuit d,un type qui ne pouvait même pas me tuer, tu me voit prié de quitter l'établissement avec toi. Je te dirait que trois cent ryos compenseront cette perte monétaire. Si tu ne veut pas me payer ainsi, trouve moi un autre job.

C'est alors que l'aubergiste eu la brillante idée de donner son commentaire.

-Jamais je n'engagerait un meurtrier ici! non mais tu te croit ou...

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase, que déja il gisait sur le sol, la gorge tranché, se noyant dans son propre sang. tout le monde s'était donné le mot pour ne pas que je m'enrichisse ou quoi?

Je lorgnais d'un air dégouté, le cadavre encore tout frais, gisant sur le sol. Tout ce sang, cet atmosphére enfumée, l'odeure encore omnisprésente du corps carbonisé, tout ceci me donnait la nausée, et je n'avais qu'une seule envie. Celle de quitter cet établissement au plus vite et de me retrouver dans un lieu quelque peu plus accueuillant. L'extérieur me semblait approprié, j'étais tout à fait d'humeur à m'assoir à même le sol, rejeter la tête en arriére et à regarder les étoiles d'un air béat. Comptempler tout les astres uns à uns et m'amuser stupidement à imaginer ce que je ferais le lendemain, et pourquoi pas, pleurer quelques larmes à la mémoire de mon bonheur passé. C'était une habitude de sortie de bar, dés que je me sentais assez saoule, ou que l'ambiance me déplaisait, je m'ecplisais plus ou moins discrétement et me plongeais dans une admiration prolongée de ces astres qui nous semblaient si minuscules. Mais cette fois-ci, je n'imaginais pas pouvoir m'adonner à cette activité reposante, pour la bonne et simple raison que j'étais avec cet homme, et que je me devais d'en apprendre plus sur lui, malgrés toute l'animosité que j'épprouvais envers lui, ce Chigri m'intriguait de plus en plus. Avoir un tel mercenaire à la solde du Seikurai pouvait s'avérer être intéréssant ! Un pion que nous pourrions manipuler de maniére lucrative lors de mission d'assassinat ou autre ... Dans l'idée, tout ceci pouvait être un aventage certain, mais encore fallait il qu'il accepte l'idée même de faire partie d'une bande de criminels oeuvrant soit disant pour une ydille parfaite. D'aprés ce que j'avais vu de son caractére, notre idéologie pouvait rejoindre la sienne, en prenant la chose d'une certaine maniére et en la lui présentant de maniére à ce qu'il y trouve son compte ... Tout ceci pouvait effectivement se dérouler sans trop d'encombre.

Nous passâmes le pas de la porte sans trop d'encombre, bien que je sentais les lourds regards accusateurs des alcooliques térrifiés peser sur nous. Tout ceci ne m'enchait pas, discrétion n'était pas mon maitre mot mais il fallait savoir en user de temps en temps. Ce qui n'était visiblement pas le point de vu de cet homme à mes cotés. Je lui jetais un dernier regard soutenu dans lequel je ne cachais pas mon dégout envers lui, en réalité je ne comptais pas le cacher, je n'étais pas ici pour lui paraitre agréable, juste pour en apprendre plus sur son compte et potentiellement lui faire rejoindre les rangs du Seikurai. Je n'avais jamais dis que je deviendrais sa grande amie, et je n'en escomptais pas tant de la part d'un rustre incapable de tuer avec classe. Une fois que nous eûmes franchit l'ultime lien qui nous reliait encore avec cette auberge, je reussis à respirer librement, et le premier bruit que je produits fut un soupir de contentement, enfin, l'air n'était plus chargé de ces vapeurs insuportables de feu de bois, de diverses herbes brulées et de plats carbonisés. Je levais les bras en cercle derriére mon dos avant de les faire retomber sur mes hanches avec un sourir heureux. Je m'éloignais de quelques mêtres et sortis une cigarette de mon paquet, aprés l'avoir préalablement allumée, je fis signe à Chigri d'avancer, d'ailleurs je commençais mon discour bien avant qu'il n'ai dit ou fait quoi que ce soit ! Je m'assis néanmoins sur le sol, pour ensuite m'allonger sur le dos, afin d'être confortablement installée pour commencer mon petit spitch :

"_ Je ne t'aime pas du tout. Que ce soit clair entre nous. Je n'aimais pas être hypocrite, aussi préférais-je commencer de maniére impartiale. Mais il faut avouer quelque chose : Tu as un potentiel. Et apparement tu n'es pas capable de l'exploiter seul. Dis moi, serait tu prêt à gagner des sommes astronomiques tout en tuant à tout va ? "

Je lui jetais un coup d'oeil entendu avant de continuer mon recit :

"_ Mais tout ceci doit rester strictement secret. Si à la fin de cet " entretient " tu refuse, je me verrais dans l'obligation de te tuer. Tout bonnement. "

Je restais allongée, comme si je venais tout simplement de raconter une annecdote des plus basiques. En réalité je n'accordais pas tant d'importance à l'idée même de le tuer. Je me disais que si il venait à disparaitre, et bien c'était ainsi, que cela devait se produire. Je n'y prendrais pas un malin plaisir, mais je n'éprouverais sans doute pas de regret à l'avoir fait. Peut être enterrais-je son cadavre, ou peut être le laisserais-je en proie aux diverses charognards qui restaient dans les envirrons. Je n'étais pas désireuse de me soucier de tout ceci pour l'instant, désormais il me fallait juste connaitre sa réponse, j'aviserais en temps voulu. Comme à mon habitude, ne pas réflechir aux conséquences de mes actes allaient trés certainement me porter préjudice. Mais advienne que pourra, j'étais déjà trés certainement perçue comme une alcoolique notoire, une gamine mal élevée, ou même une femme dangereuses aux yeux de cet homme. Pourquoi, maintenant, ne pas passer pour une folle lui proposant de faire partie d'une organisation lui permettant de mêttre à execution ses plus noirs désirs ? Pourquoi ne pas laisser m'exprimer tel que je le désirais ? Je n'avais pas enrobé mes parôles de cette douce gaine suave que j'aurais employée pour une autre personne, tout simplement parceque je n'avais aucune estime pour lui, mais également parceque je voyais, je sentais, qu'il y trouverait certainement son compte. Dans ce cas, pourquoi m'embarasser de vaines civilités et de parôles agréables ? Je n'y voyais strictement aucune utilité. D'ailleurs, si il venait à accepter, il découvrirait bien assez tôt qui j'étais en réalité. Ce qui dormait en moi et ce qu'il ne vallait mieux pas reveiller.

J'écrasais ma cigarette et en sortis une autre :

"_ Je fais partis d'une organisation qui ne peut que trés bien servir tes desseins, puisqu'apparement l'argent reste ton unique but. Et je me devais de me présenter en bonne et due forme : Shizuru Yukimitsu, désanchantée de t'avoir rencontré et, j'espére que tu n'as jamais entendu parler de moi. "




Hrp : Bon, voila, c'est court x.x , mais j'ai rien d'autre à dire !

"Bon. La, cette petite chipie se montrait directe. Elle ne m'aime pas? c'est reciproque. Mais j'ai un potentiel que je ne peut exploiter seul? Mais elle se rpend pour qui cette gamine? J'ai au moins trois fois son age!...Sommes astronomiques?...sa devenait interessant..."

Maintenant, cette démone parlait de me tuer si je refusait. J'ignore pour qui cette Kyu se prennait, mais je m'en contrefichait également. Si je pouvait y gagner beaucoup, ce serait le bon choix. L'argent est maitre de tout homme sensé. Je suis son esclave, comme je m'en débarasse a l'occasion. Mais la on me parler d'en gagner d'avantage. J'était tout ouie. Une organisation. Bien que je n'aie plus vraiment confiance en aucune organisation d'aucun genre, la possibilité de gagner beaucoup de pognon était trop interressante pour etre refusée. C'est alors qu'elle m'a révélée son vrai nom. Shizuru Yukimitsu. Jamais entendu parler, en effet. Et je m'en contrefichait, voyez-vous. Je n'avait plus qu'a accepter cet offre.

-Shizuru, han...Nom très banal. Je m'en fiche un peu de savoir comment tu t'appelle. Mais ton offre est interessante. Je l'accepte volontier. Voit-tu, fillette, si je le pouvait, je ferais l'amour a mon argent. J'ignore comment, mais j'y arriverait surement. En gagner plus serait presque une benediction, quoi que l'emprise des passions releve du domaine de la malédiction. Donne moi les détails maintenant. Qui dois-je tuer? Qui dois-je menacer? Quel peuple necessite l'extermination?

Je n'y allait pas par quatre chemin, car je voulait savoir de quoi il en retournait. Un général a besoin d'ordre précis a transmettre a ses troupes. Sachant que mon clan allait bientôt etre restaurer, j'était près a l'utiliser dans cet oeuvre plus que douteuse, qui serait probablement très loins d'une guerre sainte. Qui diantre pourrait me reprocher de vouloir faire des profits? Ou bien même d'ammasser des armes. C'est dans ma nature, je ne peu rien y faire. Depuis ma naissance, je suis né pour etre un génocide ambulant. Ayant achevé l'immortalité, j'en suis devenu un eternel. J'était près pour la prochaine étape. Si je pouvait y achever l'invincibilité, je deviendrait le jugement brutal du brouillard sanglant. Je reviendrait triomphant au village de Kiri, pour y mener une guerre sainte qui menerait a la domination du monde par le brouillard sanglant. Ensuite, alors, j'attendrait qu'a nouveau, l'équilibre s'établisse dans ce monde pour y restaurer les conflits, jusqu'a la fin des temps. Un beau projet de carrière en perspective.

<< _ Ou as tu entendu prononcer le mot peuple ? Les intérets du sage s'élévent bien plus haut qu'un simple génocide. J'adoptais un ton formel, qui se pretait parfaitement aux circonstances, je me devais de faire une ambassadrice crédible, et pour ce il me fallait adopter une attitude révérencieuse envers mon supposé maître. Nos plans sont certaînements incompréhensibles pour un assassin aussi bas de gamme que toi, aussi me contenterais-je des grandes lignes, aprés tout, je ne veux pas te perdre en route, huhu ... Je laissais échapper un rire sarcastique, la situation m'amusait en fin de compte, il était tellement ... Tellement ... Enfin bref. A travers le monde des Shinobis existent les bijuus évidement, mais ça tout le monde le sait. Mais, il existe également d'autres personnes en possetion de choses intéréssantes ... Il s'agit de << Pierres >>, et leurs posseseurs sont détiennent un pouvoir impréssionant, néanmoins, leur existence perturbe le bon fonctionnement du systéme. Et le Sage Des Six Chemins désire la paix. Aussi devons-nous capturer ces jinchuriki des pierres, les livrer à notre maitre le Sage, et il se chargera de les faire disparaitre afin d'instaurer la paix. >>

L'argent, un mot omniprésent dans la bouche de cet homme n'était pas apparut une seul fois dans mon discour. Et c'était totalement volontaire, je prenais un certain plaisir à le faire attendre, à laisser en suspend la fin d'une phrase qui annonçait le commencement de la suivante. La bouche légérement entrouverte, laissant présager la suite de mon récit, et pourtant, aucun son ne franchissait le seuil de mes lévres. J'aimais le faire attendre, qu'il trépigne d'impatience à l'idée même de penser que j'ai pu lui mentir en lui disant qu'il trouverait son compte dans cette organisation. A l'agencement de cette nuit sans lune, je me sentais d'humeur tacquine, presque sadique si l'homme en face de moi s'y prétait. Si il tendait le baton pour se faire battre je n'allais pas gentillement lui renvoyer l'invitation, je n'étais pas d'un sadisme sans précédent, mais j'étais raisonnablement mauvaise en ce qui concernait les personnes que je n'appréciais pas. Un peu comme ... Ce Chigri ! Que je ne connaissais que depuis quelques heures mais qui me tapait sur le systéme comme si je le cotoyais depuis des années ... Et tout ceci me donnait d'autant plus envie de continuer à le faire mariner dans son jus ... Bien que dans cette situation, je l'invitais autant à essayer de me tuer que ce que j'en avais envie. L'ayant vu à l'oeuvre, je ne craignais pas pour ma vie, mais plus pour mes vétements qui risquaient d'être entachés de son sang, et dieu seul savait à quel point ce genre de marque était difficile à enlever. Je préférais mille fois laisser cet homme en vie plutôt que de passer des heures à frotter des morceaux de tissus comme une forcenée en espérant que toutes les tâches s'éffacent peut à peut. Penchée, le dos courbé au dessus du petit renflement ou s'accumulait l'eau de pluie qui ruisselait des paroies de la grotte ... Non, pour le bien de mes vertébres, je ne devais pas tuer cet homme. Je repris une position convenable, assise en somme, et me mis à scruter de haut en bas l'énerguméne qui se trouvait devant moi.

** Te sens tu donc si supérieur à lui ? Mais qu'es tu dans le fond, si ce n'est une vulgaire meurtriére ? **

[ Flash-Back. ]

« _ t’as qu’a faire comme ta mére , elle gagne bien sa vie non ? D’ailleur ... T’es plutot mignone pour ton âge ! »

Je lorgnais l'homme du coin de l'oeil, bien décidée à lui faire payer ces quelques parôles qu'il n'aurait jamais du prononcer. En une fraction de seconde j'imaginais toutes les possibilités que j'avais de le tuer. Il n'était rien, pas plus qu'un insecte dans la paume de ma main. Il aurait suffit d'un jutsu pour sceller sa vie, de maniére indolore. Mais l'envie de le faire souffrir, de lui faire regretter amérement, tout ceci était bien trop fort. Et malgrés le fait que je me concidérais comme quelqun de pacifique, il y avait cette pulsion, les battements désordonnés de mon coeur qui me poussaient à agir de maniére inconsidérée. Alors que j'allais me contenter de me retourner tout simplement, de ne pas prêter attention à ma soudaine folie vangeresse, j'entendis un râle de soulagement, la mauvaise imitation du bruit que faisaient les clients de ma mére en sortant de la chambre que nous habitions. S'en fut trop, je ne pu retenir l'envie qui me taraudait depuis le commencement de cette discussion. Je me retournais, les yeux embrumés par les larmes, le battement du sang à mes tempes me faisant perdre conscience du monde qui m'entourrait. Je n'avais plus qu'une seule idée en tête : Tuer cet homme. Peut m'importais la maniére, l'endroit ou le moment, mais je voulais mettre fin à ses jours. La haine, la vangence, l'envie de tuer, sont des sentiments qui peuvent rendre fou un Homme, et encore plus une enfant de 9 ou 10 ans. La jeunesse n'était pas une barriére à ma soudaine ivresse de sang, je me moquais pertinement de n'être encore qu'une gamine qui aurait pu se réfugier dans les jupons de sa mére, désormais, j'étais seul et je devais agir comme tel.

Sans réflechir un seul seconde, je dégainais un kunai et me jetais, sans autre forme de somation, sur l'homme en face de moi. La dague de fer plongea en avant, tranchant d'un seul mouvement la carotide du pauvre homme. Le liquide rougeoyant jaillit de maniére innatendue, je fu totalement trempée en quelques secondes. Ne cherchant même pas me débarasser de la preuve de mon forfait, bien trop heureuse d'avoir rabattu le caquet de cet homme condescendant.

<< Tu apprendras que me provoquer n'est pas la meilleure idée que tu ai eu. >>

Un son étranglé parveint à mes oreilles, et je constatais quelque peu frustrée qu'il était toujours en vie. Néanmoins, cela pouvait me satisfaire d'autant plus que j'aurais le temps de lui annoncer le reste de mes plans le concernant. Je m'agenouillais donc dans la marre pourpre, les mains consencieusement appuyée sur le coup du mourrant, de maniére à retenir quelques seconde l'hémoragie qui n'allait pas tarder à lui faire passer l'arme à gauche. Son visage livide reprit un semblant de vitalité l'espace d'un instant, laissant entrevoir dans ses yeux voilés l'ombre d'un espoir de survie. Mais il n'en était rien, ces quelques possibilités s'envolérent lorsqu'il entraperçu, derriére le barriére morne de ses pupilles, le rictus de joie malsaine qui tordait mes lévres. Alors que je m'appretais à cesser la pression que j'exerçais sur la plaie béante, une idée me veint, quelque chose de profondémenent horrible, de totalement infâme. Je me penchais prêt du creux de son oreille, collais casiment ma bouche contre ses cheveux humides de sang, puant l'odeur aigre de la peur. Tout son corps criait son désaroie, la sueur qui dégoulinait à grand torrent de tout les pors de sa peau ... Il avait une peure bleue de mourir, et pourtant, c'était bel et bien ce qui allait se passer. Je passais lentement ma main à l'intérieur de sa chevelure, comme si il s'agissait d'un enfant appeuré, que l'on voudrait tout bonnement rassurer :

<<_ Chuuut ... Tout va bien. Tu vas lentement te vider de ton sang, d'ici cinq minutes tu seras totalement mort. Et durant ce laps de temps, ou tu verras ta vie s'écouler misérablement sur le sol de cette boutique que tu semble tant affectionner, je montrais, trouverais toute ta famille et tout comme toi, je leur ferais payer ton érreur. >>

[ Flash-back end. ]

<<_ Hum. Tu pourrais trouver ton comptes dans le fait que l'organisation cotoye souvent, voir constement, des déserteurs, des possesseurs d'objets précieux. Mais par dessus tout, tu trouverais ton bonheur lors des raids organisés contre les villages. Tu pourras piller, voler, tuer à sassiété tout en étant totalement libre de tes mouvements. Le Sage Des Six Chemins ne désire que les pierres. >>

Je sortis une bouteille de saké dont ne sait ou, certainement bien cachée dans la besace se trouvant derriére mon dos. Une bonne alcoolique se devait d'avoir toujours une bouteille d'un quelquonque alcool sur soit, et c'était mon cas. Sauf que j'allais irrémédiablement devoir en racheter un petit stock avant de revenir à la caverne, car le mien commençait à se vider peut à peut. Les quelques caisses durement acquises, remplie et conservées au péril de mon foi ne s'entassaient plus dans le fond de ma chambre, ayant laissé la place à une quantité astronomique de petite bouteille blanchâtre, tristement vides. Il arrivait parfois, que lorsque l'envie m'en prenais, je me mette à recycler ces même récipients, me contentant de les remplires de diverses solutés obtenus à partir de plantes. Thé, potions curatives, poison, toutes ces formules étaient gentillement conservées sous mon lit dans un malle, et il m'arrivait parfois de les confondre avec du saké. Pour voir dire à quel point j'avais été surprise le jour ou j'avais avalé un répulsif pour nuisible, croyant avaler le saké tant désiré. Un peu ... Ragoutant.

<<_ Fais ton choix, et vite. >>